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| Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique | |
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Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mar 26 Avr - 9:55 | |
| Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique. Février 1800 : A l'aube de cette Histoire, François II de Habsburg est empereur du Saint-Empire Romain germanique. Ce dernier à toujours été une coalition d'état plus ou moins amicaux, mais dernièrement des volonté fortes se font entendre. La Prusse en particulier aspire à parler d'égal à égal avec l'Empereur. Les pays bas, anciennement vassaux des Habsburg, sont désormais réunis sous la puissante République Batave, amie de la France. La France, elle même lorgne de plus en plus à l'est. La guerre est t-elle inévitable ? Octobre 1800 : - Avec le retour du froid, les notable et artistocrates cherchent la chaleur où elle se trouve. Désertant le lit conjugale trop froid, on les vois courrir dans des maisons closes flambant neuves. Leur devise : " nos hôtesses ne parlent pas la langue mais savent s'en servir ! " attire le client, tant pour sa promesse de discression que d'efficacité. - Malheureusement, ces commerces s'accompagnent d'une recrudescence du banditisme et de la criminalité en générale. Les fumeries d'opium illégale sont découvertes attenantes aux bordels. L'opium es à l'origine de nombreux ravages dans les classes bourgeoises du pays, qui se détourne de son devoir de gagner de l'argent. - Pire encore, des disparitions de jeunes filles seraient devenus monnaies courantes depuis quelque temps. Les parents restent sans nouvelles. La police de l'Empire mène l'enquête. Novembre 1800 : Le fort accent slave en vigueur dans les nouveaux point chaud indique leur provenance. Les enquêtes se poursuivent en Autriche et désormais à l'étranger. Les pistes les plus récentes remontent vers la grande Russie. L'enquête passe donc dans les mains de l'ambassadrice Sophia von Metternich. Décembre 1800 : 1/12/1800 L'enquête progresse plus que jamais sous la direction de l'ambassadrice. Des jeunes autrichiennes enlevée auraient déjà été retrouver comme le prouver cette gravure prise sur le vif en périphérie de la capitale Russe. L'ambassadrice rapporte qu'elle serait sur le point d'aboutir sur l'affaire. Les commanditaires en seraient très haut placé. 2/12/1800 8hL'ambassade est en émoi après la soudaine disparition de l'ambassadrice. Son bureau aurait été visité et ses tiroirs vidés. 4/12/1800 12hLe rapport de l'enquête vient d'être retrouver dans un compartiment dissimulé du bureau de l'ambassadrice. L'homme se cachant derrière la prostitution, les trafics, les violences et les enlèvement en Autriche appartiendrait a la cours du Tsar. Le principal suspect n'est autre que le prince Frédéric-César de La Harpe, conseiller du Tsar. Le nom de sa majesté elle même figure sur la liste des personnes lié à l'affaire. 5/12/1800 3hTerrible nouvelle, le corps empaqueté de l'ambassadrice vient d'être retrouvé sans vie sur les marches de l'ambassade d'Autriche. Le corps laisse imaginé les sévices qu'a pu subir cette pauvre femme. Il est certain qu'elle fût abusée à maintes et maintes reprises et torturée. En l’État, il est impossible de préciser dans quel ordre. - Spoiler:
5/12/1800 10 h
L'ambassade d’Autriche est en état de siège. L'ambassadeur adjoint en assure la défense. Le gouvernement d'Autriche est prévenu par pigeon des derniers événements. juillet 1801 :
La tention à la cours de l'Empire est palpable. La suprématie de Von Kléb n'est ce qu'elle à été auprès de Sa Majesté Impériale et Royale. Un nouveau venu dans le jeu des nations exerce une influence grandissante sur sa majesté : il s'agit de Johann Ludwig von Cobenzl. Au dernière nouvelle celui-ci aurait été nomméchambellan, ministres des conférences et vice-chancelier de cour et d'état. A l'inverse de Von Kléb, il regrette les actions entreprises contre la Russie et aurait même été envoyer négocier les termes d'une cessation des hostilités.
