Senat de Rome

Suite à la grave crise de ces derniers mois,
le nouveau Dictateur de Rome, sauveur de l'Italie, Cornelius Silva,
vient de prendre ses fonctions et recevra en personne tous les représentants des peuples du monde connu.

Un message venait d'arriver au Sénat de Rome :

Il serait bon que le nouveau dirigeant de Rome s'exprime quant à ses intentions sur le continent Africain.
Les véléités des territoires alliés de Rome inquiètent les dirigeants de Cirta.

Ont-ils raison de suivre avec intérêt le développement de cette alliance?

Cornélius parlait au nom de Rome et du Sénat, étant élu Dictateur Maximus.
Voici ma reponse, envoyé de la puissante carthage:
Nous n'avons aucune prétention en Afrique.
Rome a décidé de poursuivre son Destin Seule pour étendre sa lumière dans toute l'Italie
(HRp: j'ai repris mon autonomie diplo).
Par contre Rome revendique la Sardaigne, la Corse ainsi que la partie ouest de la Sicile.
(HRp j'ai pas VR sous les yeux, je détaillerai plus tard)
J'attend avec impatience votre réponse.

Senat de Rome Interieurtente1pe5

Dictateur Maximus !

Nous vous remercions de la clarté de vos intentions et la promptitude de votre réponse.

Nous ne souhaitons nullement porter la guerre en Italie et avons bien entendu vos désirs d'unification.

L'Afrique de l'Ouest est notre objectif.

En vous souhaitant une longue et prospère destinée sous l'oeil des Dieux!

Le compte rendu que fit Septimus Varo, le diplomate envoyé au Nord Est déplut fort à Cornelius Silva Dictator.
Ce n'était pas exactement l'image de Rome qu'il désirait donner.
Aussi Septimus V fut déstitué, ses propriétés dans l'Adriatique confisquées, et finalement Conspué sur la voie publique.
Le dictator nomma un autre diplomate pour les affaires du Nord, un de ses proches, Brutus Carala. Celui se mit en route vers Solva sur le champs.

Un Celte habiller en Gaulois fis son apparition dans le Sénat Romain.

Ave !
Je me nome Eporedorix, du clan Mc Gilldag, comme vous l'avez peut être entendu dire, le Royaume de mon Roi, Conrad 1er a decidé de calquer la culture Romaine que ce soit architecturallement, sociallement ou Millitairement, bien que comme vous le constatez nous avons gardé certains petits signes distinctifs (le messager carressait sa moustache)

L'ambassadeur saisis quelque chose contenu dans sa manche de toge, certain soldats de garde prirent peur pensent que le Gaulois cachait peut être une redoutable lame de manufacture celte dans sa manche, c'était en faite un message.

Citation :: Aujourd'hui par la présente missive, moi Conrad Mac Gildag, à la grâce des dieux, j'ai decidé d'unir mon peuple pour son bien est sa prosperité, au peuple Romains, si ces derniers y sont favorable.
Nous seront ainssi mieux armés contre les périls qui nous guette a l'est.
Conrad 1er

[HRP: En étant clair, je te propose alliance.]

Cornelius Silva se leva et pris la parole:
Rome se rejouit de la disposition des Britons à embrasser la culture romaine. Cela ne peut qu'améliorer les relations entre nos deux peuples.
Concernant votre proposition d'alliance,
Nous y sommes favorables, mais sachez que nous sommes déjà les alliés de vous cousins celtes de la Narbonaise, il vous faudra donc trouver entre alliés des terrains d'entente, afin de preserver l'équilibre economique de la Gaule.
Rapporte ces mots à ton Roi, et reviens nous donner sa réponse.

Etant donné que nous somme frère de sang en temp que celtes, je crois que nous n'auront guerre de problème a nous entendre, le Roi a déjà commencer à réfléchir sur les frontière naturelle à utiliser.

Praetor Nombre de messages : 364 Date d'inscription : 30/10/2006

l'ambassadeur gaulois eu vent des tractations qui se déroulerent au senat ces dernières 24 h. il envoya en urgence un messager à son roi lui informant des dernieres nouvelles en provenance de Rome.

Loémias se rejouie en apprenant la nouvelle.

Les frères bretons étaient devenus ses alliés.
il eu cette pensée en regardant la carte de son royaume dessiné sur une peau de chèvre :
"entre alliés, il va etre plus facile de s'entendre sur le partage de la germanie !!!"

