l'Empire Barbare du Nord-Ouest

[HRP]n'ennuyant comme c'est pas permis, je me suis décidé à faire faie un peu l'histoire de ma faction en commençant par son arbre généalogique[/HRP]

L'Empire Barbare du Nord-Ouest

I-Introduction

Origine

En 180 avant JC, fin d'une guerre de 50 ans entre les factions gauloise,germaine et britone. Aprés cette armistice, les peuples décidèrent que ces 3 peuples devait être sous la même bannière et avoir le même chef. C'est ainsi que Un roi Briton prit le pouvoir de cette nouvelle nation: L'empire barbare du nord-est. Pendant 5 ans, Le pays se développa considérablement sans aucun trouble. En 171 avant JC, L'empeureur mourra, l'histoire n'a malheureusement pas garder son nom.
Aprés quelque mois de révolte, un nouvelle homme fit parler de lui et au prinptemps 170 avant JC, le Seigneur Zaariel 1er accéda au trone et un nouveau régime arriva. Notre peuple commença a sdécouvrir le monde autour de notre empire et vie donc la présence de plusieurs peuple. La diplomatie barbare se mit en place et le début de l'histoire de notre ère commença.




Les 4 années noires

Trés vite, l'envie d'agrandir l'empire viens a l'esprit des généraux barbares et les ville de Trier, Alésia et Condate furent entouré sur les cartes militaires.Les 2 premieres années, Les barbares envoyerent des diplomates dans ces 3 villes.Et ce fut le début des "4 années noires".
Les Diplomates se firent chasser et a peut prés 800 Barbares furent tués.
Les généraux envoyèrent des riposte sur Alésia et Condate et les 2 armée aprés 2 combats inégales durent se repliés.

L'empire garda et gardera toujours une haine indescriptible envers les rebelles.Aprés quelques mois de diplomatie, L'empire Barbare de l'Ouest signa son premier pacte d'alliance avec la lointaine faction grecque puis commença a se dévellopper sur le plan agricole et technologique en apprennant notamment a construire des engins agricoles et les armes en aciers forcés. Trés vite des armées immenses se formèrent, avec a leurs tête de grand généraux comme Zaariel 1er, Slayer 1er, Zaarix,Childéric 1er et Kinsleyes.

Samorobriva, 167 avant JC, de grande crue inondaires la régions et le Commandants Childéric 1er parti a la tête de 50 hommes secourir un petit village au nord. Il furent pris en embuscade par une centaine d'hommes.



La bataille fut long et alors qu'il massacrait quelques rebelles, un archer ennemi décocha une flêche qui se planta dans son dos. avant de mourir, il poussa un dernier "pour l'empire" puis tomba de son cheval.
Cette embuscade fut remporté par les soldat de l'empire qui ramenèrent le corps.De grandes funérailles eurent lieu à samorobriva, la ou il fut incinérait, emportant avec lui toute sa ligné.


Quelques mois aprés sa mort, un plan d'armement massif se metta en place et trés vite les armées de l'empire furent considérable, jamais l'empire barbare n'avait eu si grande armée et si grand nombre de chevaux et de lance à son service. Le moment était venu de se vengeait et les armées se divisèrent en 3 pour assièger et prendre les 3 villes de gaule centrale: Alésia, Trier et Condate. Et, par une froide matiné d'hiver en 167 les armées des Généraux Slayer 1er et Zaarix monta a l'assault de la ville. Ce fut le massacre le grand grand que l'ouest n'eu jamais connu.

II-La guerre de Gaule

Cette victoire marque la fin des 4 noires.

Le Massacre D'Alésia

Récit d'un druide de combat sous les ordres de Zaarix:



L'aube s'était levée et annonçait que cette journée serait sans nuages.

Les gaulois et les germains étaient nerveux, les généraux, Zaarix le neveu du seigneur et Slayer 1er du nom, son bras droit, avaient annoncé la bataille pour aujourd'hui.

Lorsque les armées quittaient le camps vers la cité ennemie, les dieux se manifestérent. Un aigle fit par trois fois le tour du camp avant de repartir vers Aléia, le message était clair, la victoire allait être dans le bon camps cette fois-ci.