Septembre 1801 : Un nouvel Etat est né ! - Citation :
- S. M. l'Empereur du Saint Empire Romain Germanique, Roi de Bohême-Moravie et de Hongrie d'une part, et d'autre part S.M. Le Roi d'Italie, voulant par des stipulations convenables, assurer la paix intérieure du centre de l'Europe, pour laquelle l'expérience a prouvé depuis longtemps, et tout récemment encore, que la l'alliance de la triplice ne pouvait plus offrir aucune sorte de garantie, ont nommés pour leurs Plénipotentiaires, savoir :
S. M. l'Empereur du Saint Empire Romain Germanique, Roi de Bohême-Moravie et de Hongrie, M. Louis, comte de Cobentzel ; S.M. Le Roi des deux Siciles , Ferdinand Ier, lui même ; Lesquels, après s'être communiqué leurs pleins pouvoirs respectifs, sont convenus des articles suivants : Article 1er. Le différent qui opposait le Saint Empire Romain Germanique à l'Italie est clos. Les autorités Italiennes ayant agît avec promptitude pour châtier les coupables. Article 2. Les États leurs majesté l'Empereur du Saint Empire Romain Germanique, Roi de Bohême-Moravie et de Hongrie d'une part, et du Roi d'Italie serons unis entre eux par une confédération particulière, sous le nom de Saint Empire Romain.
Article 3. Le Saint Empire Romain Germanique cesse dès lors d'exister pour se fondre dans le Saint Empire Romain.
Article 4. S. M. l'Empereur du Saint Empire Romain Germanique prendra les titres Prince Primat, grand électeur d'Autriche, ainsi que d'Empereur du Saint Empire Romain. Conformément à la décision des électeurs de l'Empire. Le titre d’empereur n'emporte avec lui aucune prérogative contraire à la plénitude de la souveraineté dont chacun des Confédérés doit jouir.
Article 5. S.M. Le Roi d'Italie prendra le titre de Prince Primat, grand électeur d'Italie.
Article 7. Les princes devront nécessairement être indépendants de toute puissance étrangère à la Confédération, et ne pourront conséquemment prendre du service d'aucun genre, que dans les États confédérés ou alliés à la Confédération. Ceux qui étant déjà au service d'autres puissances voudront y rester seront tenus de faire passer leur principauté sur la tête d'un de leurs enfants.
Article 8. S'il arrivait qu'un desdits princes voulût aliéner en tout ou en partie sa souveraineté, il ne le pourra faire qu'en faveur de l'un des États confédérés.
Article 9. Toutes les contestations qui s'élèveront entre les États confédérés seront décidées par la Diète de Rome.
Article 10. La Diète sera présidée par S. A. Éminentissime l'empereur ; et lorsqu'un des deux collèges seulement aura à délibérer sur quelque affaire, S. A. E. présidera le collège des rois, et le Roi d'Italie le collège des princes.
Article 11. Les époques où, soit la Diète, soit un des collèges séparément devra s'assembler, le mode de leur convocation, les objets qui devront être soumis à leurs délibérations, la manière de former les résolutions, et de les faire exécuter, seront déterminés par un statut fondamental que S. A. Éminentissime le Prince Primat proposera dans un délai d'un mois, après la notification faite à Ratisbonne, et qui devra être approuvé par les États confédérés. Le même statut fondamental fixera définitivement le rang entre les membres du collège des princes.
Article 13. S. M. l'empereur cède au Royaume d'Italie la plein possession des citée de Brescia et Vérone.
