Ambassade du Royaume de Prusse

L'émissaire Français reconduit manu militari aux portes du palais par la garde armée du roi de Prusse retint sa frustation et, voyant passé un diplomate allemand de ses amis, l'apostropha :

Monsieur, je viens de me faire reconduire par votre Empereur - l'annonce que j'ai faite de la mort de l'ancien Empereur était en fait celui qui est mort la corde au cou - La missive urgente que j ai à donner est pour le Kaiser Yohann Yorck - Faites en sorte cher ami qu'il me recoive de toute urgence - il en va de la survie de nos 2 nations !!!

Le diplomate allemand, compréhensif et voyant son ami Français trés embarassé, se dirigea vers les bureaux de son Maître

Une estafette d'un régiment de hussards suédois s'arrête devant les lourdes portes du Palais Impérial, descend de sa monture et va au devant d'un grenadier Prussien, montant la garde sur le perron. Avec lui, une lettre signée de la main même du Roy de Suède, destinée au Kaiser.

HRP msn ? mon adresse est dans ma signature.

Frustré d'avoir été reconduit, le diplomate Français fut néanmoins tout sourire en se présentant à sa majesté l'Empereur de Prusse - Il tendit la lettre cachetée du sceau du 1er Consul et, aprés se l'être fait décachetée par un valet, l'Empereur en pris connaissance

Monsieur l'Empereur de Prusse

Cette guerre et les souffrances qui en résultent pour nos 2 peuplent ont assez duré. Je vous propose un cessez le feu général et une rencontre rapide dans notre ville de Strasbourg pour signer l'accord de paix qui, je l'espère, nous liera longtemps.


Signé : Bonaparte, 1er Consul de la République Française

L'officier en charge de la porte principale du palais du roi de Prusse se vit remettre un courrier a destination du Roi lui même - il traversa la cour intérieure et la remis au ministre de la police qui, aprés l'avoir faite ouvrir par ses services qui s'assurèrent qu'elle n'était pas piégée, la porta au Roi


Paris, Mars 1803

Votre Excellence
Mon courrier d'hier que vous a transmis mon ambassadeur n'a pas trouvé de réponse de votre part - Mes espions m'informent qu'aprés la bataille de Reims, les restes des troupes Russes ont trouvé refuge sur vos terres - Votre Majesté, je veux bien que nous ayons un cessez le feu entre nos deux nations et que nous parlions de paix mais sachez que si par devant vous me faites des courbettes et que par derrière vous continuez à entretenir des relations plus qu'amicales avec les Autrichiens et les Russes, nous courons au devant de certains désagréments. Je vous demande donc de venir au plus vite au rendez vous que je vous ai fixé a Strasbourg afin que nous définissions vous et moi d'une paix durable entre alliés forts..
Choisissez votre camp Monsieur mais choisissez le bon !!!

Signé : Bonaparte, 1er Consul de la République Française

L'Empereur, surpris, fit écrire une lettre par la main de son scribe et conseiller Edgard George Wieldfired von Muller Staussenberg Wirkmar.

Stuttgart, Mars 1803

Mon cher et grand Consul, je vous rappellerai que notre paix devait être entre notre Alliance réciproque et non entre nous faussement par derrière.
Je suis ému par votre demande d'arrêt des combats mais voyez votre envie de les continuer sur la Terre de mes amis les plus fidèles.
Je vous demande si vous voulez arrêter les combats entre nos deux alliances, je ne peux que vous offrir cela car, malgré mes courbettes, depuis quelques temps j'ai un certain mal de dos qui m'empêche de m'agenouiller.

Johann Yorck Kaiser von Prussen.

...lettre envoyé tout de suite après par messager au premier Consul français.

Un messager a cheval apporta une missive urgente et la confia au secrétaire personnel de Prusse

"Nous, Bernardo O'Higgins, Roi de Portugal, souhaitons liés des liens d'amitiés avec le Grand Royaume de Prusse afin de contrer les ambitions Ibérique sur nos terres.

Bernardo O'Higgins"

Nous souhaiterions vivement que la Prusse accepte. Elle nous a déjà honoré de son soutien, nous lui en serions reconnaissant qu'elle le fasse à nouveau.