Lorsque les armées furent bien visible de la cité, elles se stopérent, puis Slayer s'avança parmis ses germains tandis que Zaarix se mit à longer les premières lignes. Il ignorait précisément ce que Slayer disait à ses hommes, mais lui il dit:

"Gaulois, germains, britons, il y a déjà quelques temps que nous fesons le siége d'Alésia, il y a déjà quelques temps que ses habitants se cachent derrière leurs murs.
Aujourd'hui les tours et le bélier sont prets, aujourd'hui les germains du général le plus fidéle et le plus proche de Zaariel sont venu en renforts, aujourd'hui la victoire nous attend!
Nous aurions put attaquer de nuit comme des loups, nous aurions put utiliser des techniques de lâches, mais nous sommes des barbares, nous sommes fiére de l'être, et si cette cité sera prise, ce sera par la violence de nos assauts et la puissance de nos bras!
En avant, pour la gloire, la puissance et le pillage!"

Les tours de siège s'ébranlérent, poussées par la force des valeureux assaillants. elles arrivérent pratiquement intactes aux murs que les archers ennemis eurent tôt fait d'évacuer.
Le bélier quand à lui fit céder la porte sous la force de ses coups, ses utilisateurs restants impassibles sous les nombreux traits ennemis.

Une fois les murailles prises et la porte ouverte, les archers et les lanceurs de tête qui montaient sur les remparts obligérent les défenseurs à se replier dans l'allée centrale. Permetant ainsi aux phalanges germaniques de mettre pied dans la cité.

Le reste ne fût que chaos où les traits répondaient aux traits, où pour chaque pouce de terrain cédé des dizaines de combattants tombaient, où les généraux ne pûrent pour gagner que compter sur le courage de leurs hommes.
Car malgré la supériorité des envahisseurs, malgré les hurleurses, les cavaliers nobles, les archers, les lanceurs de têtes, les phalanges et les hordes d'épéistes, les défenseurs tinrent bon la tête haute jusqu'à que plus aucune d'entre elle n'ait de gorge pour la soutenir.

Une fois la victoire gagnée, une fois le général ennemi en fuite avec une partie de la population, les guerriers pillérent la cité, massacrant les hommes qui n'avaient pas eu le courage de tenir une épée, réduisant en esclavage leurs femmes et leurs enfants.
La bataille avait été difficile et Zaarix jugeait bon d'autoriser ses débordements, car les hommes étaient épuisés moralement et le refu du pillage aurait sans doute mené ceux-ci à la révolte. Zaarix ne se fesait pas d'illusion, il n'avait pas la carrure et le charisme de Zaariel pour tenir ses hommes au respect de ses consignes.

Il regarda silentieusement le soleil d'un rouge sanglant se coucher...


Récit d'un second du Général Slayer 1er:




En cette matinée hivernale de 167 avant JC, Alésia et ses alentours était couvert d’une épaisse couche de neige qui gelé les pieds des soldats patrouillant sur les murs. Cela faisait 6 mois que Alésia était coupée de l’Europe Après que des armées germaines et gauloises se positionne dans les forets entourant alésia. Tout était calme quand soudain, un crie se fit entendre par la garde, tous se mire sur les murs et scrutèrent les horizon, rien. Un deuxième cris retentit, celui si fit s’envolé les corneilles nichés dans les arbres…long silence….Puis soudain, un bruit de pas cadencé se fit entendre de la foret, le bruit se rapproché. Puis soudain la garnison d’Alésia vit sortir de la forêt 5 immenses tours de sièges suivit de 4000 hommes qui s’arrêtèrent a 50 mètres des murs. Là, 2 cavaliers sortir des rangs, d’un coté le général gaulois qui motiva ses troupes, de l’autres le général Slayer. Tout était calme du coté germains, le général avançait lentement vers les murs et s’arrêta net.

« Habitants d’Alésia, Ce jour sera gravé a jamais dans vos mémoire comme le jours ou vous m’avais chassé de a région en massacrant mes hommes !!!!
L’empire barbare du nord-est vous a offert sa clémence, vous l’avez refusé, aujourd’hui notre empire va vous imposer cette paix !!!!!!!
Mort aux ennemis de l’empire !!!!!!! »

L’armée répéta cette dernière phrase puis Le général cria un ordre en germain puis les 4000 hommes déferlèrent sur Alésia, après quelques minutes, les tours étaient sur les murs et le bélier devant la porte. La garnison ne savant plus quoi faire, se désorganisa et se retrouva dispersé sur les murs. C’est alors que les troupes, sur les murs furent balayées par les hacheurs germains qui débarqué des tours, après un court combat, les murs était sous contrôle. L es armée rebelles se replièrent juste avant que la porte ne cède. Les phalanges ainsi que les gaulois déferlèrent dans l’artère principale de la ville se positionnant face aux armées rebelles. Alors que les rebelles étaient obligés de resté sur leur position sous peine de se prendre les lances de plein fouet essuyèrent des salves de flèches germaines et gauloises ainsi que des centaine de tête coupés qui provoqua la fuite de quelqu’un. Puis, les troupes rebelles n’en pouvant plus, elles chargèrent en hurlant un cri de guerre qui fit tressaillir les puissant germains. Mais ce cri fut vint car les troupes rebelles se firent empaler sur les lances germaines, un tas de corps se forma devant la première ligne germaine, certaines lances même se brisèrent sous le poids des corps qui était empalés, le combat faisait rage et aucun camp n’était privilégié. Le général germain, assistant au combat dit a son second.