Article 14. Les droits de souveraineté sont ceux de législation, de juridiction suprême, de haute police, de conscription militaire ou de recrutement et d'impôt. Article 15. Les princes et comtes actuellement régnant conserveront chacun, comme propriété patrimoniale et privée, tous les domaines sans exception qu'ils possèdent maintenant, ainsi que tous les droits seigneuriaux et féodaux non essentiellement inhérents à la souveraineté, et notamment le droit de basse et moyenne juridiction en matière civile et criminelle, de juridiction et de police forestière, de chasse, de pêche, de mines, d'usines, des dîmes et prestations féodales, de pâturage et autres semblables revenus provenant desdits domaines et droits. Leurs domaines et droits seront assimilés, quant à l'impôt, aux domaines et biens des princes de la Maison sous la souveraineté de laquelle ils doivent passer en vertu du présent traité ; ou si aucun des princes de ladite Maison ne possédait d'immeubles, aux domaines et biens de la classe la plus privilégiée. Ne pourront lesdits domaines et droits être vendus à un souverain étranger à la Confédération ni autrement aliénés, sans avoir été préalablement offerts au prince sous la souveraineté duquel ils se trouvent placés. Article 16. En matière criminelle, les princes et comtes actuellement régnants et leurs héritiers jouiront du droit d'austrègues, c'est-à-dire d'être jugés par leurs pairs ; et, dans aucun cas, la confiscation de leurs biens ne pourra être prononcée ni avoir lieu, mais les revenus pourront être séquestrés pendant la vie du condamné. Article 17. Les individus employés dans l'administration publique des principautés, comtés ou seigneuries, qui doivent en vertu du présent traité, passer sous la souveraineté de l'un des États confédérés, et que le souverain ne jugerait pas à propos de conserver dans leur emploi, jouiront d'une pension de retraite égale à celle que les lois et règlements de l'État accordent aux officiers du même grade. Article 18. Les princes confédérés renoncent chacun d'eux pour soi, ses héritiers et successeurs à tout droit actuel qu'ils pourraient avoir ou prétendre sur les possessions des autres membres de la Confédération, telles qu'elles sont, et telles qu'elles doivent être en conséquence du présent traité. Les droits éventuels de succession demeurent seuls réservés et pour le cas seulement où viendrait à s'éteindre la Maison ou la branche qui possède maintenant ou doit en vertu du présent traité posséder en souveraineté les territoires, domaines et biens sur lesquels les susdits droits peuvent s'étendre. Article 19. Il y aura entre États confédérés du Saint Empire Romain une alliance en vertu de laquelle toute guerre que l'une des Parties Contractantes aurait à soutenir, deviendra immédiatement commune à l'autre. Article 36. Dans le cas où une puissance étrangère à l'alliance et voisine s'armerait, les Hautes Parties Contractantes, pour ne pas être prises au dépourvu, armeront pareillement. Article 39. Les Hautes Parties Contractantes se réservent d'admettre par la suite dans la nouvelle confédération d'autres princes et États qu'il sera trouvé de l'intérêt commun d'y admettre. Article 40. Les ratifications du présent traité seront échangées à Milan le 25 juillet de la présente année.
Fait à Milan le 12 septembre 1802
Signé Louis, comte de Cobentzel ;
Ferdinand Ier, Roi des deux Siciles ; Février 1805 : Afin d'assurer une protection optimale des population civiles, les régions d'Italie situé au nord du Pô passent sous contrôle Autrichien directe.
Mars 1805 :
Face à l'invasion française en Italie du nord, celle-ci sera placée sous protection Autrichienne ; les troupes de la République Cisalpine s'étant révélées dans l’incapacité d'en assurer la protection. Par ailleurs des tractations secrètes ayant été découvertes entres les autorités Italiennes et l'ennemi, celles-ci sont démis de leurs fonctions sur le champs. Le territoire Italien sera pour 1/3 scindé en divers principautés ou rattaché à la sérénissime République de Venise et donc sous protectorat Autrichien. ( Nice, Gênes, Turin, Parme, Mantoue, Ferrare, Modène et Bologne) Le second tiers ( Pise, Florence, Ancône, Sienne et Rome) sera confié à sa grandeur le Pape Pie VII et également placé sous protectorat Autrichiens, enfin le duché de Naples redevient un royaume souverain associé à l’Autriche au sein du Saint Empire et toutes les troupes Italiennes lui seront rattachées. ( Naples, l'Aquila, Tarente, Regio di Calabria, Messana, Palerme et Cagliari) En outre les provinces Italiennes de Grèce et d’Asie mineure ( Corfu, Nicopolis, Athènes, Naxos , Smyrne et Patras) ayant été généreusement donnée par l’Autriche seront désormais administrée par le gouverneur autrichien des anciennes possessions Ottomanes. / Nouvelle de Rome : Le Pape, beni soit il à prenoncer une bulle d'excommunication des perfides Français et Espagnols : - Citation :
- « Pie VII, ÉVÊQUE, SERVITEUR DES SERVITEURS DE DIEU,
À tous les fidèles de Jésus-Christ, salut et Bénédiction Apostolique.
