Palais De Carthage

*Bienvenue dans l'ambassade de Carthage, vous sentez une puissante odeur de fumée qui vous prend au nez et vous empêche d'argumenter convenablement*
Nous aurons besoin de puissants alliés qui pourront assurer nos intérêts sur le continent lorsque nous envahirons les abords de la mer pour imposer notre hégémonie.
Posez vos déclarations de guerre, paix ou commerce ici.

*Un Diplomate venu de Gaule arriva tôt le matin dans l'ambassade de Carthage.*

Salutations, ô membres de la puissante nation de Carthage. Mon Chef Brennos, Seigneur parmi les Seigneurs des tribus gauloises, souhaite vous faire part de sa volonté d'amitié entre nos deux peuples.

*Le diplomate en chef de Carthage, Hasnibolus, s'approche et répond*
Salutations au puissant peuple de Gaule !
Même si votre peuple est arriéré, nous acceptons votre offre d'amitié réciproque entre nos deux peuples.
Puisse cet accord fournir prospérité et puissance aux Gaulois et aux Carthaginois !

Peuple arriéré !? s'étrangla le Gaulois.

*Il fut sur le point de lancer une réplique cinglante, avant que sa courtoisie ne refasse surface.*

Je vous prie, cher confrère, de faire attention aux mots que vous employez.

*Le diplomate carthaginois répond au gaulois*
Je suis sincèrement désolé cher ami, cette sottise est sortie de ma perfide bouche sans le vouloir, je vous prie de me pardonner.

HRP : à une époque y aurait eu guerre pour moi que ça !

Le pharaon demande si les routes commerciale entre la vallée du nils et les cotes carthaginoises, suite à votre prise de pouvoir.
Dans tous les cas, la Pharaon est heureux d'avoir un puissant voisin qui arrive à maintenir son royaume !

Nos routes seront toujours accessible au puissant peuple égyptien, gloire au Pharaon et que Périsse ses ennemis !

Ce qui se dressent face a l'Empereur meurent !

HRP: ou pas

*A l'annonce de cet ultimatum Hasdrubal en personne se présenta en face du diplomate romain*
Vous moquez vous de moi pourritures romaines?
Je ne suis pas un vulgaire poulet que l'on peut plumer a sa guise !
Une fois fini avec les Numides, je m'occuperais de ce qu'on appelle la Puissante Rome.
Quand j'aurais conquis votre pays, je ferais bruler votre capitale comme vous l'avez fait des années auparavant.
Soyez avertis que ce n'est bien sur qu'une hypothèse.
Au revoir.

Le diplomate garda son sourire radieux, et, l'Empereur s'en allant, il le héla.

"- Mais, 'Empereur' (il prononça ce mot lentement en s'arrêtant à chaque syllabe) , avez vous vraiment le choix ?

Votre armée n'est pas bien conséquente. Celle de Rome, non plus, certes, mais... Elle existe. Et votre flotte? Vous n'en n'avez pas, ou me trompé-je ?

Votre pays a-t-il vraiment le choix de refuser une offre si alléchante ? Vous allez me dire, 'Quoi? les deux tiers de mon trésor contre la paix ? Pas question.'

Mais alors, à combien évaluez vous la vie d'un de vos villageois? Si vous trouvez cela risible, et que vous vous en moquez, alors, à combien évaluez vous les pertes des territoires obtenus avec acharnement en Sicile ? Les Richesses de ces Baléares et de Carthage?

Karthago ! Nous aurions du la saler. Cela aurait surement évité qu'elle refasse surface. Nous sommes la pourriture, certes, mais vous êtes la moisissure.

Le Diplomate haussa les épaules, puis, voyant que rien n'y changerait, s'en alla jusqu'au port, où un navire marchand l'attendait.

Nous annonçons un vote afin d'exclure de notre alliance le Seigneur Joarius. Ce royaume, trop lointain, nous apporte de mauvaises relations avec certains de nos voisins que nous ne souhaitons pas en froid. Pourriez-vous voter dans notre sens ? Nous avons assez d'ennemis comme cela, et un peu d'activité marchande nous ferait sans doute le plus grand bien.

Nous avons appris que le royaume de Joarius allait bientôt être absorbé par le grand empire de Sikander et deviendrait de le vassal de ce dernier.
Il n'y a donc plus aucune raison qu'il fasse partie de notre coalition.

Brennos souhaite vous faire part de ses conseils, afin d'optimiser la lutte contre le Numide.
Nous vous recommandons de limiter le plus possible le nombre de troupes terrestres. Supprimez tous vos mercenaires, à présent que Rome est moins hostile. Nous avons besoin de bateaux. Même peu nombreux : le but est de leur couper le commerce et de leur empêcher de construire également des navires. Si vous placez un groupe de bateaux (ou même un seul) sur leurs ports, cela aura deux effets :
- Ile ne pourront pas construire de navires
- Vous leur pillerez automatiquement leur caravane, ce qui leur fera moins d'or dans leur coffres, davantage pour vous, et étiolera ainsi davantage leur armée (qui se désagrège lentement du fait de manque d'or).

Les Gaulois sont fiers d'annoncer la reconquête de la ville d'Emporia par les troupes fières et puissantes de Brennos. Bien que phénicienne il y a encore quelques temps, mon chef souhaiterait conserver quelques temps cette ville, et remettre les clefs uniquement au moment où le Numide sera bouté hors d'Hispanie.

Attention à vous, le Numide a débarqué en Sicile !

Faites faites, nous n'avons de toute façon plus les moyens de continuer convenablement cette guerre...

Un courrier grec débarqua à Syracuse, portant une lettre pour l'Empereur:

"Seigneur de Carthage,

Le débarquement des troupes grecques est un succès, les hordes que l'ennemi a envoyé contre nos armées ont été repoussé et de nombreux cadavres numides sont restés sur le sable.
De notre côté, la mort du général Memnon de Corinthe dans une embuscade alors qu'il préparait le débarquement de notre seconde armée a été une perte tragique. Mais loin de se décourager, les grecs ont repris les combats de plus belle, et deux autres villes devraient être libérées du joug berbère dans le mois à venir.

Tenez-bon, la victoire ne devrait plus tarder."

Courage, Phéniciens !

Le principal est de retarder leur avancée. Faites votre possible pour bouter hors de l'île ces quelques troupes africaines. Ou tout au moins les ralentir.
Lorsque l'Hispanie sera libérée, nous vous donnerons certainement la moitié de la péninsule afin que vous puissiez vous reconstruire. Tenez bon, donc ! Empêchez les d'accoster.