« Ils sont tombés dans notre piège, leur courage mérite d’être respecté, mais ne les sauvera pas. Envoyé la charge »

Et Là un bruit assourdissant de sabots se fit entendre. Le combats cessa, un capitaine rebelle regarda autour de lui et n’eu juste le temps de voir le glaive d’un des 600 cavaliers germains qui lui trancha net la tête. La cavalerie germaines avait passé sur le coté et balayé sans même s’arrêté les soldats rebelles. La cavalerie germaines déferla avec une force incroyable, on distingué les corps des ennemis projeté contre les bâtiment de la ville par la puissance des chevaux, la retraite fut ordonnait. Dans cette débâcle, 200 hommes rebelles se firent encerclé et mis a mort par les soldats galo-germains. Le sang ruisselait le long des trottoirs de la ville, emportant les restes de cadavres dans les égouts de la ville. C’était un véritable massacre. Alors que les forces impériales étant à 20 mètres de la place principale, le moral lors fit défaut et l’armée pataugeant dans le sang perdirent leur sang froid et commencèrent à ce replié. Les 2 généraux chargèrent en scandant des louanges au seigneur barbares, les troupes firent volte face et réengagèrent l’ennemi. Le général arriva au niveau de la dernière troupe survivante d’Alésia et se battit avec haine, Tuant une dizaine d’ennemis par coups de glaive. Puis, le dernier soldats d’Alésia tomba…Le silence se fit puis un grand hurlement de joie se fit ‘entendre dans toute la région. Le général D’Alésia, ce lâche, profita de la confusion pour fuir avec une partie des villageois.

Le général essuya son glaive couvert de sang puis dit à ses soldats.

« C’est une grande victoire…..Alésia nous a trop humilié par le passé, mettez la ville a sac…. »

Le général germain avait horreur de faire une action si cruel mais il vit ses hommes, fatigués, bléssés, couverts de sang, c'était la limite de la mutinerie. Ses hommes était à bouts. C'est pour ça qu'il mit la ville à sac. Ce massacre est aussi stratégique car il savait maintenant que le fait de venir a la porte d'une ville rappelera aux assiégés le sort qu'il risque s'il ne se rend pas.

Quelques heures plus tard, la ville était en feu, pillé, a moitié détruite et couverte a présent d’une épaisse couche de neige rouge……Les soldats d'Alésia furent néanmois enterrés convenablement selon les traditions paiennes, car tous guerriers mérite un passage dans le royaume d'odin.

Les germains construiront une nouvelle Alésia, plus belle et plus prospère que l’ancienne.
Cette nuit la, les troupes impériales firent un grand banquet a l'extérieur de la ville qui était toujours en flamme...



Récit d'un villageois d'alésia,celui-ci est mort écartelé lors du sac de la ville:



Aujourd'hui, Alésia est tombée...Ses guerriers combattirent bravement, repoussèrent lors de combat de rues acharnés 3 attaques et tuèrent plus d'ennemi que l'on ne pouvait compter...Malgré tout, un grand groupe presque le quart de la garnison, sous le commandement des fils de Bubnorix furent attaqué en traitre par les Cavaleries Noble ennemies...pas un ne fut épargné, malgré une resistance farouche...ils ne pouvaient reculer...il furent massacrés jusqu'au derniers...quelque cavaliers réussirent à s'en tirer.
Mais alors que la soirée achevait..et que le nombre des defenseurs etait sans cesse diminué alors que les attaquants enfournaient hommes après homme dans la mélée, Bubnorix rassembla sa garde d'archer montés scythes et emmena ses hommes dans une ultime tentative pour briser le moral de l'ennemi...La charge était belle, héroique...mais quelques dizaines de héros ne purent percer la masse hurlante...Bubnorix, qui combattait tel un damné(sérieux, ma cam etait sur lui et il a tué 4 cav noble, 6 lanceurs de tête et 7 swordmens) ordonna au peuple de fuir vers Condate puis il se lanca vers l'ennemi qui tentait de l'encercler, massacra quelque swordmens puis, sous les cris de ses soldats qui tenaient à le voir survivre, gallopa prendre la tête de son peuple, afin de le guider vers les forêts gauloise, vers Condate, vers la liberté. Plusieurs mourreraient dans la poursuite...mais certains arriveraient à bon port...et le Prince Cambronne 1er saurait quoi faire!!!!!

