Juillet 1801 - Siège de Turin

Bah alors pour moi c'est bon.

Tu as compris Joarius, replie toi!

Oulà. Très cholie score Jojo Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 213868

. Des stats qui feraient rougir Zaapoléon lui-même!
Pour le tir de mêlée, ça peut arriver à tt le monde quand la bataille est éclatée en tous sens. maintenant il faut vérifier si il a bien eu lieu et si il a eu un impact important sur la bataille.
Je vais regarder la vid ce matin .

vous n'avez mis que le fichierRpy en ligne, pour voir la bataille il faut aussi mettre dans un fichier.rar le dossier de la bataille.

le dossier porte la date et l'Hex de la bataille correspondante, situé dans:
The Creative Assembly\Rome - Total War\napoleonic\data\world\maps\battle\custom

Si seuls quelques soldats étaient au corps à corps, on ne considère pas qu'il y ait tir de mélee. C'est plutot un tir "in extremis" qui d'ailleurs n'a pas du faire d'énormes dégâts vu que les troupes sont loin et protégées par tes milices en fuite.
Le problème, c'est que gume a ordonné une charge alors que ses troupes refluaient, ce qui est très génant pour foncer dans le tas.

Je rapelle qu'une charge frontale est quelque chose de quasiment iréalisable face à une unité en force. C'est quasiment du suicide. Une charge se prépare en affaiblissant l'effectif de l'adevrsaire et en cherchant un point de rupture. Le mieux est d'ailleurs de passer par les cotés ou encore mieux l'arrière. (ou alors en étant nettement supérieurs en nombre)

En tout cas, un tir de mélée, c'est lorsque les deux unités sont bien engagées dans le càc et que l'une fait feu sur l'autre au contact, ce qui fait d'énoooormes dégâts.

Et au fait : félicitations Joarius ! Un score impressionant, surtout à 1vs2 !!!
Tu vois que tu peux te montrer digne d'un napoleon.

Pontifex Maximus Nombre de messages : 1744 Date d'inscription : 11/09/2009

En fait... Les miliciens venaient de fuir non pas du aux dégats, mais en résultat de la mort du géné tué par les hussards... Ils étaient déjà aux corps à corps, et on gênés les pov's ptits grenadier. le tir à tué une vingtaine de mes gens, les mettant en fuite, et mettant en fuite toutes les milices aux alentours, plus le reste de mon unité du général.

Donc Ourgh ^^

Mais bravo Joarius. (et un grand OUUUUH à moi, qui avec la deuxième charge ai mis en fuit non seulement moi, mais mon allié aussi ^^;; hem oui... heuu

)

tu peux nous remettre la video? (voir page précédente)

Il est Joapoléon!

J'ai hâte de voir la vidéo!

[HRP]

Mon égo aimerait bien me transformer en Joapoléon, mais ne rêvons pas : je fais des conneries de débutant, j'oublie toujours des principes simples entre les batailles (pas assez rapprochées), etc... Pépèr', l'est plus tout djeuns... ^^;; hem oui... heuu

(et même quand j'étais djeuns, j'oubliais... ^^;; hem oui... heuu

Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 929583

Trop primaire comme avait dit un prof... Mais c'est pas vrai.

Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 17593

).
Mais bon, j'aurais au moins gagné une bataille. Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 211230

Raphael a écrit:: Et au fait : félicitations Joarius ! Un score impressionant, surtout à 1vs2 !!!
Tu vois que tu peux te montrer digne d'un napoleon.

'faut pas oublier qu'en face, la majorité de l'infanterie était de la Milice Napolitaine... Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 211230

Perso, j'évite la Milice, j'sais pas pourquoi... ^^;; hem oui... heuu

Et là où j'ai vraiment pas su quoi faire, c'est quand j'ai vu que ses canons de 12 tiraient vraiment LOOIIINNNNNNNNNN... Mais c'est pas vrai.

'tain comment faire ? Réfléchis, Joarius, Réfléchis... Z'êtes Zinzin?

Bien rien... Ok d'accord...

Voilà pourquoi j'ai ordonné à mes deux régiments de cavalerie de ligne de passer par la gauche pour tenter de perturber les lignes ennemies et attaquer au loin ses canons de 6.
D'ailleurs, 'faut que je visionne le Replay, mais je crois bien qu'un de mes escadrons de Chevau-Légers Lanciers est passé au-travers des Grenadiers Napolitains (ou quelque chose comme ça) en voulant passer par les bois à gauche de mon armée... Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 929583

Non, Guem ou Aetius ?
Mais les Chevau-Légers, ça tient pas bien la distance... Les Hussards, z'ont l'air pas mal finalement...

