Athéna : Sénat de la Ligue Achéenne

Salutations Noble Envoyé des Pays Lointains.

Range ton fer et parle sans crainte. Nous saurons t'écouter.

Exprime-toi sans détour et sans violence, sans malice et sans peur.
Le verbe sera accueilli comme il se doit, les gestes d'amitiés et les menaces aussi.

L'émissaire repartira sans heurts, comme il est venu, à pied ou à cheval.

Les représentants de nos glorieuses cités héllènes tendront l'oreille à ceux qui souhaiteront parler devant eux.

Un dignitaire romain, messager du Sénat, se présenta aux portes du palais d'Archonte Andriskos à Athènes. Une fois introduit dans la salle du conseil, il tint les paroles suivantes :

"Nobles voisins Grecs, je suis venu, au nom du Sénat de Rome, vous présenter un pacte officiel de non-agression et une assurance d'un commerce dépourvu de taxes entre nos nations.

Devant l'émergence de forces menaçante tout autour de nos riches civilisations, le Sénat est même prêt, sans pour autant parler d'alliance, à proposer un accord tacite de soutien militaire au cas où l'une de nos deux civilisations venait à être mise en péril.

En espérant que vous ferez bon accueil de cette proposition, recevez le salut des trois consuls et le Sénat de Rome."

Une missive signée de l'intendant de la Maison Scipii parvint au palais grec :

"Par ce parchemin, l'intendant de la Maison Scipii vous informe qu'aucune taxe de quelques sorte ne sera appliquée sur les échanges commerciaux entre nos nations et ce afin de promouvoir la distribution des richesses de nos deux grandes civilisations.

En espérant que la levée des taxes par votre propre intendance soit effectuée dans les meilleurs délais, je vous offre le salut de Scipion l'ancien."

Une courrier romain de la Maison Julii, porteur d'un message, vient se présenter devant le Sénat de la Ligue Achéenne :

"
Suite à une décision du Sénat de la République Romaine, nous vous informons par la présente que la Maison Julii a levé toutes les taxes qui pouvaient s'appliquer sur les échanges commerciaux entre votre royaume et les territoires placés sous sa juridiction.

Dans l'attente de la levée des taxes sur les produits provenant de vos terres et à destination des territoires sous notre juridiction.

Sénatus PopulusQue Romanus



"

La maison Julii reçut la missive suivante.

Suite aux accords convenus, la Ligue Achéenne a levé toute taxe sur nos échanges commerciaux respectifs. Que nos nations prospèrent en paix ensemble.


Archonte Andriskos
Ligue Achéenne
Grecs

L'Archonte Andriskos fit appeler l'ensemble de ses conseillers ainsi que les ambassadeurs de l'ensemble des dirigeants du Monde Connu qui lui avaient déjà été délégué.

l'Archonte fit organiser en leur honneur un fasteux banquet en l'honneur de la Paix et par 3 fois fit circuler parmi ses invités la ronde des esclaves portant les meilleurs vins issus des régions d'Aquila et de Cappadoce.

Très rapidement, les convives en vinrent à apprécier l'hospitalité particulièrement chaleureuse de l'Archonte et l'atmosphère de la journée se détendit, alors que le soleil de cet après-midi de novembre
finissait de réchauffer les coeurs, à défaut d'en réchauffer les corps.

C'est alors que l'Archonte Andriskos choisit de prendre la parole.

Hommes de sagesse,
La Ligue Achéenne, représentée ici par vous-mêmes, venus de toute les Cités Grecque, ainsi que nos cousins Héllènes de Macédoine accueillent en leur sein leurs cousins Héllènes de Séleucie.

C'est donc officiellement que les Héllènes de ces trois nations ont choisis de lier leurs destins en un seul destin commun.

Que l'avenir soit propice à la paix. Que les Dieux veillent avec bienveillance sur nos cités. Les Hommes de bonne volonté honoreront les Dieux, au quotidien, dans leurs activités comme dans leur tâche.

Veuillez porter auprès de vos Seigneurs que les Héllènes de nos 3 royaumes se sont alliés

Archonte Andriskos
Ligue Achéenne
Grecs

l'Ambassadeur Babylonien approcha, après avoir reçus l'accord il fit son discours

Comme vous pouvez sans doute le voir, je suis un Babylonien, un Babylonien libre ! C'est donc libéré de mes chaines que je viens à Athène, je parlerais sans peur car j'ai confiance en la parole des Grecs.
Notre liberté est menacée, comme fut la votre, nous nous somme libéré de l'emprise des séleucides comme vous vous êtes libéré du joug macédoniens. De par cela, vous pouvez nous comprendre, vous êtes desormais ami avec votre ancien oppreseur, nous avons souhaité faire de même avec l'empire héllène, nous avons été rejeté avec violence. Nous savons que vous ête allié des séleucides, et donc théoriquement, vous nous considerez comme ennemis, mais nous savons aussi que vous êtes passé par les même épreuves que nous.