La prise de Trier

Aprés la prise d'Alésia, les fils de Zaariel 1er de de Slayer 1er furent envoyé a Trier, cité se situant au sud de notre empire, pour rallier celle-ci a notre cause.Aprés quelques mois de siège, l'assault fut donné et la ville fut prise avec une certaine facilité.

Archives de l'empire

Récit d'un second de Zaariel III, fils de l'empeureur:


Ce matin était pluvieux et orageux.
Thor et Odin en avaient assez de voir leur fils camper devant les murs de Trier!

Aussi se matin, le fils de Zaariel, 3éme du nom et celui de Slayer se sont mit d'accord, il était tant d'honnorer les dieux, leurs ancétres, leurs pères et leur nation!

Aussi ce matin là, les béliers des armées germaniques s'approchérent des murs de la cité. Puis, à une portée de fléche des murs, les généraux motivérent leurs troupes, je n'ai pas entendu Slayer 3 mais Zaariel était suffisament près, sa voix résonnant de consert avec le tonnerre tout proche:
"Hommes du nord, les habitants de cette ville était autrefois des notres, mais son vile gouverneur les a corrompu, aucun d'entre eux n'a reconnu son ancienne alégeance et tous ont oublié leur parole.

Aujourd'hui, il est temps de rappeller à l'ordre toutes les cités qui se sont isolées, elles ont refusés d'entre nos diplomates et ont osés défier nos épées.

Maintenant, il est temps de rappeller à ces chiens que les haches des germains sont les plus affutées du monde!"

Sur-ce, Zaariel se dirigea vers ses gardes du coprs tandis que les archers d'élites avançaient vers les murs.

Les forces ennemies avaient abandonné les murs pour défendre la colline au centre de la cité, mais la qualité des arcs et la force des germains leur permettaient d'atteindre le bas de la colline, il décimérent de nombreux archers qui paniquérent et qui montérent hors de portée de fléche.

Les béliers avancérent alors, ils firent 2 trous et défoncérent la porte, les hommes s'engoufrérent pour protéger l'avance des archers.
Une fois que ceux-ci furent de nouveau à portée de fléche des ennemis, ils tirérent sans relache, massacrant archers et fantassins avec une facilité déconcertante, un régiment trop audacieux perdit même 100 de ses hommes lors d'une avancée sur à peine une vingtaine de pas.

Pendant que les archers obligeaient les défenseurs à rester en haut de leur petit sommet, les valeureux cavaliers lourds, l'élite de toute la germanie penetra dans la cité, se divisa en deux afin d'encercler la place centrale, forçant 2 ailes de cavalerie rebelle à se replier.

Puis se fut l'assaut, les phalanges barbares soutenues par des hacheurs avançérent vers le sommet, les ennemis préférant fuir pour défendre un front moins large, mais cette même ruse les perdit, lorsque le combat fut engagé, les phalange pulvérisérent les fantassins, malgré les derniers tirs d'archers et les javelots. Les rebelles faillirent réussir à exploiter une faille dans la ligne des barbares mais les hacheurs les chargérent et les audacieux défenseurs périrent sous la force des coups de hache.
Et, alors que ce combat fesait rage d'un côté de la cité, la cavalerie lourde des assaillants chargérent les quelques défenseurs qui ne combattaient pas sur l'autre flanc.
Ensuite les rebelles craquérent, fuirent mais seulement pour se reformer sur la place centrale, les derniers combattants étaient là, refusant de se rendre et préférant mourir que de s'avouer vaincu, et tous périrent l'épée à la main, les blessures mortelles sur le devant du corps.



Tandis que les hommes savouraient leur victoire et que les généraux étaient portés en héros (Slayer avait tué une douzaine d'hommes à lui seul) les habitants qui n'avaient pas combattu sortirent avec crainte, ils savaient tous ce qui était arrivé à Alésia.
Là, les généraux calmérent leurs hommes, puis s'adressérent à la population et leur expliquérent en quelques mots que la cité ne serait pas pillée, elle rejoignait l'empire du Nord-Ouest et que par conséquent aucun mal ne serait fait à la population.


