Le jour venait de se lever sur la plaine devant la fiere Byzance, les rayons solaires virent se refléter sur le métal étincellant des armures Perses dévoilant ainsi la position de l'armée ennemie, ainsi que les monstreuses tours de sieges à la garnison Grec déterminé à defendre la ville coute que coute. Lorsque le soleil fut bien haut et que le coq eut finit de chanter, le général Perse qui sentait que la bataille risquait d'être difficile se décida à lancer son assaut.
Les Grecs perchés sur leurs hautes murailles attendaient de pied ferme l'inévitable assaut, l'armée ennemie progressa lentement à travers la plaine, soudain une nuée de fleches ardentes s'envola du sommet de la muraille ou des archers venait de se découvrir, et alla se plante sur une tour de siege, il en fallut encore deux, mais la tour de siege finit par s'embraser et s'écroula finalement sur les piquiers chargé de la conduire au pied du rempart. Mais il restait encore 6 tours qui continuaient inexorablemant à avancer vers les murs de la ville.
Les Grecs eurent beau déchocher plusieurs volées de fléches ardentes, il ne purent pas enflammer de nouvelle tour et les six tours atteingirent le mur. Suivit une terrible attente pour les defenseurs de la ville, attente seulement distraite par le bruit de pas des perses gravissants les échelles à l'intérieur des tours et par les nuées de fléches qui décimaient les archers Perses. Soudain dans un fracas unanime, les six portes des tours s'abattirent et des piquiers en bondirent, à leurs grande surprise ils ne trouvèrent pas de Grecs en face de la tour et regardèrent autour d'eux, ce fut à ce moment là qu'ils comprirent ce qu'ils les attendaient. De part et d'autre de chaque position que les Perses avaient pris sur le rempart se tenaient une unité Grec. Ces dernières chargèrent les malheureux assaillant qu'ils n'eurent aucun mal à repousser, le commandant de la garnison lui meme combatit parmis ses hommes pour leurs montrer que la victoire était possible.
Ce fut au beau milieu de ce combat que retentit le cri d'un animal en furie, personne ne preta grande attention à ces cris, la présence d'élephants dans les rangs adverses etait bien connu mais qu'aurait pu des elephants contre des murailles?! Le commandant de la garnison prit conscience de son erreur quand un grand fracas de bois volants en éclats suivit ces cris. Il réagit immédiatement en enoyant deux unités de piquier à la rencontre des pachidermes en furie. Mais il était déja trop tard, les piquiers eurent beau courir, il ne purent devancés les cataphractes et éléphants adverses qui atteingnirent la place centrale juste avant les piquiers, lesquels furent debordés par le nombre et moururent en combatant. Le général ne put que constater le désatre lorsque les bannieres Perses furent plantées sur la place principale. Un officier s'approcha de son commandant et lui dit : " Général, les banieres perses flotent sur la place, mais la moitié de l'armée perses est désormais hors d'état de nuire, nous sommes quasiment à force égale, déscendons des remparts et reprenons la place aux perses!".
Mais le générla voyait bien dans quelle situation tragique il était et répondit : "Trop tard, lieutenant, ne voyez vous pas le compteur qui dans une minute donnerat la victoire aux Perses?".
A quoi l'officier ne put que répondre " Euh, vous vous sentez bien commandant? ".
Au total dans cette journée plus de 1000 Perses perdirent la vie contre à peine plus de 300 Grecs, laissant une garnison Grec encore forte de 1700 hommes en état de combattre contre a peine plus de 2000 Perses, mais la victoire des Perses était incontestable.