Une armée grec avait été vu sur la dernière province Perse c'est à dire la ville de Sardes. D'après les éclaireurs l'élite de la grèce était présente, leur meilleurs hoplites étaient présent, ainsi que de nombreux contingent de cavalerie lourde, le tout soutenue par des archers.
Nous décidâmes nous les vainqueurs de Sardes de leur montrer que cette ville serait Perse et le restera dorénavant. On fit mouvement avec nos armée pour contrer l'avancée grec.
- Ou est l'ennemi, on nous avait assuré la présence de leur armée dans les environs, dit le général Perse.
- Leur armée est là seigneur, ils se terrent dans la forêt probablement. Un éclaireur nous à confirmer il y a encore peu leur présence, aux dernières nouvelles ils doivent se trouver en contre bas, répondit un capitaine.
Suite à cette discussion, le général fit convoquer son armée.
-Soldat de Perse, aujourd'hui n'est pas un jour ordinaire. Nous n'allons pas à la guerre mais nous allons traquer des lapins. Des beaux, grands et forts lapins.
Un grand rire éclata dans les rangs de l'armée du Pont, les hommes souriaient et ils savaient que les augures étaient avec eux.
Les armées s'ébranlèrent et se mirent en ordre de marche. Les armées avancaient aux pas cadencé en direction d'une colline.
En contre bas se trouvaient une forêt obscure et épaisse.
A n'en pas douter le géénral grec avait dû stationner ses hommes ici.
Une unité de cavalerie composé d'homme fidèle parti en avant pour repérer les positions adverses dans la forêt.
Il fallut peu de temps, pourqu'une pluie de tait innombrables apparut dans les frondaisons de la forêt.
Le général regardait un des ses conseillers.
- Il faudra faire ériger une statue ou un monument à leur mémoire à Sardes, leur sacrifice ne sera pas vain pour l'empire. N'oubliez pas une chose soldat de Perse, ce qui l'action la plus noble que vous puisisez faire est de donnez votre sang et votre vie pour la patrie, disait-il a sa garde.
La position adverse repéré, les armées se remirent en marche. Peu de temps après un contingent de cavalerie adverse fit mouvement pour tenter de traquer la cavalerie lourde de la seconde armée Perse.
Elle fut contré par le général Jibbs 1er en perosnne.
Je chargeais me cramponnant aux rennes de mon cheval. La vitesse du galop et la pente me laissait présager le pire à l'impacte. Nous risquerions de nous rompre les os. Le vent claquaient aux oreilles
Autour de moi mes gardes du corps, un regard de haiine les animaient.
L'arme au clair ils chargèrent.
POUR L'EMPEREUR, POUR LA PERSE, criaient-ils à l'unisson.
L'intensité de l'action leur couppa le souffle pour la plupart
La cavalerie grec était de coté et semblaient ne pas avoir vu la menace sur leur flanc.
L'impact de ma volonté implacable fit voler en éclat la formation adverse.
A l'impact le chef d'unité grec se vit transpercer par mon épée.
Les chevaux hennissaient, des ordres était aboyés, et le râle des bléssés commença. Le sang giclait et son odeur montait rapidement dans les airs ennivrant les soldats Perse, Car se sang n'était pa sle leur mais celui de leur ennemi.
Mon cheval se cabra renversant ainsi un autre ennemi qui périt sous les sabots. Je continuai sur ma lancé, un grec qui devait avoir perdu son cheval à l'impact vit sa tête s'envoler pour retomber lourdement au sol.
Le peu de survivant dans l'unité grec ne demanda pas son reste et s'en alla à bride abbattu.
Les archers se mirent en position et commencèrent leur tir de barrage sur les archers adverses. Nombre de grec péri sous les tirs, les hoplites lourds se mirent alors en branle pour tenter de faire taire cette pluie.
Pendant que les archers survivants chez les grec tentaient de les couvrir.
La cavalerie grec fit mouvement pour tenter de flanquer la seocnde armée Perse.
Mais la cavaleir lourde teint bon et ne fléchit pas à l'impact.
Repoussant par la même occcasion l'assaut.
S'en était trop pour le grec.
Son infanterie chercha le contact et rencontra fatalement les lignes de phalanges Perse.
Un combat bref s'engagea alors, la ligne de front grec s'enfuya quasiment instantanément, une des unité commandé par un lache probalement aviat fuit à l'impact entrainant alors le reste des troupes.
Le reste fut une affaire de poursuite de troupe.
Hélas la journée se faisaient tard et les grecs purent réussir a se cacher à nos yeux sous via les couverts que leur procuraient la forêt et la faible clarté de la lune
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Voila c'est fini, un peu plus court que mon premier récit.
Mais avec une partie ou j'essaye de vous faire rentrer dans l'action au plus proche de la bataille.
Ah oui biensur je remrcie raphael qui a joué la seocnde armée pour le cou.