Rapport de Slayer III:


Cela fait maintenant 6 mois que La première ville rebelle de gaule tomba sous les armées de mon père et du neveu de notre empereur, Zaarix.
Nous avions entamer le siège de la cité de Trier, au sud est de notre empire, et, nos préparatifs étant prêt. Moi, Slayer III et Zaariel III décidèrent de prendre la ville.
Nos armée se placèrent devant la façade nord de la ville, nous voyons la majeur parti de l’armée ennemi, regrouper sur une colline et 400 archers sur le versant de la colline.

« Il est temps…, dis-je à Zaariel III »

« En effet…., répondit-il »

Nous nous dispersâmes, lui alla devant son armée et mon de même, Je regarda mes hommes puis sorti mon épée.

« Soldats ! Frères ! Vous avez devant vous la ville de Trier ! Cette ville nous a craché à la figure ! Allons nous rester dans l’inactivité ?!
Mes frères ! L’heure est venu de nous battre pour rallier trier a notre cause ! Pour l’empire et pour honorez nos frères, morts à Alésia !
Combattez sans peur, cela vous évitera la mort !
Ne craignez pas la mort, sinon vous irai à elle !
Battez vous pour notre patrie, nos idéaux et nos familles, car ils méritent d’être défendus !!!
Vive l’empire ! Vive la nation ! Mort a l’opposant !!!

Mes hommes hurlèrent cette dernière ligne alors que l’armée de mon ami en faisait autant.
Je donna l’ordre de faire avançait nos archers qui dés la premières salves tua la moitié des troupes ennemis étant a porté, aussitôt il durent se replier, je laissa échapper un sourire vu l’efficacité de nos flèches.

Nous profitâmes de la retraite ennemi pour faire avancé les béliers, qui après quelques courtes minutes, enfoncèrent sans grande difficulté la porte et 2 palissades. Nos hommes entrèrent se positionnant en phalange pour éviter toute attaque de l’adversaire pendant le déploiement du reste de notre armée dans la ville. Nos archers tirèrent et aussitôt de gros trous se formèrent dans les lignes ennemies. Je rejoignit Zaariel un cour instant pour lui dire de faire progresser notre cavalerie sur les flanc et que l’on se retrouverait sur la place centrale. Aussitôt, je partit avec mes 600 cavaliers sur les flancs e j’attendit le moment propice.
J’entendit mon second ordonner la charge puis je vit de ma position les armée rebelles se faisant massacré sur nos phalange, celle ce en revanche n’essuyèrent que peu de perte. Les Rebelles ne pouvant plus combattre à cause tas de cadavre immense s’étant formé devant nos phalanges, reculèrent un peu. Soudain je vit Zaariel et sa cavalerie chargea par surprise l’autre coté de la place et massacré les troupes rebelles en retrait. Les rebelles ne faisant face se retournèrent pour aider leurs frères, cruciale erreur, car j’ordonnai la charge et quelque seconde après, mes cavaliers et moi-même écrasâmes toutes l’infanterie rebelle et me retrouva en compagnie de nos alliés.
Les rebelles étant encerclé, se regroupèrent au centre. Notre infanterie passa le tas de cadavre puis attaqua et tua toute personne sur la place, ma cavalerie et celle de Zaareil III chargèrent.
Ce fut le plus gros massacre de la bataille, pendant que mes hommes attaquaient les rebelles je m’élança dans la mêler et ôta la vie et la tête de 12 guerriers rebelles. Après quelques minutes, le dernier soldat de la garnison tomba, marquant notre victoire.
J’ordonna à la moitié de mes hommes de creuser les tombes et a l’autre moitié d’y mettre les corps de mes hommes morts et de ceux des ennemis.
Après une heure, les premiers villageois sortirent de leurs maisons, nous priant de les épargner. Mes soldats les emmenèrent sur la place centrale ou je m’y rendis.

« Villageois de Trier, vos vies et vos bien ne vous seront pas ôtés. A partir d’aujourd’hui vous êtes citoyen de notre empire. La ville va être restauré, embelli et vos morts seront honorés. »

Les habitants rassurés mais assez mal à l’aise devant le sang qui recouvrait l’herbe, montrons exactement la ou l’ennemi c’est replié. Au couché du soleil, on voyait au loin une fumée épaisse du au grand feu de joie du banquet de victoire et également le drapeau germain qui ondulent au vent en haut de la hampe de la place principale de la ville.

Je suis fier d’avoir contribué au bien de ma patrie et d’avoir honorait mon père, Conseiller et général de l’empereur.

L’été 166 avant JC, Slayer III



La Prise de Condate

Les villes de gaule tombèrent les une contre les autres, condate également aprés une courte bataille trés sanglante, aucun rapport ne fut communiquer. Les villes restantes, lugdunum et lenonum furent mis sous protectorat ou ignoré. ceci marque la fin de la guerre des gaules, guerre qui peut reprendre a tous moment vu les assault répété mais inéficasse contre alésia ou les armée rebelles sont reparti avec un quart de l'hommes hommes, les autres morts devant les remparts de la ville.