Archonte Andriskos, pouvez vous raisonner les séleucides, seule votre intervention pourrait nous sauver, partout ou nous sommes allés demander de l'aide nous avons été rejetés. Si nos situations avaient été inversé, nous serions intervenus au nom de la liberté qui nous est chère !

l'Ambassadeur resta droit devant le senat; en attente d'une réponse

Salutation Babylonien,

Nous entendons aujourd'hui votre requête.
Même si nous la comprenons, nous ne pouvons que constater votre situation.

Nos cousins Séleucides partagent notre culture et notre amour des belles choses, même si nos coutumes divergent parfois.

Sous le prétexte de vivre des épreuves soi-disant identiques, vous essayez de mener la discorde au sein de l'alliance des Hellènes.

Nous nous tournerons vers notre cousin, le roi Sethascorpion. Sa parole sera respectée et suivrons sa position.
Nous n'avons nulle haine ou rancoeur contre vous, mais n'éprouvons également nul amour à votre endroit.
Néanmoins, veuillez bénéficier de notre hospitalité en attendant notre réponse.

L'ambassadeur babylonien fut invité à se retirer dans l'une des maisons contruites à l'attention des voyageurs invités, protégés du Palais de l'Archonte.

[HRP/]Compte tenu de la situation de la partie, "bloquée pendant les vacances de Noël, et de ma connexion merdique avec un écran 15 pouces, je ne peux pas regarder correctement la partie, ma réponse sera définituive après consultation de mes alliés et de la campagne, à bientôt tout de même pour discuter de ta proposition. Je suis de retour le 30[/HRP]

Babylonien,

Nous avons écouté vos propos.

Nous ne pouvons tolérer une rebellion de votre part à l'encontre de nos cousins, les séleucides.

Par conséquent, nous ne porterons pas de votre part de message de paix à l'intention du seigneur Sethascorpion.

Faites preuve de sagesse en vous rendant à votre seigneur légitime. Les habitants de Babylone vous remercieront de votre clairvoyance.

Les hellènes ne seront pas vos alliés dans une guerre civile que vous provoquez !!

Sur ce faite, l'émissaire du roi auto proclamé de babylone fut renvoyé sèchement vers sa belle cité.

Le diplomate s'apprêtait à partir, lorsque que des gardes se saisirent de lui pour l'expulser, avant d'être emporté il menaça les grecs :

Ceux qui sont près à sacrifier leur liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l'une ni l'autre, vous semblez l'avoir oubliez depuis que vous vous encroutez dans votre ignorance et votre luxure. Nous nous battrons, jusqu'à ce que Babylone soit en cendre ou jusqu'à ce que nos armée atteignent la mer Égée. Soyez en sûr, si les Séleucides sont vaincus, vous les suivrez sur le Styx.

HRP: j'ai le droit de dire un truc avant de me faire virer

[HRP/]Aucun souci pour t'exclamer avant l'expulsion, aucune rancune de ma part. C'est juste une question de cohérence politique.[/HRP]

Le Royaume Briton souhaiterai revoir fleurir le commerce avec les cités Grecs, Il garantira la sécurité des marchands grecs sur son territoire !

HRP : devenir neutre j'ai envoyé une propo pour le prochain tour

Missive du Sénat de Carthage :
Votre flotte envoyée en toute illégalité sur le port de Darnis en Cyrénaïque a détruit la flotte carthaginoise composée de 3 birêmes qui allaient rapatrier l'armée bloquée dans la cité, comme décidé lors des accords de paix.
Le Sénat est outré de cette destruction alors que jusqu'à présent nos peuples étaient amis. Les Sénateurs espéraient même, une fois la paix conclue avec l'Egypte, votre alliée, vous proposer un accord commercial.
Mais votre comportement est indigne d'hommes civilisés. Nous exigons la restitution de 3 birêmes ; prenez les dans la flotte coupable de l'attaque de Darnis. Nous considérerons l'affaire close si dans un mois 3 de ces navires nous sont cédés. Les accords d'évacuation avec l'égypte vont pâtir des erreurs de vos capitaines. Carthage ne tolérera pas d'autres impertinences.
Votre pays est faible, déjà en guerre ; ne nous forcez pas à devenir plus hostiles, car nous avons des troupes qui regrettent la paix récemment signée et des sénateurs prêts à tout pour venger l'humiliante sortie de guerre.

HRP: voici le log. J'hausse le ton mais je me doute bien que c'est involontaire (mais aussi quelle idée de venir dans ce coin là ????).
Merci de me rendre mes 3 bâteaux.

