Ambassade Romaine

Le diplomate grec ne pouvait que soutenir les gaulois dans leur proposition de paix.
Rome n'avait pas les moyens de soutenir les assauts continus des gaulois, et il serait regrettable de voir les cités d'Italie bruler au seul profit des Numides. Numides qui sont les ennemis de tous les peuples civilisés autour de la Méditerranée.

[Hrp]Euh oui bon... Désolé de répondre un peu tard, mais le mardi, je pars de chez moi à 6 heures, et je viens d'arriver maintenant... Quant à répondre hier... J'avoue, je me suis endormi devant mon ordinateur... Peut être pourriez vous attendre que je mange avant d'avoir une réponse ^^ Merci.

Edit] :

Le Dictateur de Rome se tourna vers le diplomate Gaulois, tout en prenant le temps, au passage, de lancer un regard noir au scribe, qui n'était pas sensé laisser un diplomate ennemi écouter les discussions diplomatiques...

La Paix?


"- Je vois que votre chef est toujours arrogant dans ses demandes... Et je trouve dommage que vous n'ayez pas de réelle autorité sur les négociations de paix... Si je ne m'abuse, ne venez vous pas de recevoir ces directives de la part de ce Gaulois ?"


Il marqua une pause, cherchant la personne en question, puis, la voyant déjà partie (tant mieux, ou bien tant pis?) continua.


"- Peu importe. Sachez que nous trouvons, a quelques points près, votre demande acceptable. Certes, en effet, nous pouvons, malheureusement, renoncer à la souveraineté de Nimea... Certes, nous libérerons Brivata Portus et dissoudrons les archers mercenaire...

Cela est possible. Mais vous requerrez ensuite quelque chose qui dépasse l'entendement. Convaincre les Germains de faire la paix avec vous? Mais allez voir les Germains pour cela. Ce n'est pas Rome à qui il faut demander cela. Ne croyez pas bêtement, que ces fourbes romains, comme vous les appelez ainsi dans vos récits récents, ont convaincu vos... cousins. Nous nous sommes concertés sur un objectif, je n'ai pas eu besoin de le convaincre de vous attaquer...

En conséquence. Sachez que la Paix ne sera pas possible du fait de cette dernière condition. Modifiez là, supprimez là et alors peut être nous ferons la Paix. Et ne croyez pas Rome et les villes dItalie en proie au flammes.

Les Cités du Nord sont principalement de cultures Gauloises, et je ne crains pas trop pour leur santé, du fait que Brennos souhaite plus les rallier que les tuer...

Mais Sachez que déjà deux cohortes de la première légion, une cohorte légionnaire et plus de trois cents unités de tir réglementaires sont sur pied, à Rome, et attendent que j'en prenne personnellement le commandement, si jamais un Gaulois de Brennos s'avisait à entrer en Italie avec des intentions conquérantes... "

Caïus opina un peu de la tête, puis, souriant, fit :

"- Allez porter à votre chef que si il veut la paix, ses conditions ne seront acceptable qu'en cas de sur une condition que veut Rome :
Rome accepte de se séparer de Nimea, mais Rome veux des escuses pour avoir commencer une guerre contre Rome en indiquant que Rome était en tord, puis d'avoir trainé l'honneur de Rome dans les basses fosses, les alliant de façon certaine au peuple Numide...

Démentez cette diffamation et la paix sera possible. Refusez et...
"

Le Visage du dictateur s'éclaira un peu plus, et il demanda, ironiquement :


"Au fait... Vous aimez les Scorpions?"


Puis, il pris congé, laissant Marc Antorius prendre la relêve en cas de problème.

[Hrp : Petit up supprimé demain. Juste pour indiquer l'Edit ... Bon, Gaulois, la Paix, Deux-Trois Villes et pouvoir se concentrer sur un front de moins (d'un royaume possédant du souffre) pour des excuses publique sur des propos diffament... avouez que ce n'est pas cher payé, non?]

