Le Royaume Gaulois - Demeure du Roi

[HRP] Ouai, mais maintenant c'est trop tard, j'ai rendue ces terres aux Daces [/HRP]

Des cavaliers romains se présentèrent devant le Conseil Celte. L'un d'entre eux s'avança :

- Ave Gaulois. Mon nom est Servius Sertorius. Je suis envoyé par Joarius Julius Nero, Chef de la Maison Julii, au nom de la République de Rome, pour vous faire part d'une proposition de paix. Il nous a été rapporté que votre chef Tugoserix était mort au combat et que depuis vous désiriez cesser les combats contre Rome.
Le désir le plus cher de tout citoyen romain est de retrouver la paix. Mais pas à n'importe quel prix.
Aussi telles sont nos conditions :

L'émissaire déroula alors un parchemin et commença à le lire :

- Tout combat entre les troupes gauloises et romaines doivent cesser sur le champ.

Les troupes gauloises doivent avoir évacuer entièrement toute l'Italica et l'Illyrica avant le mois de décembre de cette année.
Par conséquent, les villes de Mediolanum et de Segestica seront rendues à la République Romaine.

À cette même date, c'est-à-dire décembre 175 BC, vous aurez évacué les villes d'Aqua Sextiae et de Nicea, ainsi que leurs territoires, tandis que le ville de Valentia et les terres environnantes seront démilitarisées et ne pourront compter qu"une unité de Paysans Gaulois au maximum.
En contrepartie, la République de Rome cédera au Peuple Gaulois les villes de Narbo Martius et Nimea. Cette dernière ne pourra compter au maximim que cinq unités de piquiers.

Si à la date de décembre 175 BC, toutes les troupes gauloises ont quitté l'Italica, l'Illyrica et les zones de la Tansalpina citées précédemment, le Sénat Romain considérera que la paix est conclue entre le Peuple Gaulois et le Peuple Romain.
Cette paix sera alors établie pour une durée d'au moins un an pendant laquelle aucune troupe gauloise ne pourra stationner ni à Nimea, ni à Valentia selon les conditions exprimées auparavant.

Enroulant de nouveau le message avant de le tendre à un garde gaulois posté à ses côtés, Servius Sertorius rajouta :

- Il vous reste un mois entier pour décider si la paix peut être établie ou non. Vous pouvez donc faire vos propres propositions que nous transmettrons au plus vite au Sénat de Rome.

Le Druide réfléchit et répondit :

Nous sommes d'accord pour les échange des terres... mais... la démilitarisation n'était pas dans les termes que les Scipi nous ont proposés, nous aimerions que Rome ne parle que d'une seul voie, mais peut-être me trompe-je ?

Le porteur d'un message se présenta la Capitale des Gaules, devant la maison du Conseil des Guerriers.

Il venait de la Ligue Achéenne.

Il était le dépositaire d'une missive qu'il lut une fois autorisé à se présenter.
- Valeureux guerriers,
Nous Archonte Andriskos, saluons la volonté de vos sages à conclure une paix entre votre peuple et le peuple de Rome.
Nous, alliés du peuple de Rome, respecterons la paix proposées. Nous ne chercherons pas à attiser le feu de la haine. Notre présence aux côtés du Peuple de Rome avait pour unique vocation de défendre nos voisins et amis de commerce et de prospérité.

Que les Dieux soient avisés que les hommes de sagesse prennent en ce moment leur destin en main.

Un diplomate scipii, qui accompagnait la délégation romaine, se leva pour prendre la parole.

"Noble roi, n'oublie pas que Rome est une république gouvernée par un triumvirat et que toutes les décisions importantes sont soumises au Sénat pour y être discutées.
L'actuelle négociation est tenue par la Maison Julii car c'est elle, initialement, qui a été attaquée par le roi Gurnopée. Le Consul Joarius sera à partir de cet instant ton seul interlocuteur officiel pour les délimitation fronatlières et la tenue ou non d'une zone militarisée. Le Premier Consul Scipion l'Ancien n'étant en charge "que" de la sauvegarde de Rome.

Sache donc que la proposition de paix qui t'a été faite a été votée à l'unanimitée par le Sénat et l'ensemble des Trois Consuls de Rome."

Le druide ne réfléchit même plus et répondit :

Et bien soit, vos propositions sont acceptés !

Il regarde l'envoyé grec, et haussant un sourcil il lui dit :

La ville de Massilia devra, elle aussi, être rendue à la Gaule.

Puis se retournant vers le romain :

Si vous pouviez faire quelque chose auprès de votre allié... cela nous faciliterait grandement la tâche.

Je pense pas que les grecs vont gardé la ville
sinon pourquoi je me retrouve seul contre le gaulois ?

C'est plus équitable, non ?

Un cavalier arriva à bride abattue dans la ville où se tenait le Conseil Celte. Après avoir montré ses intentions pacifiques, il demanda à voir la délégation romaine qui était encore sur place.
Aussitôt qu'il prit connaissance du message apporté, Servius Sertorius demanda à être reçu immédiatement par le Conseil Celte.
Une fois devant les sages gaulois :

- Gaulois, on nous rapporte que vos armées aux portes de Patavium menacent la I° Légion Italica.
Qu'est-ce à dire ?
La paix n'a pas encore été signée officiellement, mais ce n'est pas une raison pour continuer les combats. L'attitude des guerriers de ces armées gauloises va à l'encontre des déclarations du Conseil Celte.
Aussi je pose la question : qui dirige réellement la nation gauloise ? Les membres de ce conseil ou les guerriers ? Que nous sachions vers qui nous tourner pour conclure réellement la paix...

