La saga des Parthes

Bon ce n'est qu'une esquisse.


L'apparition de Xerxiclos sur la place publique souleva la foule rassemblée pour écouter les premières paroles du jeune roi.

Citoyens ! Amis ! Frères ! Nous somme rassemblés ici, aujourd'hui, pour savourer un fruit; le fruit de notre labeur, le fruit du sang et des larmes versées pendant les long mois où nous avons oeuvrés pour retrouver notre unité. Les gouverneurs à qui le royaume avait été laissé a charge serons exécutés ici-même pour leur trahison envers le peuple, mais également et surtout pour les atrocitées commises envers ce même peuple. De l'or en fusion leur sera coulé dans la gorge jusqu'à ce que mort s'ensuive. (hrp: y'aurait pas un air de déjà vu là ? )

La foule aceuillit cette nouvelle par une bruyante ovation. Lorsque le silence fût rétablit la roi reprit la parole, mais chacun nota que son ton avait changé.

Cependant, en cette heure de réjouissances, une ombre planne toujours sur le royaume. Nous n'avons pas les troupes nécéssaires à la défense de notre territoire et la famine règne sur la majeure partie du royaume. C'est pourquoi, avec bien de rétisences, je me vois obliger de décrèter la mobilisation générale. J'espère que chacun comprendra la nécéssité d'un tel décret. Quand à la famine, un rationnement de chacun d'entre nous, y incluant moi, devrait suffire à freiner cette famine le temps que les choses reviennent à la normale.

Un murmure parcourue la foule, mais mourut bien rapidement.

Mais, assez d'annonces de malheurs pour aujourd'hui ! Laissons la place aux réjouissances et aux éxécutions. Buvons, mes frères, ce soir la vie est belle !

L'aube pointait à peine à l'horizon que le fidèle second de Xerxiclos se dirigait vers la salle du conseil sûr d'y trouver le roi. Il s'y trouvait en effet, en compagnie de dizaines de cartes et de parchemins, mais également d'une cruche de vin; vide naturellement.

Encore un fois le roi n'avait pas dormis et avait passé la nuit à étudier les différentes possibilitées d'avenir du royaume.

- Second: Bon matin mon roi !

- Xerxiclos: Ah, combien de fois t'ais-je demander de m'appeller par mon nom et non par mon titre !

- Second: Encore une fois de plus, mon roi !

-Xerxiclos: soupir Bon, on est pas sortis du désert ... Oublions ça pour le moment. Quelles nouvelles aujourd'hui ?

-Second: Les arméniens ont quitté le territoire comme leur roi l'avait promis à l'execption de quelques unitées au sud-ouest de Chorasmus dont les transports ont été retardés par une tempête.

Le décret de mobilisation général à été très bien reçu; des soldats entrainés sortent des casernes tel un déluge. D'ici quelques mois chaque cité aura le minimum de trois unitées que vous avez imposé tout en ayant des forces sur le terrain pouvant porter main-forte à n'importe quelle cité qui serait assiégée en moins d'un mois.

Les chantiers navaux on annoncés qu'ils livrerait la première partie de votre commande d'ici la fin du mois.

Enfin chaque unitée dispersée sur le territoire a reçu l'ordre de rallier la ville la plus proche selon vos ordres.

Xerxiclos: Excellent ! Qu'en est-il des troupes d'archers ?

Second: Elles seront prêtes dans quelque mois ainsi que, je voulais vous en faire la surprise, plusieurs unitées d'archers montés sont en cours d'entrainement et seront prêtes dans quelques mois.

Xerxiclos: Excellente nouvelle ! J'ai moi aussi une nouvelle à t'annoncer; dans la but d'enrayer la famine qui règne nous aurons besoin de nouvelles sources de nourriture et ces territoires
sa main se porta sur une carte en sont particulièrement riches ainsi que d'autres ressources.

Second: Aurais-je l'honneur de commander ?

Xerxiclos: Bien sûr, peut-être même t'accompagnerais-je si mes devoirs ne sont pas trop lourds. Ton armée est déjà en cours d'assemblage.

Second: C'est pour bientôt alors ?

Xerxiclos: Oui.

Le roi sourit a son second et s'appretait à sortir lorsque celui-ci l'interpela:

Second: Au fait, le général corrompu résidant à Gorgo sera "mis à la retraite" très bientôt.