Ambassade de l'Empire Ottoman !

le Grand Sultan est heureux de vous accueillir de son somptueux palais !
Que les réjouissances vous fasse autant plaisir que la guerre vous fasse autant peur !

[HRP]l'Empire Ottoman a des problèmes de mdp , il sera donc en grève pour un moment !
les janissaires voulant des nouveaux fusils ...
[/HRP]

Par la présente, je sollicite une entrevue avec votre Grand Sultan afin de définir une alliance durable entre votre Royaume et la jeune République de France. Nous possédons les fusils que vous réclamez et qui pourraient armer vos nobles et courageux guerriers - Notre alliance devrait s'étendre également dans nos ports ou nos navires échangeraient épices et soie contre monnaie sonnante et trébuchante - Bien à vous -

L'empereur ne souhaite pas s'allier à un peuple au bord du gouffre !
les grands empires d'Europe vous ont déjà déclarez la guerre !
et l'Empire se doit de régler d'autre probleme avant de venir vous aider !
Mais votre déplacement ne vous sera pas inutile , l'empereur accepte d'échanger nos ressources ! et ainsi avoir la garantie qu'on ne vous attaquera pas !

Jorg Steiner, jeune et sémillant diplomate autrichien, se présenta à la cours du Sultan de l'empire ottoman. Avec tact et simplicité, respectueux des coutumes de l'islam, il parvint à approcher le Sultan au sortir de la mosquée.

Ô grand Sultan du Grand Empire d'orient, toi dont la sagesse est contée jusque dans les campagnes polonaises, laisse moi te rapporter les propos de mon seigneur et maitre, l'Archiduc Raphael-Henri.
Le Saint empire et l'empire ottoman se sont livré jadis des guerres de religion sans merci et nous sommes toujours en désaccord sur le choix de notre dieu, mais l'europe souffre aujoudh'ui d'un mal encore plus grand : Les Français refusent aujourd'hui toute existence d'aucun dieu, et ils apportent sur Terre destruction et désolation au nom de leurs idéaux révolutionnaires...
L'Archiduc devra certainement entrer en guerre contre ces paiens, et il espère que le noble sultan gardera en sécurité nos frontières communes afin que la paix demeure entre nos peuples.

Le sultan regarda le jeune homme !

Tu est bien jeune pour parler avec autant de tact et de sagesse !
Tu peux dire à ton seigneur que les frontières ne seront pas traversé par nos troupes , du moins pour l'instant !
Mais avant de repartir pour un si long voyage ! viendrais-tu souper avec nous ?

ont entendit galoper a la cour du sultan ce qui le sortie de sa semi-torpeur, il alla voir au balcon et vit un jeune homme galopant avec l'uniforme rouge de l'Angleterre, il arriva au palais et mit pieds à terre pendant que le sultan arriver à sa rencontre

bonjour sultan je viens ici pour discuter de choses importantes pour mon maître.
- Il n'est pas polit de ne pas se présenter devant le sultan.
- Mon nom n'a aucune importance je ne suis qu'un pion, mon maitres veut faire du commerce de marchandise exotique qu'en dite vous?

[HRP]il n'est pas poli de faire bouger mon Sultan ! Sa seigneurie a beaucoup de travail et ce n'est pas un simple cheval qu'il le ferait bouger !
pour information , sa seigneurie à 1'000 têtes ( chevaux et femmes confondus ! ) [/HRP]


le Sultan en haut de l'immense escalier qui mener au grand palais parla de sa voix forte et majestueuse !

Tout les peuples souhaitent pouvoir accéder à nos richesse ! Elles embellisse vos femmes , et nourrit vos hommes !
l'Angleterre est une grande puissance militaire ! et nous serons heureux de pouvoir disposer de nouveau fusils et de nouveau canon !
Jeune homme dit à ton Roi que nous accepterons la visite de vos navires marchands !

il se retourna , et entra dans son palais pour profiter du magnifique couché de soleil dans les somptueux jardin en compagnie de ses favorites !