La Guerre d'Ibérie

Tout va pour le mieux, l'empire prospere grace au commerce et a l'agricuture qui devint la meilleur d'europe, les méthodes de récoltes et de commerce évoluant trés vite avec l'invention par les druides de nouvelles technique d'attelage et de rotation des cultures. Le commerce de céréals avec les provinces rebelles du sud de la gaules était florissant. Un projet de modernisation des villes fut ordonné par l'empreur et les commerce et forge commencèrent a voir le jour dans les villes.
Eté 165 avant JC, un envoyé carthaginois arrive a londignum devant l'empereur en faisant une proposition de paix forcé entre carthage et l'empire barbare et qui remettré la souvraineté de l'empire en question. L'empereur refusa bien évidamment dans sa grande sagesse. le diplomate s'emporta et insulta et prenna de haut l'emprereur. ce sera la dernière chose qu'il aura faite tant donné que sa tête fut oté de son corp par un garde impérial quelque secondes aprés cette incident. La tête fut envoyé a carthage. Sénat de Rome, Latium, en pleine séance diplomatique une dispute entre 2 dîplomate barbare et carthaginois eclata ,s'en suis la déclaration officiel de guerre contre carthage signé a la fin de l'été 165 av JC par l'empereur Zaariel 1er,le premier conseilé et sous général en chef Slayer 1er et le général des armées de gaule Packers 1er.

la semaine suivante, Slayer 1er et Zaarix arrivèrent à 1 km de Osca, ibérie, a la tete de 3250 hommes. c'est hommes, assez peu entrainés eurent la mission difficile de prendre osca et de faire regrétté a carthage cette affront a notre nation.2 armée espagnols firent une sorti et la bataille d'Osca commença.

L'embuscade d'Osca.
les généraux barbares, Slayer 1er et Zaarix 1er du nom également, tendirent une grande embuscade aux 3000 hommes de carthage venu défendre leur frontiere.

Rapport de Zaarix.



Mon oncle Zaariel, Seigneur de la grande île des territoires proches,

Selon vos ordres nous sommes rentré en territoire Espagnol, le climat est bon et nos hommes ne manquent de rien.

Nous avons, conformément à vos intentions, pillé la région d'Osca jusqu'à forcé les défenseurs à l'attaque.
Ils ne se firent pas prier, Par une belle matinée, les unités espagnoles et les détachements de puniques sortirent assez vite de la cité, et au vu de leur mouvement leurs éclaireurs nous avaient assez bien repéré.

Nul doute que les espagnols étaient confiant, les généraux avaient sous leurs ordres les meilleurs régiments de toute l'Espagne et le nombre y était.

Avec Slayer, nous avons mit au point une strategie dont nous ne sommes pas peu fiére.

Les armées espagnoles avancérent droit sur le lieu de notre campement, nous nous somme donc avancé dans une zone appropriée pour le combat.

La plaine était belle et un bois sur notre flanc droit convenait parfaitement au plan que nous avons décidé.

Les armées espagnoles se mirent sur pas moins de 3 rangs, et avancérent prudement dans cette plaine où ils ne voyaient que Slayer et moi même ainsi que quelques-uns de nos compagnons.

Prudement, les généraux ennemis envoyérent des tirailleurs dans les bois mais ils se firent mettre en déroute par quelques contigeants de cavalerie légére, le reste de l'armée restant dissimulée selon nos ordres.

Finalement devant l'avancée des catapultes ennemis, nos archers sortirent des bois et massacrérent rapidement à coup de fléches les pauvres ingénieurs qui tentaient tant bien que mal de faire fonctionner leurs engins.
Les unités espagnols devant l'imminance de la pluie de fléche qui n'allait pas tarder à arriver avancérent droit vers les archers, et un peu plus loin, Slayer et moi-même.

Quand les troupes ibériques furent sufisament rentré dans les bois, je donnai le signal à mes troupes, Slayer faisant de même avec les siennes.
Ainsi les ordres de Nordiques chargérent le flanc gauche espagnol, tandis que grace à leur discipline de fer, ceux-ci faisaient face et le reste de l'armée tentait de venir reformer la ligne face aux ennemis.

Ce combat dans les bois fut meurtrié, les lanceurs de tête et archers du Nord ripostaient aux pilums Espagnols tandis que la cavalerie légére tentait de faire craquer les phalanges Afriquaines.