Le diplomate Anglais se levât et s'adressant au dignitaire Prussiens :

Nous espérons que sa majesté tiendra compte que la couronne d'Angleterre à demandé son soutiens à la coalition Prussienne-Autrichienne-Russe afin de prendre sa décision.
En effet il va de soit que les puissance monarchiste se soutiennent entre elles contre le fléau de la guerre, et nous réitérons nos souhaits d'amitié avec la Prusse qui, à nos yeux, et une Grande puissance Monarchique.

Je tiens à préciser à l'Angleterre que nous ne sommes pas une Monarchie mais un Empire, et que cette nation s'est tourné vers un autre pays sans même que nous ayons pu réfléchir sur sa proposition.

Je tiens à signaler aussi, que le Portugal a coupé tout lien avec la Patrie qui lui garantissait défense durant tant d'années.

Je suis très honoré tout de même de vos demandes et m'en vais y parler avec mes amis de l'alliance.

Un officier Autrichien, en séjour de courtoisie auprès du Kaiser Prussien, se permit de prendre part aux discussions qui se tenaient dans le palais afin de manifester son indignation.

Voyons, monsieur le français sans honneur ! Vous m'insultez en tenant de tels propos sous ce toit !

Comment pouvez vous nier l'indéfectible amitié, isue d'une alliance millénaire, qui lie l'autriche et la prusse au sein d'un seul et unique empire, le glorieux Saint Empire Romain Germanique.

Ne croyez pas que la séparation de l'empire en deux parties, et ce à cause des difficultés de gestion inhérentes à un trop vaste territoire, soit autre chose qu'une séparation administrative ! La Prusse et l'Autriche servent et serviront toujours les mêmes dessins, et c'est en concertation que le Kaiser, mon ami, et l'Archiduc d'Autriche prennent leurs décisions stratégiques.

Si la France souhaite la paix, qu'elle fasse une proposition honorable à nos deux dirigeants au lieu d'essayer de semer la dissenssion.

Paris, Mai1803

Paris, Mai 1803

Votre Excellence
Mon courrier du mois dernier n'ayant pas eu de réponse je doute que vous acceptiez mon offre. De plus je vous précise qu'entres nous et nous seuls je voulais cette paix; sans doutes la traduction aura été mal effectuée. Vous parlez de vos alliés mais ces gens ne seront jamais ceux de la République Française -
Votre Excellence, restez donc avec les Autrichiens et les hommes de l'Est, restez dans votre alliance avec laquelle nous ne sômmes pas en paix...
Vous avez semble t-il choisit votre camp mais est ce le bon ?
l'avenir trés proche vous le dira !!!

Signé : Bonaparte, 1er Consul de la République Française

L'empereur d'Espagne envoya une missive au Roi de Prusse

Vous n'êtes pas sans savoir que par la faute d'un traitre de Portugais assassin nous sommes à présent en guerre contre la France. Le proverbe disant les ennemis de mes ennemis sont mes amis, je vous propose de joindre les force de l'Espagne à votre combat contre la France. La France ayant également fait part des plus claires intentions belliqueuse à l'égard de notre ami le Roy d'Angleterre, je ne doute pas que si d'aventure il s'en trouvait le loisir, il n'hésiterait nullement à se joindre à nos effort. Qu'en pensez vous ?

Cher Kaiser,

Nous avons eu vent de mauvaise rumeur qui vous sont parvenu,
cela n'est rien, certes nous nous faisons vieux, mais mes héritiers ne sont pas encore prêt pour une si lourde tache, quand mon heure viendra, nous en informerons le monde.

Nous avons ouir dire que vous souhaitez entamer des pour-parler de paix. J'en serai honoré que nous en discutions en privée, dans un des divers lieux qui font notre frontière commune. Mais sachez néanmoins que la Russie ayant des vus sur les terres de l'Alliance Nordique, et que ce derniers à même eu l'audace de souiller la terre des Vikings. Cet acte ne restera pas impuni...