Élevé par la divine Providence au plus haut degré de l'apostolat, tout indigne que Nous en sommes, selon le devoir de la surveillance pastorale qui Nous est confiée, Nous avons, constamment secouru par la grâce divine, porté notre attention avec tout le zèle de notre sollicitude, sur ce qui, en fermant l'entrée aux erreurs et aux vices, peut servir à conserver avant tout l'intégrité de la religion orthodoxe, et à bannir du monde catholique, dans ces temps si difficiles, les risques de troubles.
Nous avons appris, comme chaque Romain aujourd'hui, l'arrivée à nos porte d'un ennemi perfide. Faisant chaque jour de nouveaux progrès, certaines sociétés, assemblées, réunions, agrégations ou conventicules, appelés communément du nom d'Etat de l'alliance de l'Ouest ou d'autres noms selon la variété des langues, dans lesquels des hommes de toute religion et de toute secte, affectant une apparence d'honnêteté naturelle, se lient entre eux par un pacte aussi étroit qu'impénétrable, d'après des lois et des statuts qu'ils se sont faits, et s'engagent par serment prêté, et sous les peines les plus graves, à étendre leur influence et soif de pouvoir sur l'ensemble des nations du globe.
Mais comme telle est la nature du crime qu'il se trahit lui-même en poussant des cris qui le font découvrir et le dénoncent, les sociétés ou conventicules susdits ont fait naître de si forts soupçons dans l'esprit des fidèles, que s'enrôler dans leurs rang c'est, auprès des personnes de probité et de prudence, s'entacher de la marque de perversion et de méchanceté; car s'ils ne faisaient point de mal, ils ne haïraient pas ainsi les autres.
C'est pourquoi, Nous, réfléchissant sur les grands maux qui résultent ordinairement de ces sortes de sociétés ou conventicules, non seulement pour la tranquillité des États temporels, mais encore pour le salut des âmes, et voyant que par là elles ne peuvent nullement s'accorder avec les lois civiles et canoniques; et comme les oracles divins Nous font un devoir de veiller nuit et jour en fidèle et prudent serviteur de la famille du Seigneur pour que ce genre d'hommes, tels des voleurs, ne percent la maison, et tels des renards, ne travaillent à démolir la vigne, ne pervertissent le cœur des simples et ne le transpercent dans le secret de leurs dards envenimé pour fermer la voie très large qui de là pourrait s'ouvrir aux iniquités qui se commettraient impunément, et pour d'autres causes justes et raisonnables de Nous connues, de l'avis de plusieurs de nos vénérables frères Cardinaux de la Sainte Église Romaine, et de Notre propre mouvement, de science certaine, après mûre délibération et de Notre plein pouvoir apostolique, Nous avons conclu et décrété de condamner et pays, état ou nation appelés du nom d'alliance de l'Ouest, ou connus sous toute autre dénomination, comme Nous les condamnons et les défendons par Notre présente constitution, valable à perpétuité.