[HRP : Hé ben c'était juste, parce que s'il n'y avait pas de message j'aurais plus pu poster mes ordres ]

*Le Diplomate se courba légèrement en signe de respect, bien que ses sourcils demeuraient froncés.*

Si Rome est d'accord face à ces conditions, alors Brennos retiendra le désir de ses guerriers de piller et prendre les villes romaines. Vous avez une cohorte et trois cents unités d'archers ? Nous avons plus d'une douzaine de troupes mixtes qui se sont mises à votre frontière ! Sachant que l'Italie est assez étroite pour permettre une confrontations de toutes les forces en présence en même temps, nous n'aurons même pas besoin d'étendre nos armées sur une vaste surface.
Nous savons que le Roi de Germanie est souffrant, et que les stratèges romains basés en cette contrée contrôleront pendant une courte durée les agissements de leurs armées. Nous vous demandons de retarder l'attaque des Germains, quel que soit son ordre de départ, le temps que le Roi vous donne de nouvelles instructions face à la nouvelle de votre ralliement [HRP : s'il t'envoie un nouveau message pour te dire qu'il veut toujours attaquer, ok, mais si c'est pas le cas alors je te demande d'attendre].
Brennos pense que son cousin Alaric aura besoin de réfléchir au vu de la nouvelle situation. Il sera cette fois seul contre une alliance entière.

Nous ne nous excuserons pas au sujet du fait d'avoir dit que Rome est en tort dans la guerre qui nous sépare. Plusieurs causes sont à l'origine de nos différents, et Carthage en est une, c'est là un point essentiel.
Enfin, jamais Brennos n'a insinué que les Romains étaient alliés au Numide. Tout au plus, un Diplomate gaulois aurait pu dire, et encore, que la guerre contre les Romains aggravait la situation vis à vis du Numide.

Si vous êtes d'accord avec ces conditions, alors n'oubliez pas de nous remettre les clé de la cité en Bretagne, et de faire attention avec votre troupe dans cette région [HRP : suppression de l'unité ou enlève l'attaque], et la même chose pour les archers à cheval mercenaires dans le territoire de Nimea, qui sera bientôt celui de Brennos.

Nous vous remercions à nouveau pour votre décision. Quelques troupes stationneront le mois qui suivront en dehors de vos frontières, en attendant le résultat de vos ordres. Comprenez que nous nous sentions obligés, et il ne s'agit là que d'une formalité. Comprenez également que nous sommes pressés de voir comment sera la situation dans un mois, après avoir donné vos ordres, nous devrons déplacer nos troupes en attendant les Numides.

Brennos n'apprécie pas le fait que les Romains chuchotent dans son dos auprès de ses alliés grecs. Ni qu'il prétende que la chute de la Sicile est de son fait.
Néanmoins, dans sa grande sagesse, mon chef suprême souhaite vous aider avant qu'il ne soit trop tard. La Sicile sera bientôt en totalité entre les mains des Numides, et nul doute que cette dizaine de troupes décidera ensuite d'arriver dans vos terres peu défendues.

Brennos s'engage à ne pas pénétrer votre territoire, que vos villes soient gardées par des troupes ou pas, afin que vous puissiez combattre avec tout votre puissance cet envahisseur.

En revanche, si les Numides réussissent à vous prendre plus de trois villes, nous nous sentirons obligés d'attaquer cette nouvelle menace et nous n'hésiterons pas à marcher sur vos terres pour la repousser.

Nous comprenons que vous puissiez mal prendre cette déclaration, que vous ne nous faites aucune confiance, et que nos relations ont toujours été tendues. Mais notre intention n'est pas de vous prendre votre territoire. Nous avons déjà les moyens de le faire mais nous nous y refusons, et nous ne vous aurions pas averti. Notre but est de combattre le Numide. S'il prenait possession de votre péninsule, ce serait une menace pour le territoire gaulois, et le territoire grec.

Merci de faire votre possible pour combattre l'envahisseur.

[Hrp : ... Il manque un bout de phrase... C'est plus trop compréhensible, ton truc]

Le Diplomate en fonction calqua des doigts, et les deux Prétoriens chargés de la sécurité s'avancèrent...

Et lentement, sortirent chacun leur glaive.

Le Scribe indiqua,sur l'air de se moquer de chacune des paroles de son interlocuteur:

"- Prévenez votre chef que c'est le dernier avertissement, et que si jamais un diplomate revient sans ni se présenter au préalable, ni exprimer la moindre formule de politesse, il risque de ne plus le revoir. Vous n'êtes pas les bienvenues à Rome, Gaulois.

Laissez vous raccompagner en... Silence, sous peine qu'il vous arrive un..."

Le Scribe fit une petite pause, leva légèrement un sourcil, puis fit :


"- accident ?"

Puis, voyant que le diplomate allait contester sa décision, il ajouta :


"- Ah oui... Que ce soit les Numides où la Gaule, sachez que Rome est Rome... Ne sous estimez jamais la fidélité d'un peuple à son Empereur... Au fait, je ne pense pas me tromper en indiquant que Brennos n'a pas vraiment intérêt à séparer se troupes en deux, car en opérant ainsi, elle réduirait ses chances sur le front Ibère...