Sinon, vous pourrez constater que finalement, j'engage un mouvement de repli. En fait, oublieux de nouveau des règles ^^;; hem oui... heuu

, j'ai demandé à Guem et Aetius si je pouvais me replier, même si j'étais l'attaquant. Ils ont accepté, mais évidemment, ça leur donnait une info cruciale, leur permettant de rattraper mes bataillons... ^^;; hem oui... heuu

PS :
J'ai mis low la végétation, l'herbe, medium les uniformes et baissé encore un autre truc.
Pas de CTD, ça a tenu, tant mieux. Prions que la solution est là... Prosterne

[/HRP]

On veut voir la video! Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 929583

http://www.megaupload.com/?d=L99IXWH7

Et hop ! vous mettez l'archive dans rome/napoleonic, puis vous faites un clic droit puis "extraire ici". Et hop, vous lancez le mod et vous regardez le replay !

[HRP]

@Guem et Aetius :
Je viens d'essayer le créateur d'XPs.

AVANT :

Spoiler:

APRÈS :

Spoiler:

Vous avez les mêmes résultats ?

@ Raph : j'ai suivi les instructions :

Spoiler:

Donc je pense que c'est bon.

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Un régiment qui tue 1700 hommes?????

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Bon, j'ai posté => ICI <= le drôle de phénomène qui est arrivé.

Alors je propose à Guem de me refiler le sien, si on ne trouve pas la solution.

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Pontifex Maximus Nombre de messages : 1744 Date d'inscription : 11/09/2009

Je t'ai envoyé le log à ton adresse.

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Vu. Merci. Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 379400

J'importe demain, et je fais l'essai avec ta proposition de méthode.
Avec l'import, je pourrai me décider.

Là, dodo.

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[HRP]

Joarius a écrit:: PS :
J'ai mis low la végétation, l'herbe, medium les uniformes et baissé encore un autre truc.
Pas de CTD, ça a tenu, tant mieux. Prions que la solution est là...

Euh, un doute m'a assailli soudainement en lisant le log :

Code:: TimeLimit: 60m0.0s
BattleDuration: 58m13.8s

J'espère que ce n'est pas ça qui me fait CTDiser... Mais c'est pas vrai.

Parce que si oui, on était p'têt bien à 1m46.2s du crash... Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 213868

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Quand tu CTDait, c'est toi qui hostait? Parce que les paramètres retenus sont ceux de l'hôte.
J'en profite pour demander si il faut limiter la caméra ou non, moi je le fais, Aetius pas, on est dépaysé.

Je ne crois pas qu'on limite la caméra d'habitude.
Concernant le bug au bout d'une heure de jeu, je le rencontre parfois, et j'ai crû remarquer que c'était lié au fait de faire tourner d'autres programmes, c'est à dire d'avoir d'autres fenêtres ouvertes, comme par exemple internet, et aussi de réduire napoleonic avec alt+tab. L'idée, pour éviter le plantage, est de toujours rester dans le jeu, et de ne pas réduire ; de la sorte, je prolonge la durée de jeu sans plantage.

Août 1801

Juillet 1801 - Siège de Turin - Page 2 General_adolphe_edouard_casimir_joseph_mortier_01_216x300-ef1f99bc14

Le Général Mortier regardait dans sa longue vue les troupes napolitaines massées au loin. Il pouvait apercevoir le principal corps de bataille ennemi ramassé autour de bâtiments, les deux batteries environ au centre du dispositif.
Plus loin, il pouvait voir les renforts napolitains en marche pour rejoindre la force principale ennemie.

Se tournant vers son État-Major :

- Messieurs, il faut y aller.
- Général ! Ils possèdent une batterie de 12 ! Ils vont pilonner nos troupes avant même que nos propres canons ne soient à portée de tir.
- Je sais Lieutenant... Mais nous n'avons pas le choix : nous avons fait faire une marche forcée au 4e Corps pour les attaquer avant qu'ils ne reçoivent des renforts encore plus importants. Si nous nous replions maintenant, les Napolitains ne pourront que renforcer leurs positions aux alentours de Turin.
Donnez l'ordre aux unités de se mettre en mouvement.
- À vos ordres, mon Général. Trompette, sonnez le (...).

Pendant que les clairons et les tambours sonnaient l'ordre de marche, Adolphe Mortier regarda de nouveau les lignes ennemies. Le combat allait être dur et nombre de braves Français tomberaient ce jour.