C'est pourquoi Nous défendons sévèrement et en vertu de la sainte obéissance, à tous et à chacun des fidèles de Jésus-Christ, de quelque état, grade, condition, rang, dignité et prééminence qu'ils soient, laïcs ou clercs, séculiers ou réguliers méritant même une mention particulière, d'oser ou de présumer, sous quelque prétexte, sous quelque couleur que ce soit, d'apporter son concours aux dites entités, ni de les protéger, les entretenir, les recevoir chez soi; ni de leur donner asile ou protection, y être inscrits, affiliés, y assister ni leur donner le pouvoir ou les moyens de commettre leurs crime, leur fournir quelque chose, leur donner conseil, secours ou faveur ouvertement ou secrètement, directement ou indirectement, par soi ou par d'autres, de quelque manière que ce soit, comme aussi d'exhorter les autres, les provoquer, les engager les aider, à s'en faire membres, à les assister, à les aider et entretenir de quelque manière que ce soit, ou les conseiller: et Nous leur ordonnons absolument de se tenir strictement à l'écart de ceceux-ci, et cela sous peine d'excommunication à encourir par tous les contrevenants désignés ci-dessus, ipso facto et sans autre déclaration, excommunication de laquelle nul ne peut recevoir le bienfait de l'absolution par nul autre que Nous, ou le Pontife Romain qui nous succèdera, si ce n'est à l'article de la mort.
Nous voulons de plus et mandons que les Évêques comme les Prélats supérieurs et autres Ordinaires des lieux, que tous les Inquisiteurs de l'hérésie fassent information et procèdent contre les transgresseurs, de quelque état, grade, condition, rang, dignité ou prééminence qu'ils soient, les répriment et les punissent des peines méritées, comme fortement suspects d'hérésie; car Nous leur donnons, et à chacun d'eux, la libre faculté d'instruire et de procéder contre lesdits transgresseurs, de les réprimer et punir des peines qu'ils méritent, en invoquant même à cet effet, s'il le faut, le secours du bras séculier. Nous voulons aussi qu'on ajoute aux copies des présentes, même imprimées, signées de la main d'un notaire public, et scellées du sceau d'une personne constituée en dignité ecclésiastique, la même foi que l'on ajouterait aux présentes, si elles étaient représentées ou montrées en original.
Qu'il ne soit permis à aucun homme d'enfreindre ou de contrarier, par une entreprise téméraire, cette Bulle de notre déclaration, condamnation, mandement, prohibition et interdiction. Si quelqu'un ose y attenter, qu'il sache qu'il encourra l'indignation du Dieu Tout-Puissant, et des bienheureux apôtres S.Pierre et S.Paul.
Donné à Rome, près Sainte-Marie Majeure, l'an de l'Incarnation de Notre Seigneur MDCCCV, le IV des Calendes de Avril (28 mars), la Ve année de Notre Pontificat. »
Dernière édition par Aetius le Lun 17 Oct - 17:00, édité 13 fois | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
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| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mar 26 Avr - 10:07 | |
| Nouvelles du front Février 1800 : Organisation provisoire de l'armée impériale : - 1ère Armée de Bavière, commandée par le Generalmajor Franz von Weyrother. - 2ème Armée de Vénétie, commandée par le général Johann von Beaulieu - 3ème Armée d'Autriche, commandée par Josef Freiherr Alvinczy von Borberek - 4ème Armée de Hongrie, commandée par le Feld-maréchal Heinrich Johann de Bellegarde - 5ème armée de Pologne, commandée par le prince Jean Ier de Liechtenstein - 6ème Armée de Bohême, commandée par le prince Karl Philipp de Schwarzenberg Janvier 1801 : La IIIe et la VIe Armée ont franchie la frontière Russe. Les villes de Lviv et de Czernowitz sont dors et déjà passer sous contrôle Autrichien. Février 1801 : Alors que Pinsk tombait sans résistance au main des Autrichiens, une gigantesque bataille se déroulait à Kiev pour la possession de l'Arsenal. La VIe Armée venant par le sud-ouest et la IIIe Armée par le nord. Malgré une résistance acharnée des troupes Russes, celles ci furent dépassé par le nombre et périr les armes à la main. Ce jour sera célébré comme le tournant de la guerre. Juin 