Antoninus Paulus trouva ce billet posé sur sa couche lorsqu'il vint faire sa sieste dans sa tente au siège d'Aquaviva :

Général Paulus, mes espions m'informent depuis plusieurs mois de votre présence au nord du Danube. Si c'est ainsi que Rome respecte ses accords diplomatiques je me ferai un plaisir d'agir de même.

Skiluros

Paulus fut plus que surpris de constater que malgrès les sentinelles, un barbare pouvait entrer dans sa tente en pleine nuit et le narguer. De ssueurs froides coulaient le long de sa nuque lorsqu'il songeait que l'intrus aurait pu l'assassiner de la même façon. Il fit punir les sentinelles de faction, et doubla la garde.
Dans la journée, un cavalier germain apporta un message aux gardes sarmates de Solva:

Roi des steppes, le Fleuve que nous dénommons Danube est d'après notre accord la frontière naturelle entre nos deux peuples.
Les legions romaines mettent depuis plusieurs semaines le siege devant la cité d'Aquaviva qui se situe au Sud de ce fleuve.
Seules quelques troupes légères ont passées le fleuve dans un souci d'empêcher la garnison de cette cité félone de rameuter des renforts. Mes troupes n'ont pas pas ordre de monter plus haut.
Notre accord est respecté.
Mais vos mots ont l'aigreur et l'impatience de celui qui a des plans à l'intéreiur des plans. Et nous saurons nous montrer extremement ferme envers toute tentative d'intimidation de l'espace vital Romain.

//HRP: hum ... Aquaviva est de mon coté du Danube ou alors j'ai la berlue Senat de Rome 929583

... Singidinum est du tiens ....

(HRP) Effectvement, en regardant à nouveau VR aujourd'hui, Aquaviva se situe à 1 Hex au dessus de la ligne du Danube. Les cartes romaines ne sont pas aussi précises que les sarmates Senat de Rome 929583

.
Ceci dit j'y suis , j'y reste, si tu veux cette cité, viens la prendre ^^ (HRP)

ce qui se traduit par le RP suivant:

Rome a décidé de châtier la cité de Aquaviva . Les maitres de cette cité ont gravement et à plusieurs reprises semé la terreur parmis les populations pacifiques vivant sur la rive sud du Danube et placées sous la protection romaine.

Noble envoyé de Rome.

Sache que les sages de l'esplanade de Cirta n'ont nulle intention belliqueuse envers Rome et ses alliés.

D'ailleurs nous nous refusons toute alliance avec les agressifs citoyens de Syracuse et Akraga.

Par ailleurs, Panormus serait plus encline à proposer une alliance entre nos deux civilisations.

Donc soyez assuré que nous ne viendrons nullement vous attaquer dans le dos alors que votre envahissant voisin des steppes commence à faire sentir sa pression sur l'ensemble des civilisations digne de ce nom.

Dans la salle du conseil du dictateur Silva, tout le monde était réuni pour parler des affaires urgentes, lorsqu'un messager arriva.
Ce dernier leva la main droite et pris la parole comme le veux l'usage.

Avé Dictateur Silva. Un émissaire venant des contrées grecques demande audiance. Il se nomme Kidrus et dit être la voix du Chef de guerre Grecs et gouverneur de Sparta, Akat. Il est porteur d'un message de la plus haute importance.

Faites le entrer.

Un homme dans la fleur de l'age entra, il portait une tenue simple, ne laissant transparaitre aucun signe de richesse. Toutefois les couleurs et le symbole de sa cité ne manquait pas à sa tenue. Deux hoplites rouge et or l'encadrait. Cornelius Silva pris la parole.

Parle, Kidrus, envoyé d'Akat de Grèce. Nous écouterons ce que tu as à dire.

