Siège de Parme

L'armée de Manuel Godoy, remis de ses blessures, allait entrer dans Parme dans un mois. Les italiens en liesse criait leur admiration pour le général espagnol qui allait enfin les délivrer de l'infâme tyran viennois.

La liesse est à son comble dans la cité millénaire. Le peuple italien reconnaissant salue par des cris de joie les vaillants militaires espagnols, leurs lointains cousins latins. Il n'est pas vieux le temps où l'Italie du Nord était espagnol, et c'est avec une grande ferveur que les cités lombardes priaient pour voir cette époque renaître.

Viva la reconquista ! Muerte para El Tyrano !