1801 : La IIIe Armée vient d'essuyer un échec dans sa tentative de prendre Minsk. Mieux armé, les Russes ont repousser l'assaut. La IIIe Armée fait à présent retraite sur Kiev afin de reformer ses effectifs. Pendant ce temps la VIe Armée effectue une percée spectaculaire en Russie, Orel est tombé, Smolensk et bientôt Moscou vont suivre. Juillet 1801 : Une grande bataille vient d'avoir lieu au nord. Les Prussiens ont défaits les russes à la bataille de la Bauska et font route vers St Pétersbourg. Qu'importe dès lors la défaite de Turda ou les Russes ont refouler les Milanais. La guerre touche à sa fin. Août 1801 : Les 2e et 5e corps Français vont route sur Stuttgart, espérant pénétré le dispositif de la coalition. La Ie Armée de Bavière à reçu ordre de retarder les français le temps que les renforts de la IIe Armée de Vénétie ne lui prête main forte. Quelques escarmouches ont eut lieu, mais les Autrichiens refusent la bataille jusqu’à présent. Septembre 1801 : Une grande bataille s'est déroulé autour de Stuttgart, la Ie Armee von Bayern commandée par le Generalmajor Franz von Weyrother à rencontrer au nord de la ville le 5e Corps d'Armée français commandé par le Général Bessières. La rencontre brève et mortelle se solde par un retraite en bon ordres des troupes françaises. A l'inverse à l'ouest de la ville, la IIe Armee Von Venetie commandée par le General Johann von Beaulieu a défait le 2e Corps d'Armée français commandé par le Général Bourray de Plain Lagueul. Les troupes françaises sont en déroute, talonné par la IIe Armée. Octobre 1801 :La IIe armée atteint la citadelle de Besançon. Cette dernière est sommé de se rendre pour réintégrer les possesions Habsbourg de Bourgogne. La garnison privé de tout espoir de secour s'est rendu sans coup férir. A l'inverse des Comtois, les français se rendent, ma foi. Décembre 1801 : Après avoir pris par la ruse la capitale Bourguignonne, Dijon, la IIe armée fait mouvement vers Nevers et la capitale de la France Paris. Dans le Morvan, elle tombe sur ses vieux amis du 2e Corps d'Armée commandé par le Général Ney. La bataille est une victoire éclatante pour les Autrichiens. Les forces françaises sont anéanties. Janvier 1802 : Grisé par leur victoire la IIe armée Autrichienne s'est laissé surprendre par le 5e Corps d'Armée commandé par le Général Bessières qui l'accule à la citadelle de Nevers. La fuite n'étant pas possible, les Autrichiens doivent vaincre ou périr. Réalisant l’impossible, les Autrichiens animés par la force du désespoir, les Autrichiens tendent une embuscade aux forces françaises qui se replient avec de lourdes pertes. La deuxième Armée épuisé par ses deux victoires décide de retraité sur Stuttgart afin de se reformer. février 1802 : Ne voulant pas être en reste, la Ie Armée s'enfonce à son tour en France. La ville de Reims est son objectif premier. Mars 1802 : Après avoir pris la ville, les troupes autrichienne fondent sur la garnison française en retraite. Il la rattrape près d’Épernay. La bataille est un succès total pour les Autrichiens qui n’auront pas à rougir des exploits de la IIe Armée. Accablé par ses défaites successives, le gouvernement français demande un cessez le feu. L'Autriche, magnanime, le lui accorde. Ordres est fait aux Ie et IIe armées de rester sur leurs positions. Février 1805 : Réorganisation provisoire de l'armée impériale : L'appellation des armées à été modifiée conformément à leurs nouvelles zones de compétences. L'organigramme lui reste inchangée : - 1ère Armée de Bavière, commandée par le Generalmajor Franz von Weyrother. - 2ème Armée de Vénétie, commandée par le général Johann von Beaulieu - 3ème Armée d'Autriche, commandée par Josef Freiherr Alvinczy von Borberek - 4ème Armée de Hongrie, commandée par le Feld-maréchal Heinrich Johann de Bellegarde - 5ème armée de Pologne, commandée par le prince Jean Ier de Liechtenstein - 6ème Armée de Bohême, commandée par le prince Karl Philipp de Schwarzenberg
Les nouvelles du front : Contre Attaque en France/ Malgré la perte de Stuttgart, l'état major est fier d'annoncer que la guerre est de retour sur le territoire Français.