Servius Sertorius se tut, attendant la réaction des membres du Conseil Celte.

Devant les 2 émissaires, le gaulois se gratta la barbe en souriant...
Il se tourna vers le Grec et plein de mépris, il répondit :

Vous n'avez rien eu à payer dans cette guerre ! Aucun Grec n'est mort, vous avez même fui devant Genua ! La vile pourrait bien tomber au main des Arméniens, ce ne serait pas grave... car eu ce sont battu... Vous avez pris une ville sans défense au moment ou notre nation perdait son leader et se tournait vers la paix... Non ! Massilia sera Gauloise où ne sera pas !

Un guerrier se permit d'intervenir :

Chef ! Hum... on a pas beaucoup de soldats disponible en Bretagne et les armées qui rentre de Gaule sont bien amochées... La Gaule connait la guerre perpétuelle contre bien trop d'ennemis depuis assez longtemps ! Massilia n'est pas une grande ville, il n'y a aucune infrastructure, même pas pour le commerce... et nous avons besoins d'homme !

Le chef Gaulois du coin, après avoir réfléchit, répondit :

Très bien, vous payerez Massilia avec du sang Briton ! Envoyez nous quelque hoplites... disons la garnison de Massilia... ces pauvre bougres ne se sont pas battus ! Nous les employons comme mercenaire et vous récupérez votre colonie !

Il parla au romain avec plein de franchise et lui dit :

Haaaa... l'administration, les papyrus, c'est le bazar en ce moment ! Mais ! Ne vous inquiétez pas, ce n'est qu'une erreur, nos armée remonte derrière les Alpes !

Servius Sertorius regarda froidement le Gaulois.

- Votre façon de diriger votre peuple et vos terres ne regardent que vous. Nous n'avons cure de vos problèmes d'administration et de payrus.

Les termes de notre proposition de paix sont simples : " Tout combat entre les troupes gauloises et romaines doivent cesser sur le champ. "
De notre côté, nous tenons parole : aucune armée romaine n'a repris les armes contre vos troupes. Alors si vous voulez vraiment la paix, tenez parole de votre côté.

Le Chef Gaulois regarda simplement le romain et lui répondit :

Pensez-vous vraiment que ces escarmouches nous amusent ? Allons ! Soyez clairvoyant, vous parlez pour rien dire, maintenant je vous prie de partir, la paix sera effective le plus tôt possible...

Le romain fut congédier avec les honneurs du à son rang et se vit offrir une pense de sanglier farcie ainsi qu'une chope de cervoise gauloise, o, ,e dira plus que les Gaulois coupent les têtes de leurs invités !

J'attends toujours ta réponse Rethor

[HRP]Mea culpa [HRP]

Nous sommes prêts à vous mettre à disposition quelques unités de la garnison de Massilia, dès que les remparts de cette cité auront été rétabli.
Nous serions bien imprudents de laisser la ville sans aucune défense.
or actuellement, les ressources semblent bien longues à parvenir jusqu'à la Cité. Ce qui ne devrait plus tarder, néanmoins.

Ceci fait, nous vous mettrons à disposition quelques unités de miliciens hoplites.

Bien sûr, ceci sera d'autant plus aisé pour nous de mettre ceci en ouevre, dès que la paix sera signé avec les Romains.

Un émissaire de la Maison Scipii prit alors la parole devant le roi gaulois :

Noble roi et fier ancien adversaire, comme convenu dans le traité de paix, la LEGIO VIII GALLICA vient de quitter Niméa, laissant la cité sans garnison. De même, les clés de la cité de Narbo Martius aisni que prochaienemtn celles de Niméa seront rendues aux dignitaires gaulois.

La LEGIO VIII, actuellement embarquée sur la flotte romaine, fait route vers Nicéa. J'ose espérer que la cité sera libérée de toute garnison lorsque cette légion arrivera afin d'en prendre possession.

Servius Sertorius s'avança ensuite :

- Comme le stipule l'accord de paix, la cité d'Aqua Sextiae devra être libre de toute garnison gauloise le mois prochain. La V° Légion a pris la route afin de reprendre le contrôle de cette ville romaine.

Je suis d'accord pour Mediolanum et Segestica. Les autres villes seront démilitarisé, pas plus.

[HRP : est-ce que l'espagnol ne t'aurait pas envahi une ville par hasard ? ]

HRP : oui je suis étonné de voir que Narbo Martius est devenu espagnole alors que je venais de t'en faire le don...

voyant les autres armées espagnoles, l'hasard est bien chanceux ^^
sans déclaration, c'est fourbe ( mais j'aime )

Quel hasard, effectivement. Oh, tiens, les britons et les espagnols sont dans la même alliance ! Le hasard encore une fois

Sans parler d'attaquer quelqu'un sans lui déclarer la guerre, je trouve particulièrement moyen de prendre une ville vide qui venait d'être cédée à la Gaule. Nekta ?

J'ai jamais signer la paix depuis que j'ai entamé ma guerre de réunification de l'Ibérie, je le rappel, de plus je fais partie de l'alliance celte ibéro-britonne comme tu l'as dis, donc comment pourrais-je ne pas être en guerre.

De plus j'ignorais totallement les transaction entre Romains et Gaulois, le hasard a voulus que j'attaque à ce moment la... la chance était du coté des Celtibères.

(PS: ET JE NE SUIS PAS... ESPAGNOL!!! Ca n'existe pas à l'époque, crédidiou!!)

HRP:Mer..! alors quand le public acclame russel crowe dans Gladiator en scandant: "L'ESPAGNOL! L'ESPAGNOL! ils nous auraient menti?

c'est bon j'ai ma place... /HRP