Finalement, alors que le combat n'était plus qu'une immense mélée au milieu des bois je m'élancais avec mes compagnons au milieu de la horde Espagnols au plus dur du combat et les faisaient fuir.




Le reste ne fut que débandade des ennemis et des résistances acharnées ça et là où les espagnols étaient systématiquement massacrés jusqu'au derniers.

Malheureusement malgré cette brilliante victoire, suffisament d'Espagnols sont rentré à Osca et le général ennemi a réussi à fuir, nos troupes ont été gravement diminués et nous ne résisterons sans doute pas à la prochaine vague ennemie, nous serons obligé de nous replier...


Mes respects mon oncle ainsi que ma loyauté mon roi, Zaarix le tueur d'Espagnols.


Aucun rapport ne fut communiqué par Slayer qui du respecté ses devoirs administratif et conseillé ses 2 fils.


Aprés cette grande victoire, un 2 eme attaque fut lancé a Osca, mais cette fois, toutes les forces d'espagne étaient réunis, et ces armées lancèrent l'assault sur les armées barbares....
"suite au prochain tour de jeu^^"

Les armées barbares essuyerent un défaite, mais les troupes carthaginoises étant affaibli et les généraux barbares compté sur ça.

L'année passa et les barbares assiègerent Osca ( ceci commencé a etre une habitude) et Numance et Scallabis.

La Situation de siège perdura a Numance pendant 6 mois, Scallabis fut prit par l'empereur et créa un malaise a carthage, ça y est, un région d'espagne est tombé, bientot le reste suiverai.
Mais, le premier véritable revers de cette guerre arriva a Osca, la légion de Osca, surpuissante attaqua les armées de Slayer 1er et de Zaarix, neuveu de l'empereur.

Rapport d'un scribe Germain, membre de la garde de Slayer 1er.


7589....c'est le nombre de corps de germains et carthaginois qui gissait sur le sol a notre arrivé à 6 gratfers (unités de mesure germaine) de Osca. Nous étions 3000, pret a en découdre et heureux arés la nouvelle de la prise de Scalladis, Seul les généraux semblait inquiet....

Bientot nous vimes l'armée de carthage, 3000 hommes sur une colline formant un demi cercle, agripant leurs longues lance comme des enfants appeurés. Les hommes ce mirent en place et nos généraux se placèrent devant leurs troupes. Slayer 1er, prit l'étendard, celui qu'il avait brandit a alésia et dit:

Soldats...Voyez vous au loin ces batards carthaginois??? se regroupant comme des laches sur leur motte?? Ils se soumetteront a l'empire!!!!
Germains, aujourd'hui l'ennemi est un lache, mais il est plus nombreux, mieux entrainé et a la rage aprés la victoire de notre empereur sur scallabis!! Gloire a lui!! Nous devrons nous battre quelqu'en soit le prix, luttons contre le joug tyrannique que carthage exerce sur les contées d'ibérie, peuplé par nos freres barbares, marchons jusqu'a Carthage et tuons ces laches et ces fourbes!!! Freres, la bataille sera dure mais battons nous, jusqu'a notre dernier souffle, pour nos familles et notre patrie!!!!
Tuer les tous !!!! Mort a Carthage!!!!!
Les hommes crièrent puis je mirent en marche. Slayer 1er avança vers Zaarix, il lui donna des conseil pour la bataille et lui souhaita bonne chance. Aprés une longue marche pour atteindre la colline, Nos archers prirent position et décimèrent les mercenaires grecques puis les onagres.
Le combat d'archers dura 20 minutes puis la défaite se dessina au furent et a mesure de la suite. Slayer et Zaarix envoyerent leurs cavalerie tué les généraux énnemis mais ces dernieres, fuyèrent vers leurs phalange pour se réfugié, quel honte... Puis, les chars britons et les germains se firent encerclé et ils tombèrent 1 a uns.L'assault fut ordonné sur chacun des flancs. Alors que les gaulis aprés quelque minutes de mèlée commencé a faire volte face, les germains chargèrent dans le dos des carthaginois. Slayer s'attendait a une déroute rapide des troupes de carthage vu la situation, mais a sa grande stupéfaction, les carthaginois tenirent bon, si bien qu'a la vu des renforts, les germains commecèrent a fuirent...Zaarix chargea porté secours au germains puis Slayer fuit de meme, je monta a cheval et chargea au coté du général germain. trés vite, nous nous retrouvimes dans une mélé térrible. Les espagnols mourraient en grand nombres, mais les germains également...Zaairx se retira et nous de meme. Slayer, lui resta dans la méle et fut encerclé. Il tuait... sans regardait ce qu'il se passer, dans une mains son glaive, a présent tellement rouge que long ne distingué plus la lame de la poigné, et dans l'autre son étendard, dont la hampe également été recouverte de sang.Il leva la tête et vie qu'il étaient encerclé, Ils galopa ecrasant 2 espagnol au passage puis rejoind le groupe de zaarix..Nous avions eu peur...Trés vite le combats reprit puis fut de nouveau perdu. Xaarix couvra la retraite de ces troupes, Slayer lui combatter a quelque metres. Et la, une troupes espagnoles débarqua de nul part, tuant en quelque seconde la monté de la gade de Zaarix. Slayer fit volte face et vit, en me temps que nous tous, un officier espagnol, brandissant sont glaive puis, alors que Xaarix tranché la têted'un milicien, l'officier planta lentement son glaive jusqu'a la garde dans le torse de Zaarix...Long silence. Zaarix dans un dernier reflexe planta un poignard dans la Tete de l'officer, puis, un filé de sang coula de sa bouche, il ferma les yeux et s'abbatit sur le sol... Un hurlement se fit entendre, celui de Slayer qui poussa en germain un juron si grossier que meme les carthaginois comprirent le sens. Il repris son sang froid et alors que tous se replié il chagrea avec quelque hommes dans la masse carthaginoise, tuant, décapitant et amputant froidement tout hommes a porté.... Puis se retira...aprés avoir reformé sa troupes personnels, il chargea le général espagnol en vengeance. Ce dernier hurla a la garde et 10 carthaginois mureurent a sa place, avant que les germains soit contrint a la retraite et que les derniers hommes germains soit partit du champs de batailles. Nous étions a présent 500 dans les pyrennés a marché vers notre empire.Slayer avait réconforté ses troupes puis avait simplement donné l'ordre de retourné en gaule.
Il écrit un messsage et me demanda de le porté a Scallabis.
Je voyage a présent vers Scallabis pour remplir ma mission.
Aujourd'hui, L'empire a perdu, Mais les barbares se releve toujours et finiront la libération de l'espagne.