Sur le chemin du retour, notre Empereur ayant participé à la bataille de Metz, a été pris d'une douloureuse douleur à la poitrine.
Tombant de son cheval, tel une feuille tombe aux premiers temps d'automne, notre Chef a périt d'une balle perdue venant probablement de petits combats aux alentours de la funeste défaite.
Notre Empereur est mort laissant aucun héritier. Mais, une lettre écrite de sa personne laisse sentir quelques sentiments au sujet de notre nation: "...si je meurt, c'est l'Empereur d'Autriche qui gèrera mon Empire et c'est lui-même qui décidera de son avenir. De plus, ayant été défait en France par une furie telle qu'aucun homme valeureux n'aurait pu la détrôner, j'aimerai que cesse le sang de couler et que le Consul de France laisse les armées Prussiennes restantes, repartir dans leur foyer comme des hommes fiers ayant déjà la mort de leurs frères sur leur conscience...." Nous trouverions en la France, s'ils acceptent ceci, une raison valable à ce qu'une République existe.

Hp: je quitte le jeu, mais je continuerai de vous rendre visite. Bon jeu les amis.

Attristé par la nouvelle de la mort du Kaiser de Prusse, l'Archiduc Raphael-Henri se lamentait dans son grand bureau. Pris par la guerre contre les français, soucieux du retour des napolitains dans le conflit, il se demandait quel homme il pourrait envoyer pour assumer la régence du royaume de Prusse. Il avait tant besoin de ses valeureux généraux sur les champs de batailles et de ses diplomates à Vienne.

Il allait devoir réunir la noblesse prussienne pour désigner un nouveau Kaiser, et la tâche risquait d'être longue. Espérons que le Premier Consul français, accaparé sur le front sud, ne profiterait pas de la situation pour attaquer la Prusse.

[HRP] Je tiens la régence de la Prusse, mais dès qu'un joueur se présentera, il peut poser sa candidature... en attendant, cette nation réclame la paix avec ses anciens ennemis.[/HRP]

Bonaparte était furieux.... Comment se pouvait il que des dirigeants d'une nation, quand bien même leur roi fût mort au combat, comment se pouvait il que des hommes se disant dirigeants d'une nation majeure de l'Europe demandent la paix alors que ces mêmes gouvernants l'avait refusée il y a tout juste un an; comment la main tendue par les Français avait été bafoué par ces gens la qui osaient aujourd'hui demander la paix -

Il appela son scribe qui se fit petit devant celui qui venait d'être nommé Consul à vie
"Écrivez" dit il d'un air rajeur :

"Paris, avril 1804

J'apprends avec tristesse la mort de votre roi; j'en suis peiné car lui au moins avait eu le courage de me refuser la main que je lui tendais alors que vous messieurs non seulement vous me demandez la paix tout en vous faisant gouverner par vos frères autrichiens?????
Je hais les gens comme vous qui ne portez culotte que pour aller guincher...
Mais j'ai pitié de votre peuple et je conçois que celui çi en ait assez de voir des incapables à leur tête et j'accepte de laisser votre peuple souffler en échange que :
Primo : la ville de Luxembourg reviennent aux Payx Bas
Secundo : les villes de Cologne et Trier deviennent Française
Tertio : que la ville de Milan passe sous contrôle Napolitains

A ses 3 conditions acceptées et validées, dés le mois prochain, la paix, parole de 1er Consul, sera longue entre nos peuples."

C'est ainsi que la lettre du 1er Consul à vie Bonaparte arriva entre les mains des dirigeants Prussiens

Le fonctionnaire prussien en charge du courrier au palais du Kaiser était bien ennuyé.
Il venait de recevoir la lettre du Premier Consul à vie des Français et se demandait bien à qui il devait la faire parvenir, aussi s'était-il permis de l'ouvrir afin d'en prendre connaissance pour être certain de ne pas se tromper de destinataire.

Le Régent du royaume de Prusse, mandaté par les autrichiens, ne prendrait son poste que dans un mois et encore n'occuperait-il ce poste que très tmporairement, le temps de trouver un digne héritier au Kaiser. Mais il était certain que ce régent pourrait difficilement prendre un décision de cette importance concernant la paix avec les français.
Le fonctionnaire pestait à haute voix :

Ces français sont fous ! Voilà qu'ils réclament nos cités en gage d'une paix qui est à leur avantage. Et leurs connaissances en géographie sont ridicules car ils exigent que les prussiens leur cèdent Milan qui est une province conquise par les Autrichiens !
Si le régent décide de faire parvenir cette missive à l'Archiduc Raphael-Henri, celui risque d'entrer dans une colère noire par tant d'arrogance....