L'Illustre Sultan Ottoman, Maître de tout l'Orient, ne s'était pas montré en public depuis de nombreuses semaines.
Suite à l'annonce par des centaines de héraut partout dans les terres turques, un nombre impressionnant de membres du peuples s'était réuni devant le Grand Palais de Constantinople.
Trois solides rideaux de Janissaires protégeaient l'entrée du magnifique et immense escalier donnant accès au palais. De très nombreux dignitaires Ottomans se trouvaient là, ainsi que les représentant des peuples d'Europe.
Un homme n'atteignant pas la trentaine d'été apparut en haut des marches, entourés par un groupe de Janissaires de la Garde.

-Chers Seigneurs de tout horizons, aimés peuple Ottoman, j'ai la pénible charge et le grand regret de vous informez de la mort de notre bien-aimé souverain. Comme vous le savez sûrement, celui-ci était déjà malade depuis de nombreuses années, et l'attentat à sa vie d'un gueux de rebelle égyptien raccourcis malheureusement sa vie. Nous garderons de lui le souvenir de sa bienveillance envers le peuple, son pacifisme, sa tolérance envers les différentes cultures et religions du Grand Empire Ottoman.
Je suis chargé, de par mon sang et mes qualités de commandant et de politicien, à prendre le titre et la couronne de Sultan de l'Orient !

Une explosion de vivats retentit dans la foule, le jeune Daer Osman III était déjà assez connu.

-Les dignitaires étrangers sont de nouveaux les bienvenues !

Au milieu de la foule, l'ambassadeur d'autriche suivait du regard le nouveau sultan, Daer Osman III. Il avait évité toute la soirée de croiser son homologue napolitain étant donné les relations houleuses entre leurs deux pays. Et ce maudit italien l'avait pris de vitesse en s'approchant de l'entourage du sultan !

Sachant bien qu'il serait malvenu d'imposer au sultan la présence simultané des deux ambassadeurs ennemis, l'autrichien retourna en sa demeure et se promis de revenir dès l'aube solliciter une entrevue au palais du jeune Osman III.

A peine assis sur son trône, Osman III commença a voir une foule de haut-fonctionnaires et de nobles turques et d'ambassadeur étranger se présentez aux gardes.

Un diplomate napolitain se présenta tout d'abord à lui, souhaitant connaitre sa politique vis-a-vis de son pays. Les souverains européens devaient sûrement se demander si le nouveau Sultan s'engagerait plus que son prédécesseur dans les affaires du Vieux Continent !

-Ambassadeur de Naples, sois sûr que nous, Daer Osman III, ne tenteront aucune action agressive envers votre peuple, et que nous espérons des relations paisibles et éternelles entre nos deux nations.

Le diplomate italien salua la réponse du sultan en suivant à la lettre les gestes et les codes que doivent suivre les ambassadeurs lorsqu'ils sont à la cours de Constantinople. Il prit ensuite humblement la parole devant le maitre des lieux:

Notre roi sera ravi d'apprendre que le peuple fière des turcs et leur puissant monarque continueront à entretenir les relations amicales et prospères qui sont les nôtres depuis tant d'années.

Ne voulant pas indisposer le sultan plus longtemps. L'ambassadeur salua avec respect une dernière fois le maitre du monde musulman avant de se retirer.

Un jeune et beau diplomate arriva au grand palais , monta le splendide escaliers et pénétra dans la salle du trône ! après quelques ambassadeurs orientaux , il pris la parole !

c'est avec une profonde tristesse que les Provinces-Unies ont appris la mort du sage Sultan !
Votre réputation ayant traversé les continents , l'Empire Ottoman est promis à un futur radieux !

Nous espérons que nos accords commerciaux , qui fait la richesse nos commerces , continuera !

Un émissaire suédois arrive à la suite du messager hollandais, porteur d'une lettre à cachet royal.

A Sa Magnificence, le Sultan Ottoman.

Nous avons été peiné d'apprendre la mort du Sultan précédent, il était l'un des grands amis de la Suède. Nous souhaitons aussi savoir si Sa Magnificence est favorable à l'entretien de nos relations amicales, voire plus favorables si Elle le souhaite.
Toutes nos amitiés.

Sa Majesté, Roy de Suède.

-Aux ambassadeurs de l'Alliance du Nord, nous renouvelons nos amitiés à vos puissantes nations. De même, nouez des relations plus étroites avec vos grands royaumes nous combleraient.
Notre cœur vous remercie de vos condoléances.