Concernant les détachement français qui auraient été aperçu du coté d'Innsbrük, l'état major parle de désinformation de l'ennemie et punniera sévèrement tout ressortissant prise en flagrant délit d'intelligence avec l'ennemie pour colportation de fausses informations.
En Italie, la situation est sous contrôle, nos amis Napolitains auront tôt fait de repousser l'envahisseur français. A l'instar des exploit de la désormais Ière armée de Vénétie qui a écraser un corps français entier avec des pertes minime. Préservant Venise du pillage et de la destruction.
En Russie, les russes viennent de renoncer à marcher sur Mangalia. Fort de notre victoire à Kiev et du prompt renfort parvenus dans la ville, les Russes comprendraient-t-ils enfin qu'ils ne peuvent gagner cette guerre ?
[b][u]Avril 1805 : - A Baden-Baden, égaré en territoire Prussien. La Ière armée de Bavière à rencontré et défait le 2e corps de Soult. Les français sont en déroute, la victoire de l'Autriche est totale ! L'Unteroffizier Johanes Rhambö est cité pour son comportement exemplaire lors de la bataille. Unique combattant encore valide du 10ème régiment de la Garde Impériale Hongroise, de la première division d'infanterie de la première armée. Il a au péril de sa vie continuer un combat contre un ennemis supérieur en nombre, sauvegarder le drapeau de son régiment et portée secours à un officier blessé. Il sera remercier par sa majesté impériale et royale en personne et fait chevalier du bas Wurtenberg de l'ouest. Sic son témoignage après la bataille : " Rahhhhhhh mission accomplis !!! Soult, la prochaine fois tu est mort !!!! " Après l'avoir interroger sur ce qu'il a penser en se battant seul au milieu des rangs ennemis, portant sur son dos son colonel blessé et à la main le drapeau du régiment ? J'ai dis au colonel : "Ca va etre dur de les encercler." Il' m'a répondu "Drole de moment pour faire de l'humour Johanes... Qu'est ce qu'on fait?" J'ai dis "On fonce!" Et s'est passé. Lorsqu'on lui à appris que la bataille s'était déroulé sur le sol Prussien, il aurait répondu : " Mais alors ? Ce n'était pas ma guerre ! " - Spoiler:
- Dans les Alpes, la IIe armée de Vénétie à totalement anéanti un corps français. Seul une unité de chasseur égaré à été épargné pour qu'elle puisse témoigner du massacre.
Dernière édition par Aetius le Lun 24 Oct - 16:29, édité 8 fois | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mar 26 Avr - 10:14 | |
| Nouvelles Diplomatiques (Aussi connues sous le nom de nouvelles de la famille Metternich.) Février 1800 : - L'ambassadrice Sophia von Metternich, est nommée auprès du Tsar. - L’ambassadeur Richard Klemens von Metternich est nommé auprès du Roi de Prusse. - L'ambassadeur et prince Klemens Wenzel von Metternich est nommé auprès du premier Consul Bonaparte. - L'ambassadeur et archevêque Lothar Friedrich von Metternich-Bourscheid est nommé auprès du Roi d'Angleterre. - L'ambassadeur Wolfgang von Metternich est nommé auprès du Roi du Portugal. - L'ambassadeur Franz Georg Karl von Metternich est nommé auprès du Roi d'Espagne. - L'ambassadeur Ernest von Metternich est nommé auprès du Président de la République Cisalpine. - L'ambassadeur Karl Heinrich von Metternich-Winneburg est nommé auprès du Roi de Suède Mars 1800 : Une étape fondatrice de la diplomatie Autrichienne viens de se faire par la signature d'une alliance entre le Saint-Empire, la Prusse et la République de Milan. - Spoiler:
- Citation :
Leurs Majestés Le Roi de Prusse, L'Empereur d'Autriche, Roi de Bohème etc. et Roi Apostolique de Hongrie et le Président de la République Cisalpine,
