Siège de Milan (tour 35) Novembre 1802

La Seconde Armée Barcelonaise, commandée par Sanchez Ladidas de la Manche, se poste autour de Milan. La garnison, faible, peu armée, composée uniquement de 120 hommes, n'a aucune chance.


L'Armée Espagnole attend donc la reddition de la ville et son évacuation militaire en bon ordre.

Le général Federico Fiore était fort désappointé. A l'annonce du débarquement espagnol, il avait fait marcher toute son armée pendant onze jours pour rallier la cité de Gènes au plus vite. Et voilà qu'une fois devant les portes de la cité, il constatait que l'ennemi avait disparu.

Alors qu'il s'interrogeait sur la position des espagnols, un éclaireur vint faire son rapport et lui annonça :
- Mon général, l'ennemi est en marche, il se dirige vers Milan. Il a dix jours d'avance sur nous.
Dix jours... les hommes tiendraient-ils à cette cadence ? Mais Milan ne comptait aucune garnison, tout juste un petit escadron de hussard y était-il en stationné à l'entrainement. Federico n'avait pas le choix :
- Soldat, faites passer l'ordre à tous les régiments. Nous partons pour Milan.

Message du maréchal Autrichien en position au nord de Venise à son homologue espagnol à Milan:

Citation :

Monsieur,
Nous vous souhaitons bonne fortune dans la bataille. Si elle nous sourit, j'aurai grand plaisir à vous rencontrer, lorsque cette campagne sera terminée, afin de saluer votre engagement à nos côtés.
Que nos soldats, camarades contre la barbarie révolutionnaire triomphent!
Et Que dieu nous garde.
Bien à vous.
Maréchal karl-Heinz von Himmel.

Shanchez parcouru longuement la lettre, puis pris sa plume et répondit lui même à la lettre du général Allié.

Citation :

Maréchal ,

Je suis honoré par ces encouragement, et et vous souhaitons de réussir à reprendre Venises des mains de ces révolutionnaires fantoches.

Nous auront besoin de chance si nous voulons vaincre, et nous n'avons que 10 jours d'avance sur l'armée Napolitaine ;

Mais Dieu nous regarde et nous juge à chaque instant,

Général Sanchez Ladidas de la Manche

Euh... Une attaque avec une armée de 9 unités Raph ^^

C'est pas interdit par hasard par tes règles ?

Bon, je veux bien relever le défi, vu que cela ne sera pas Zaariel qui commandera la petite armée

Guemsterk a écrit:

Euh... Une attaque avec une armée de 9 unités Raph ^^

C'est pas interdit par hasard par tes règles ?

Bon, je veux bien relever le défi, vu que cela ne sera pas Zaariel qui commandera la petite armée

Ah, j'y avais même pas pensé tiens.
Quand j'ai édicté les règles, j'avais fixé la limite d'engagement à 10 unités pour éviter qu'on se bloque avec de petites unités pour retarder volontairement l'adversaire.
J'aurai dû préciser qu'il s'agissait de minimum 10 unités au total.
Mais là, je dirai plutôt qu'il s'agit d'une action offensive avec 29 unités, disons que j'ai envoyé en renfort tout ce que j'avais dans la zone.

Cependant le point que tu soulèves mérite effectivement qu'on en discute en envisageant tous les "contournements" possibles de la règle que ça peut impliquer.

Au pire, je me désengagerai pour me placer en position défensive.

En effet, rajouter cette précision aurait été préférable,

Parce que la règle indiquant "Une armée doit posséder 10 unité pour engager une action offensive" pour moi cela signifie que chaque armée doit posséder ces 10 unités.

Moi qui m'embête à mettre 10 unités dans chaque armée

Bon, Je garde la donne, quand peut on jouer cette bataille ?

Mes divisions à moi comportent aussi 10 unités à chaque fois, mais celle-ci a subit quelques fusions depuis la bataille de Vérone. C'est la même chose à Venise où une division vient au secours de la garnison.

Mais comme je le disais, effectivement, je suis en tort car - au minimum- je n'ai pas été assez précis dans la règle.
Donc il faudrait :
1) Qu'on en discute avec tout le monde sur le forum pour définir à quoi on s'en tient pour la suite
2) Pour cette bataille-là je te laisse choisir si je me désengage ou si on joue quand même. (prend le temps d'y réfléchir, je ne veux pas que tu te sentes lésé)

En ce qui concerne les dispos pour jouer, ça va être dur pour moi aujourd'hui et demain car je pars sur Paris récupérer ma petite famille à la gare.

Donc je propose, comme tu l'indiquais ailleurs, de geler l'écoulement des tours jusqu'à samedi qu'on ait le temps de se réunir.

Alors j'ai réfléchi : je me désengage de cette bataille, et je te rattaque avec seulement la grosse armée.

D'un point de vue stratégique (et pour l'avenir) je pense qu'il devrait être possible de faire intervenir des petites portions d'armée à condition que la bataille implique déjà une vingtaine d'unités. Mais c'est un autre débat qu'il faudra avoir ailleurs.

Ma décision tient plus d'un point de vue de fair-play : c'est notre première rencontre sur cette campagne, et même si je subit un peu de pressing de la part des autrichiens, je pense qu'il est plus fair-play de te rencontrer "d'homme à homme" avec des armées équivalentes.
Je prend plus de risques, mais il s'agit aussi de te faire honneur.
Et pour ce premier baroud contre toi, je préfère une bataille difficile à une victoire volée...

J'aimerais jouer cette bataille comme elle est...