Dictateur Silva, le gouverneur et chef de guerre Akat vous transmet ses salutations. Il cherche à connaitre vos intentions quand à votre expansion vers le sud de notre péninsule. La guerre n'a pas encore atteint le point de non retour et les dégats que vous avez pu causer ne sont que mineur.
Aux portes Nord-Est de votre empire se dresse le territoire de Skiluros assoifé de conquetes. Il ne s'arretera pas à vos frontières.
Nous souhaitons vous proposer un pacte de non agression afin que nous puissions affronter cet enemi potentiel en étant sur qu'aucune fourberie n'aura lieu dans notre dos.
Pour preuve de votre bonne foi, Akat demande que vous stoppiez votre expansion sur notre péninsule et que vous liberiez Appolonia, cité cher à notre coeur, les autres cités plus au nord de notre péninsule ne nous importe guère, vous pouvez les garder.
Avant de prendre une décision hative, nous vous demandons de bien réfléchir et nous vous rappelons que nous n'avons encore aucun enemi à nos portes et qu'Appolonia est trop importante à nos yeux pour l'abandonner.

Le diplomate baissa la tête en signe de respect et fit un pas en arrière pour indiquer qu'il avait fini de parler. Il resta ainsi attendant que Cornelius Silva fasse le point sur tout ce qu'il venait d'entendre, y réflechisse et peut être même en discute avec ses conseillers. Il savait que le dictateur ne parlerait pas à la légère et qu'il lui faudrait certainement plusieurs minutes pour peser le pour et le contre avant de donner une réponse. Les gardes quant à eux, n'avait pas bouger d'un cil, l'endurance et la discpline transparaissaient au travers d'eux.

En effet, Cornelius Silva Dictator prit le temps de reflechir. Il demanda au plénipotentiaire grec de se retirer dans une salle prévue à cet effet avec son escorte. Lorsque le temps fut venu, il le fit convoquer.

Dis à ton maitre, le Roi de Sparte,
Que Rome se porte garante de la préservation du patrimoine hellenistique et de la sauvegarde de nos deux cultures qui sont soeurs dans nos coeurs.
Face à l'expansion sans limite du seigneur venu des steppes, Rome est la seule à pouvoir garantir cela. C'est pourquoi nous avons décidé d'établir un cordon sanitaire au Nord de son Royaume,qui s'étendra pour le présent sur une ligne au Nord de Pella/Thessalonica/Philppi.
Lorsque celle ci sera établie, des négociations pourront être entamées pour restituer des cités macédoniennes à sa couronne.
Concernant la cité d'Appollonia, elle lui sera rendue à la prochaine saison (HRP dès que la cité de Bilazora sera tombée).
Que les dieux veillent sur le royaume de Grèce.

Puis le diplomate fut invité à se délasser dans une autre villa prévue à cet effet avant de repartir pour ses terres.

Une fois la réponse donné, le diplomate s'adressa au dictateur Silva

Dictateur Silva, je transmettrais vos sages paroles à mon seigneur. Je lui ferait parvenir un message et j'attendrais en ville sa réponse afin de vous la transmettre et d'être présent pour les futurs négociations. Il sera heureux d'apprendre qu'il est possible de trouver un terrain d'entente.

Puis, avec humilité le diplomate fit demi tour et se retira. L'invitation fut accepté avec plaisir. Seul les gardes restèrent stoïques et ne prirent part à aucune détente.

Plusieurs jours aprés, le diplomate obtint de nouveau audiance afin d'apporter la réponse d'Akat.

Voici une missive de mon seigneur à vous remettre en main propre.

Citation :: Dictateur Cornélius Silva,

Notre peuple n'a aucun besoin d'être chaperonné.Nous voulons un couloir sur l'Est de la péninsule afin de participer à limiter l'expansion du seigneur des steppes. Le peuple Grec est fier et fort, capable d'assurer sa survie seule, vos paroles à ce propos seront considérée comme amicale même si à nos oreilles cela sonne comme une insulte. Prenez Bylazora et Gariscus si vous le désirez mais laisser nous Pella, Tessalonica et Phillipi afin de pouvoir vous épauler en tant que cultures soeurs et égales

Akat
Chef de guerre des cités libres de Grèce

Dictator livra le message suivant au diplomate:

Et c'est bien ce que nous avons déclamé, fiers grecs, Mais peut être n'avons nous pas été assez clairs. En d'autre terme, la ligne Pella , thessalonica et Philippi est vôtre, nous établissons une zone vitale au dessus de ces cités. Et de futures négociations pourront être envisagés pour l'expansion de votre royaume.
vous voilà rassurés je pense.
Les guerriers grecs sont forts. Et nous esperons pouvoir unir nos forces à eux pour repousser toute tentative d'infiltrations barbares dans le futur.
Mais pour l'heure sans Rome vous auriez déjà les cavaliers cruels sarmates aux portes de Delphes.
Longue Vie au roi de Sparte.