Méditant sur tout celà, le fonctionnaire glissa la lettre dans le premier tiroir de son bureau et juega qu'il valait mieux attendre l'arrivée du Régent autrichien pour prendre une décision.

Paris , juillet 1804

Monsieur,

Aprés vos défaites cuisantes face aux valeureuses armées de la République, nous vous avions demandé par courrier de libérer certaines villes que nous demandions en échange d'une paix durable et sure - il s'agissait je vous le rappelle de donner la ville de Luxembourg à nos amis des Pays Bas, de donner les villes de Cologne et Trier à la république Française et enfin que vos alliés Autrichiens libèrent la ville de Milan afin que nous l'offrions à nos alliés Napolitains -
Apparement rien n'a été fait dans ce sens et c'est donc par votre faute Monsieur, que le sang de nos valeureux soldats va une fois de plus couler - Nous attaquerons les villes de Luxembourg, de Trier et de Kalrsruhe le mois prochain

HRP Quel culot! Magnifique Christ!

[HRP] Euh, je suis pas trop d'accord avec le fait d'attaquer une nation que plus personne ne joue. J'ai volontairement stoppé la reformation et la construction d'armées en prusse et je trouve regrettable que tu en profites avec la France...

Je n'ai pas souvenir qu'on soit tombé d'accord sur les cités à donner aux français, car pour émmoire, tu demandais des cités appartenant aux autrichiens !

Donc je prône le retour au dialogue plutot que le conflit avec un adversaire ne possédant pas de joueur ! Personnelement je nepourrai pas jouer les batailles de la prusse, j'aurai déjà du mal à jouer les autrichiens et les russes...

Dans nos dernières discussions, il me semblait que tu avait trouvé qu'elqu'un pour reprendre le compte de la prusse, et j'attendais de snouvelles de ce coté là[/HRP]

HRP:
Je suis d'accord avec Raph, ça sert à rien d'attaquer un ennemi passif.
De plus je rappelle aux français que le sud du pays est aux mains de l'ennemi, il serait tout de même bien plus cohérent de défendre les frontières contre les vrais ennemis qu'envahir les fantômes.

HRP
S'il est vrai que personne ne s'occupe de la Prusse je ne l'attaquerai pas mais je n'ai jamais dit que j avais quelqu un pour la reprendre mais que "peut etre quelqu un de mes amis serait éventuellement interessé pour nous rejoindre" -

Quant j ai été bloqué 5 tours par Lannes qui ne s'interessait pas du tout au jeu et voulait en finir au plus vite, j'ai été attaqué par l'espagnol sans que ca ne chagrine personne et je le repete alors que mes principales armées (4) étaient bloquées dans l'est -

Le jeu avançant j'apprends de nouvelles choses et notament de ne pas rentrer dans un pays avec des petites armées - je l'ai eu fait (en Espagne) et me suis retiré mais l'espagnol a quand meme attaqué la ville de Pau avec 7 unités donc ce serait bien que les regles soient les mêmes pour tous et que Herkule tu attendes un peu avant de continuer ton avancée dans le sud de la France
HRP

HRP : bon, je vais étudier la carte et sans doute te laisser prendre des cités en contrepartie de tes belles victoires contre les prussiens. Ceci dit, je trouverai plus logique que tu redescende tes grosses armées vers l'espagnol pour le contrer, donc inutile de laisser tant de troupes !
Par contre il me reste une armée autrichienne près de Besançon contre laquelle il faudra aussi que tu te battes un jour (je te dit ça pour que tu ne dépeuple pas trop le nord)
Mais pour la Prusse, je voudrais stabiliser le compte afin de le refiler à un autre joueur, s'il lui manque deux ou trois cités, tant pis !

HRP Pas de soucis je laisse la Prusse pour l instant ce qui est logique puisqu il n y a personne pour s en occuper et je descend bronzer dans le sud HRP