(Mais euh ^^)

Guemsterk a écrit:

J'aimerais jouer cette bataille comme elle est...

(Mais euh ^^)

Ah bon... ben je pensais te faire plaisir. Mais comme tu veux.
Par contre aujourd'hui je suis assez short. Je dois terminer mes travaux avant de partir pour Paris.

Quand donc pourrait on jouer alors ?

Disponible cette après midi

EDIT 14H02 : Je repasserai peut être plus tard vers 16-17h

Je viens de rentrer de Paris (j'étais parti chercher ma femme et ma fille à la gare... un aller-retour sur deux jours, pfff. Faut vraiment être amoureux !)

Mais vu qu'aujourd'hui je suis encore pas mal pris par les travaux, je propose de jouer ça demain plutôt.

EDIT : et puis faut que je trouve un second joueur.

En fait, demain je ne pourrait guère jouer que la matiné, puisque l'après midi et jusqu'à Dimanche au soir il est fort probable que je n'ai pas de réseau là où je suis.

Donc cela risque d'être plutôt vers lundi ou dimanche soir alors

je peux essayer d'être dispo demain-matin.
Sinon, moi ça ne me dérange pas d'attendre pour la jouer, j'ai des sous de côtés, je ne suis pas en flux tendu moi,

Alors attendons

Si Guem et Caulaincourt, vous êtes disponibles en début d'après midi, je vous propose de jouer la bataille vers 14h30.

Indiquez-moi ci-après si ça vous convient.

Pas possible, je ne peux que le matin ou le soir, pas avant 20h.

Bon, et si on la joue tout de suite ? ça irait ?

J'ai exporté vers ntw2. Je peux la jouer.

JE SUIS SUR MSN, prévenez-moi si on la joue.

Bon... Victoire napolitaine... Visiblement 700 morts à 4000

Belle bataille.

Guem s'est disposé intelligemment, reculant ses troupes loin de ma division et des deux autres commandées par Raphael. Et surtout, le top de sa manoeuvre a été le contournement surprise de l'aile gauche des napolitains. Ayant caché dans les bois des unités, il les a faites surgir d'un coup, tout en repliant et resserrant ses autres forces sur sa droite. Ainsi, non seulement raph s'est fait attaquer sur toute sa gauche, un temps encerclée, mais aussi les espagnols évitaient de combattre ma division, trop lointaine de ce mouvement tournant.

Et d'ailleurs tes tirs de mitraille ont occassioné de sérieuses pertes à un de mes régiments d'infanterie. Enfin au final jolie bataille, pleine de rebondissement. Vu la composition des forces, tu n'avais pas beaucoup de possibilités.

Alors, que s'est-il passé sur cette colline. Il y a effectivement un tir de mélée qu'on pourrait qualifier de "partiel"

Il faut savoir qu'il y avait deux actions en simulatné :
1) Le gros de l'armée espagnole faisait front sur ma gauche à une ligne de grenadiers napolitains placé près d'une eglise. Les guerielleros espagnols harcelaient mes grenadiers.
2) Ma cavalerie au centre soutenait la division de Caulaincourt dans l'extermination des espagnols retardataires.

Je faisais la navette entre ces deux actions et du coup je n'ai pas été très attentif à ce qui se passait sur mon flanc.

Mes grenadiers en ligne était en mode garde avec tir automatique. Ils choisirent donc de cibler les guerriellros placés sur leur flanc. Les tirs n'étaient pas très efficace vu leur position perpendiculaire, mais c'était déjà ça.
Soudain, Guemsterk lance une charge de ses grenadiers de la princesse. Ceux-ci se dirigent vers mes grenadiers qui leur tirent dessus à distance occasionnant quelques pertes sans briser la charge.
Lors du contact, la première ligne de grenadiers se bat au corps à corps avec les élites de guemsterk pendant que les lignes arrières tirent encore sur les guerielleros, mais les soldats tout à droite tirent sur les fusiliers et les grenadiers de guemsterk. Occasionnant ainsi un tir de melee qui fait quelques pertes.
C'est à peu près à ce moment là que je me rend compte de la situation : je déplace alors une unité de fusilier derrière mes grenadiers, en soutient. Et j'ordonne à ma cav de contourner l'église pour attaquer les gueriellros.
J'avoue que je n'avais pas vu que mes grenadiers tiraient. Je croyais qu'ils étaient au corps à corps et j'ai mis du temps à réagir.
Jai lancé une charge de mes cavaliers, puis de mes fusiliers et enfin des grenadiers.
Le général espagnol passait à ce moment là et a été fauché par un tir des grenadiers en direction des guerielleros...

C'est surtout le contournement par ma cav, en faisant fuir les gueriellors juste après la mort du général , qui a été décisif dans la mélée.

MAIS, je suis fautif d'avoir laissé tirer mes grenadiers au lieu de les faire se battre au corps à corps.

Je m'en excuse et je peux modifier le log pour rendre à Guemsterk l'intégralité de ses unités d'élites en compensation.

Sinon, en commentaire global, je rejoins Caulaincourt : belles manœuvres de Guemsterk, j'ai eu de sacré frayeurs. Mais la supériorité de mes canons et de mon contingent de cavalerie ont permis de remporter la bataille.

Au plus fort du combat, je ne savais plus où donner de la tête et je me suis contenté de poser des lignes solides et de faire contourner ma cavalerie. J'ai même essayé un temps de ramener mes canons, hors de portée, mais tout s'est déroulé trop vite pour eux.