Spoiler:

[HRP : Ceci est une grosse boulette, c'était une volonté de te "mettre la pression" pour vous fassiez la paix. Nulle volonté de te couler quoique ce soit. J'ai été un peu vite dans mes ordre et sans volonté aucune de t'empêcher de rentrer chez toi

Maintenant pour te "rendre tes bateaux" immédiatement vu ma difficulté à construire, cela va être difficile.

Mais une fois le commerce repris, il devrait être envisageable de faire un geste d'apaisement.[HRP]

Une malheureuse initiative d'un capitaine qui a mal compris les signaux envoyés depuis la terre. D'où ce malentendu qui fut fatal à vos navires.
Et nous qui crûmes un instant qu'il n'y avait point eu de victimes.
(je n'avais pas encore vu le log)

Un diplomate gaulois arriva et voyant les tractations qui avait lieu entre sénateur et carthaginois, il se permit de les interrompre :

La Confédération des Gaules demande le retour immédiat de la ville de Massilia dans son giron, faute de quoi, nous aviserons.

Citation :

faute de quoi, nous aviserons

[HRP : Très effrayant ]

Devant l'urgence de la situation, l'ambassadeur de Carthage à Athènes avait courru au Palais.
Il y trouva un gaulois en haillon qui voulait aviser. Comique situation. Ces gaulois perdaient les guerres et réclamaient alors même qu'ils n'avaient plus les moyens de se battre. D'ailleus la menace étaiet bien plus révélatrice ; ils aviseraient...
Le diplomate punique rigolait intérieurement. Les grecs avaient réussi un beau coup avec l'annexion de leur ancienne colonie. Nul doute qu'elle deviendrait bien vite un haut lieu de commerce.

Mais le commerce avec les grecs ne seraient pas avant longtemps à l'ordre du jour du Sénat de Carthage. En tout cas pas si les dirigeants grecs ne le recevaient pas immédiatement. L'ambassadeur carthaginois avisa un scribe :

Va prévenir tes chefs que ma parole est celle de ma nation et qu'elle ne souffre aucun délai. Je viens ici pour la réponse grecque. Le délai accordé par les sénateurs prend fin dans quelques heures. La flotte de guerre punique a quitté le port de l'amirauté. Carthage ne plaisante pas, et nous ne souffrirons aucune entourloupe.
Va dire à tes chefs que ma parole est celle de ma nation et qu'elle vous apporte tout à la fois la paix et la colère.

Nous entendons vos propos "sages de carthage".

Autant nous déplorons cette situation et nous sommes prêt à un règlement pacifique de cette situation et sommes prêt à vous dédommager dans les plus brefs délais, autant votre ton n'est pas celui de ceux qui souhaitent véritablement trouver une solution pacifique.

Nous voulons bien répondre à votre demande, mais sachez fair de preuve de moins d'orgueil.

Une volonté de calmer une situation par lesmenaces n'a jamais été la volonté de calmer véritablement une situation.

Ne confondez pas dans votre rapidité à posez conditions et menaces.

Je répète donc mon propos : nous sommes prêts à régler ce différents sur les bases que vous proposez, mais pas sur le ton sur lequel vous l'exprimez. Il ne s'agit pas d'orgueil de notre part, il s'agit tout simplement de confiance entre deux partis adverses.

En soit, sages de carthages sachez que vous recevrez vos bateaux.

Non pas parce que vous criez hauts et forts. Les mouettes seules écoutent vos paroles.
Mais parce que les Grecs ont répondu qu'ils accepteraient vos demandes pour cet incident.
néanmoins, les grecs ont aussi entendu aucune paroles d'excuses lorsque Carthage sillonnaient nos mers, faisant actes de pirateries sans cesse et sans vergogne sur nos marchands.

Alors hommes de carthage, Athènes vous concèdera vos navires que vous réclamez tant. mais par pitié... cessez de réclamez contre un soit-disant comportement agressif de notre part à votre encontre.
Nous ne tergiversons pas pour gagner du temps, mais votre mémoire semble bien courte.
Néanmoins les grecs sont hommes d'honneur et vous recevrez ce que vous demandez...
Allez donc calmez ces hommes qui souffrent d'avoir dû quitter le conflit contre l'Egypte.

Nous nous réjouissons de voir que ce différent est enfin réglé. S'il était essentiel à vos yeux que nos relations soient calmes, il l'était tout autant pour nous de récupérer immédiatement nos navires. Que vous ayez pu comprendre cela nous permet d'éviter tout deux les nombreux écueils des représailles diplomaties.
D'ici peu une proposition de commerce arrivera en Grèce, enfin que vos armées et votre peuple puissent s'enrichir et croitrent pour les siècles à venir.

L'ambassadeur rentra chez lui, bien content de reprendre la routine des banquets sans fin entrecoupés d'un sommeil confus.