Ce que tous redoutaient arriva au bout de quelques minutes de marche : les canons de 12 napolitains ouvrirent le feu bien au-delà de la portée des batteries françaises. Les Français devaient encore avancer s'ils voulaient que leur artillerie soit efficace, mais la suite de leur progression se fit sous le tir ennemi.

- Estafette ! Portez un billet à la Brigade Botot-Dumesnil. Qu'ils se mettent en route pour menacer leur flanc droit. Que leur approche se fasse le plus loin de l'ennemi pour économiser les hommes et les montures.
- À vos ordres, mon Général !

Le courrier partit au galop rejoindre la 3e Brigade de Cavalerie afin que son ordre soit appliqué.

- Mais mon Général, n'est-il pas dangereux de détacher nos deux régiments de Chevau-Légers loin de notre corps de bataille principal ? Ils vont se retrouver isolés et ne pourront pas nous apporter d'appui ici ?!
- Capitaine, nous n'avons pas le choix : il faut perturber les lignes italiennes si nous voulons pouvoir nous battre efficacement. Regardez comme leurs canons de 12 pilonnent nos troupes : nous ne pouvons pas attendre sagement que leurs canons nous détruisent les nôtres et une bonne partie de notre infanterie.
Et nous avons toujours deux régiments de cavalerie en soutien.
- Oui, mais ce sont de la cavalerie légère, mon Général. Résisteront-ils à la pression ennemie ? De plus, les deux escadrons placés dans le bois sur notre droite sont maintenant bien loin de nos lignes. pourront-ils intervenir à temps ?
- Je ne sais pas et nous verrons bien, Capitaine.
- Mon général, leur cavalerie avance vers nos batteries !
- [ Eh bien ça commence... Fassent les Dieux de la Guerre que nous nous en sortions sans trop de pertes... ]

(...)

Tout à gauche du dispositif français, la 3e Brigade de Cavalerie avait été repoussée par l'aile droite de l'armée napolitaine et avait subi de lourdes pertes ! Les deux régiments étaient en déroute et ils n'étaient plus d'aucune utilité au Général.
Le centre du dispositif français continuait à être bombardé, et l'État-Major du Corps d'Armée lui-même subit des tirs qui tua quelques-uns de ses membres.
Voyant que les troupes françaises allaient être décimées par les canons ennemis, le Général Mortier se tourna vers le Capitaine :

- Ordonnez le repli. Si nous continuons ainsi, nous allons droit à la catastrophe.
- À vos ordres, mon Général !
- Capitaine ! J'ai dit repli, pas retraite, et encore moins déroute !! Je veux que les bataillons exécutent cette manoeuvre dans le calme et la discipline, est-ce compris ?
- Oui, mon Général.

Et le mouvement de repli français commença, sous le harcèlement des cavaliers napolitains. Petit à petit, charge après contre-charge de cavalerie, le combat tournait en faveur des Napolitains. Les cavaliers des 1e escadrons des 3e Régiment de Hussards et 5e Régiment de Chasseurs à Cheval avaient beau engager l'ennemi dès qu'il le pouvait, les cavaliers de ce dernier continuaient à représenter une menace sur les batteries et l'arrière des lignes françaises.
L'infanterie napolitaine avait rejoint les lieux des combats à marche forcée et engageait les bataillons de fantassins français les uns après les autres.
Le Général Mortier se démenait, donnant des ordres, allant encourager des unités mais rien n'y faisait : la pression ennemies lui semblait devoir devenir trop forte. Quand, soudain, des bataillons napolitains refluèrent, paniqués par les combats. Constatant cela, l'ensemble des escadrons des Hussards et Chasseurs à Cheval chargea sur les ailes en différents points.

La prière du Général était exaucée : les Napolitains cédaient, bataillons après bataillons.
Le combat dura encore longtemps, 4 bataillons de Miliciens napolitains résistant en toute dernière extrémité. Mais finalement ils furent eux aussi enfoncés et la victoire revint aux Français.

- Mon général ! Les Napolitains sont en déroute sur tout le champ de bataille ! La victoire est nôtre !
- Oui. Mais n'oubliez pas, Lieutenant. Entre la victoire et la défaite, il n'y a qu'une mince frontière et c'est nous qui aurions pu la franchir aujourd'hui.
- Oui mon Général.

Le Général Mortier observait le champ de bataille : tant de morts en un seul jour. Décidément, il ne s'y habituerait jamais...

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