L'armistice

Aprés cette défaite, les 2 camps comprirent que la guerre ne menerai nulle par et quelle ne finirai jamais, c'est dans ce contexte que les evnement suivants eurent lieux:

Scallabis, Tente du général Pompée, 162 avant JC

Zaariel contemplait au loin le camp d’espagnole assiégeant les villes. Il réfléchit longuement puis, ordonna son cheval et sorti seul de la ville ce soir la et se rendit dans le camp espagnole a 1 km de là.

Une longue discussion eu lieu cette nuit la, puis, a l’aube Zaariel partit a Osca suivi de sa garde.



Osca, Palais Impérial Carthaginois, 162 avant JC

Aujourd’hui le spectacle à Osca était étonnant. Les portes de la villes sont grandes ouverte et l’empereur Zaariel et Slayer 1er, venu de Gaule avançait en direction du palais d’Osca accompagné de la garde impérial barbare. Les soldats de carthaginois immobile formé une allée en direction du palais.

Les généraux descendirent de leurs chevaux et se diriger dans la salle du gouverneur. Là-bas se tenaient l’empereur de Carthage, Hadrusbal, et le chef de la diplomatie carthaginois.
Les hommes se saluèrent.
Le silence se fit puis Slayer prit la parole.

-Carthaginois, cela fait 2 ans que la guerre fait rage et, nous devons constaté que le conflit mènera nos s’embourbe et ne nations nulle part. C’est pourquoi notre empereur, le grand Zaariel, a négocier avec un de vos généraux la fin des hostilités. Nous demandons la fin donc de ces hostilités !!


Des cris de joie se firent entende de la population groupé autour du palais et Hasdrubal sourit puis ordonna la préparation de la cérémonie d’armistice.

Ainsi, quelque heure plus tard, sur la place principale, les 2 empereurs signèrent a la plume d’Oie la paix entre les 2 nations. La population était emplit de joie, les soldats firent leurs cris de guerre.

Aujourd’hui Osca était en fête et le lendemain on pouvait voir sur les murs de la ville :l









Dés le lendemain, les 5000 troupes barbares repartirent pour leur pays dirigea par leur généraux sous le regarde lointain des espagnoles et carthaginois, posté sur les mur d’osca, de Numance et de Scallabis.


"le temps de Paix"

aprés le retrait des troupes d'espagne, l'empire connu une période trés calme avec peu de conflit et une propérité économique assez forte, si bien que toutes les villes finirent par se voire entouré de muraille comme celle des civilisation lointaines comme rome.