Un émissaire entra et apporta deux lettres cacheter du sceau de l'Alliance Nordique aux deux ambassadeurs de l'Alliance présent. Ils lu chacun la lettre de leur coté. Un fois finie , ils se regardèrent, ils avaient reçu la même mission. l'ambassadeur des provinces Unies se leva et s'avança , suivit de près par celui de la Suède

- Grand Sultan , nous vous demandons un entrevue particulière ! l'affaire que nous devons traiter est grave et urgente !

Osman III se sentit légèrement contrarié. De nombreuses autres personnes étaient au Palais pour demandé une audience, mais les regards des deux ambassadeurs nordiques lui fit dire à son capitaine des Gardes:

-Constantin, allez dires à ceux qui nous attendent qu'ils ont le droit de revenir dans la journée de demain.

Se tournant vers l'ambassadeur Hollandais et l'ambassadeur Suédois, il leur indiqua la porte d'un cabinet privé ou ils se dirigèrent tout trois.

L'émissaire Français se présenta au palais du Sultan Daer Osman III et demanda à être reçu par son représentant - Il lui tendit une lettre cachetée portant le cachet du 1er Consul

Grand et Noble Sultan - la détermination avec laquelle vous êtes intervenu à la cour du roi d'Espagne démontre que nous, Bonaparte 1er Consul du peuple Français, avons eu raison de toujours faire confiance en votre peuple et leur Souverain - Contrairement à certaines peuplades de l'Est qui sont encore à moitié sauvage, vous avez démontré par votre franchise et votre dialogue franc et direct que vous étiez un homme d'honneur - Bien que l'incident soit de maigre importance, sachez que le peuple Français vous en remercie chaleureusement et vous témoigne de sa vive gratitude - Acceptez je vous pris ce que mon émissaire vous offre en mon nom propre et au nom du peuple de France.

Le représentant du Sultan ne savait que dire et l'émissaire Français lui demanda de le suivre - arrivés dans la cour de son palais, un magnifique étalon noir, cadeau de Bonaparte, les attendait

Le chambellan apprécia d'un oeil de connaisseur l'animal. Vraiment une très belle bête!

-Le cadeau est étrange pour un Sultan, qui a à sa disposition les magnifiques montures des peuplades arabes de l'Empire. Je reconnais cependant que pour le peuple de France, cet étalon doit être parmi vos plus belles montures. C'est pour cela que votre présent réjouira notre Sultan. Le consul peut nous comptez parmi ses amis.

Une jeune estafette de Lisbonne apporta un petit paquet et une lettre a l'intention du Sultan


"Grand Osman III,
(Un parfum fruité se dégage de la lettre)

Moi, Bernardo O'Higgins, Roi de Lisbonne, Consul de Brasíllia, Duc de Portugal, vous offre sa sincère amitié par cet humble présent. "




Une Carabine de chasse du dernier modèle, canon polis miroir, chien déguisé en un petit dragon d'or et crosse de nacre sculpté de grands croissants, se trouvait dans le modeste paquet.

L'ambassadeur de Portugal reçu un Pigeon blanc, le conservant dans ses mains il s'en alla confier son message au Grand Eunuque du Sultan

"Sultan divin, commandeur des Croyants du Croissant, Protecteur de la Mecque,

Nous souhaitons officialisé notre alliance par ce traité qui vous donnera a l'issue du conflit les terres nommés dans le traité ci dessous.

Nous espérons que vous remplierez votre part du marché le plus rapidement possible, tout en sachant que votre Grand Sultanat payera un prix du sang élevé pour cette Campagne.


O'Higgins, Commandeur des Chrétiens du Portugal."

Nous sommes d'accords pour montrez au monde notre alliance. Que notre force fasse tremblez l'Espagne et tout autre agresseur potentiel.

Bonaparte, que la venue urgente de l'ambasseur mauresque avait quelque peu surpris, lut avec attention le courrier du Sultan - il y répondit aussitôt par quelques lignes qui en disaient long

Paris, mai 1803

Grand Osman III, Protecteur de la Mecque,

J'accepte votre traité de non agression entre nos deux peuples et j'applaudis des 2 mains cette initiative qui vous honore. Que l'avenir vous réserve de belles choses et que vos alliances actuelles durent longtemps.