Kidrus avait des instructions qui lui permirent de répondre immédiatement.

Moi, Kidrus, je parle officiellement au nom d'Akat chef des armées des cités libre de Grèce.
Nous sommes heureux de compter Rome comme notre soeur et nos valeureux combattant marcheront à vos coté face à l'enemi, quel qu'il soit.

Cornelius Silva avait mûrement réfléchi à sa décision et avait fait ses preparatifs en conséquence depuis des mois, en secret.
Les légions avaient reçu leurs ordres de marche depuis l'hiver, chaque tribun, général et centurion connaissent les instructions à suivre.

Ce matin de Juillet 16 BC, le Dictator Maximus s'adressa au senateurs et membres des grandes familles romaines, entouré de sa garde prétorienne et de ses généraux:

Rome a décidé qu'il était temps de libérer les peuples de Thrace et de Dacie de l'occupation Sarmate, et de les integrer dans le nouvel espace vital que la glorieuse cité éternelle réclame.
Sur l'honneur de mon nom, de celui de mon père, et de l'ordre équestre duquel je suis issue, je promet de mener une campagne rapide et victorieuse et de ramener gloire et puissance au nouvel Empire Romain!
Nos Légions traverseront le Danube ce soir!
(en choeur)
HAIL Maximus Caesar!!!!

Le Sénat de Rome est-il rassuré quant aux intentions pacifistes des Hommes de Cirta?

Nous le sommes, envoyé de Kartago. Nous n'avons pour l'heure , aucune raison de douter de votre parole.

Après avoir frôlé la crise économique, Rome était au bord de la crise politique. Cette campagne que le Dictator Cornelius Silva avait promise courte et victorieuse s'éternisait; pire, après plusieurs années de batailles stériles, et loin d'avoir été repoussés au delà du danube, les barbares étaient désormais aux portes du sol italien.

Les légions envoyées en campagne avaient disparues, les unes après les autres, submergées par une enemi chaque fois plus nombreux et usant de tactiques qui désorientaient les romains. Grâce à l'extrême mobilté de leurs archers à cheval, les troupes sarmates se regroupaient brutalement là où l'on ne les attendaient pas. L'initiative leur appartenait à chaque coup. La supériorité de leurs arcs composites à double courbure accablait les lourdes cohortes, même les plus entrainées et disposant du meilleur équipement.
Depuis ces trois dernières années, la superficie du tout jeune empire romain avait rétrécie comme une peau de chagrin. De l'offensive on en était passé à uen stratégie de défense désespérée.
Et Il fallait désormais songer à protéger les frontières naturelles de l'Italie.

C'est dans ce contexte, au plus fort d'un mécontentement grandissant, d'intrigues de couloirs et de complots visant à le destituer de ses fonctions, quid par la ruse politique,quid par l'assassinat, que le Dictotor Maximus décida une nouvelle loi autorisant la mise en armes de tous les hommes de 17 à 60 ans sur tout le térritoire romain, y compris la sicile. Les soldats partis en retraite furent rappellés dans les cohortes. Partout dans la péninsule de nouvelles légions se formaient. L'italie devenaient un immense camp d'entrainement de la légion.
De nouveaux impôts furent levés chez les classes des équites et des vieilles familles nobles.

Pour parer à tout danger, on fit executer publiquement certains leaders de familles soupçonnés de sédition et de traitrise. A tors ou à raison. Il fallait montrer de C Silva n'était pas homme à faiblir dans la tempête.
Les généraux, unis par le pouvoir, le nepotisme et la corruption restaient fidèle à l'homme fort de Rome.

Mais L'intervention des Ibères, et leur providentielle aide en talents d'argent et en sersterces avaient rétablie l'économie. Et avaient fait plus que tout autre chose pour sauver la tête du Dictator.

- Il n'y a pas de querelle de sang entre la Bactriane et Rome, l'Union des Républiques Grecs socialistes propose donc une paix sans condition à la cité de la louve.

Rome accepte cette paix avec la lointaine ligue grecque de Bactriane.
Et loue les dieux de cette bonne nouvelle.

Hrp: Et bonne chance, tu en auras besoin Senat de Rome 929583

HRp.

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