Invitez donc l'Illyrien à envhaïr mon territoire si jamais je ne combat pas les numides, demander appui en rejetant de l'huile sur le feu des relations diplomatique, c'est votre point fort , non?"

Le scribe sourit, puis continua :

"- Ah oui, c'est vrai, il y a aussi votre manque de tact..."

Il hocha de la tête, et c'est entre deux prétoriens le tenant fermement par les bras qu'il fut raccompagné hors du palais, puis c'est dans les mains d'une escorte qu'il fut raccompagné à Genes, puis par bateau débarqué à Massilia.

[Hrp : Tu peux toujours essayer de renvoyer un autre diplomate, mais celui ci risque effectivement d'avoir le droit à une séance de torture jusqu'à ce que mort s'ensuive... Fais un peu confiance aux grecs et aux Illyriens pour m'attaquer au besoin et occupe toi de ton front, que Diable... ]

Guemsterk il n'est pas d'usage de faire parler en RP les personnage appartenant aux autres joueur
Amicallement

Je ne le fait pas, relit bien.. Il allait contester... C'est a peu près sur... Du moins, a sa place, j'aurais tenté de commencer à protester... après, je peux remplacer la phrase en utilisant une autre tournure. Mais je ne vois pas du tout où j'ai fais parle run personnage ne m'appartenant pas?

Le Diplomate en Fonction étant Romain... et le Scribe aussi...

Ah oui, peut être à l'endroit ou j'ai interverti Diplomate (romain) et Scribe ^^

Pardon

Heu un diplomate gaulois est romain... normal... je te suis pas la, m'enfin, fait comme tu veux.

Dans ce cas, disont que ton ambassadeur viens m'ammener un message dans mon palais, je le fais parler et je dis "L'Empire romain se prépare a affronter l'empire Numide" et PAF...
RPistiquement parlant tu es en guerre contre le numide... tu saisis?

(Ca a l'air corrigé maintenant XD )

La confusion venait effectivement de la phrase ^^

Merci de m'avoir fait corriger...
"Accident" est effectivement dit par le Scribe. On notera que ces paroles pouvaient être dites par le "Diplomate en fonction" du début du message, celui qui fait appel à la garde...

HRP : Bon ok tu vires mon diplomate simplement parce qu'il ne s'est pas présenté... Mais bien qu'on soit samedi, je n'ai pas toujours le temps de tout écrire ce que je veux (il m'arrive aussi de sauter des mots apparemment), tu as l'air très à cheval sur beaucoup de choses apparemment, non seulement les multiples citations, mais aussi la présentation de Diplomate avant de parler. Désolé mais lorsque je suis pressé je saute cette étape, ça ne gênait personne avant, tu es la première personne.

À moins que je ne me trompe ?

[Hrp : En fait non, c'est pas que cela me tiens à coeur, mais pour faire très clair (puisqu'apparemment cela n'a pas été très bien compris ^^) c'est effectivement une excuse bidon RP pour virer le diplomate de l'endroit. That all'... Juste pour éviter de répondre autre chose, en clair.

Je ne suis pas à cheval là dessus du tout du tout. C'est juste que si ton diplomate se serait présenté avant d'entre, au vue des relations diplomatique, il aurait été invité à se barrer avant de se prendre un coup de pilum, et ce avant de n'avoir prononcer un seul autre mot.

Puis en parlant de gens qui ne peuvent pas toujours avoir le temps d'écrire un Samedi... Moi aussi. En même temps, a part dimanche et les jours fériés...

HRP : Ha ok, je comprends mieux ^^ Pas de soucis

L'ambassadeur grec présent à Rome demanda une audience.
En effet, les grecs avaient appris que les romains avaient changé d'avis et que la destruction des numides leur était enfin apparu comme une condition nécessaire à la survie de leur pays.

Lorsqu'il fut reçu, l'ambassadeur tînt à peu près ces mots:

"Cher collègue, nous avons appris que les romains avaient finalement prit les armes contre l'envahisseur.
Comme le dit l'adage, les ennemis de nos ennemis sont nos amis.

Ainsi le conseil des sages vous demande de mettre de côté vos différents avec les gaulois pour participer à l'alliance qui combat les numides depuis des mois.
Nos efforts ne seraient que plus efficaces si nous pouvions nous concerter comme des alliés au lieu de faire la guerre chacun de notre côté.

Ainsi nous aimerions officialiser ce combat commun par votre entrée dans l'alliance, ainsi vos légions pourraient trouver une place à leur valeur dans cette guerre."