fermement résolus d'assurer à leurs Etats les bienfaits d'une alliance ont, à cet effet, nommé comme leurs plénipotentiaires, savoir: Sa Majesté le Roi de Prusse: Le colonel Klaus Stephen Fuenfkrauer Sa Majesté l'Empereur d'Autriche, Roi de Bohême etc. et Roi Apostolique de Hongrie: L'ambassadeur Ernest von Metternich et Le gouvernement de la République Milanaise de Cisalpine Le Président Francesco Mulzi D'Ezzlin de la République Milanaise de Cisalpine
lesquels, après échange de leurs pleins-pouvoirs, trouvés en bonne et due forme, sont convenus des articles suivants: Article I Les Hautes Parties contractantes se promettent mutuellement paix et amitié et n'entreront dans aucune alliance ou engagement dirigé contre l'un de leurs États. Article II Dans le cas où l'Italie, serait attaquée par la France pour quelque motif que ce soit, les deux autres Parties, contractantes seront tenues à prêter à la Partie attaquée secours et assistance avec toutes Leurs forces. Cette même obligation incombera à l'Italie dans le cas d'une agression non directement provoquée de la France contre la Prusse ou contre l'Autriche. Article III Si l'une des Hautes Parties contractantes, venaient à être attaquées et à se trouver engagées dans une guerre avec deux ou plusieurs Grandes Puissances non signataires du présent Traité, le «casus foederis» (Note d'Aetius : l'obligation d'assistance militaire) se présentera simultanément pour toutes les Hautes Parties contractantes. Article IV Dans le cas où une Grande Puissance non signataire du présent Traité menacerait la sécurité des Etats de l'une des Hautes Parties contractantes, et la Partie menacée se verrait, par là, forcée de lui faire la guerre, les deux autres seront alors tenu de lui prêter assistance. Article V Si la paix de l'une des Hautes Parties contractantes venait à être menacée dans les circonstances prévues par les articles précédents, les Hautes Parties contractantes se concerteront en temps utile sur les mesures militaires à prendre en vue d'une coopération éventuelle. Elles s'engagent, dès à présent, dans tous les cas de participation commune à une guerre, à ne conclure ni armistice ni paix ni Traité que d'un commun accord entre Elles. En foi de quoi, les Plénipotentiaires respectifs ont signé le présent Traité et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Milan, le vingtième jour du mois de mars mil huit cent.
Le colonel Klaus Stephen Fuenfkrauer L'ambassadeur Ernest von Metternich Le Président Francesco Mulzi D'Ezzlin Décembre 1800 : - Suite à l'assasinat de l'ambassadrice Sophia von Metternich auprès du Tsar, son adjoint Lothar von Metternich est nommé pour assurer l'intérim. - La guerre est déclarée à la Russie, dans le même temps une demande d'assistance est émise aux alliés de l'Autriche. - Spoiler:
- Citation :
- Sire [le Tsar],
Les autorités judiciaire Autrichienne ont constaté une propagation de la pègre Russe au sein de notre Empire. La mort de nôtre ambassadrice alors qu'elle menait l'enquête témoigne de l'importance de l'affaire. S'il en était besoin, les notes rédigée par l'ambassadrice elle même incrimine le plus haut niveau de l'Etat Russe. Considérant d'une part que l’État Russe est dans l'incapacité de réglé un compte à ses propres bandits et que d'autre part l'Etat Russe lui même serait impliqué dans ces actes de banditisme. Considérant en définitive l'outrage que consiste le meurtre de la personne d'un diplomate, de sexe feminin de surcroit. Il en résulte que l'Empire d'Autriche se voit contraint d'assurer la justice et le droit par ses propres moyens. En conséquence, je suis chargé et j'ai l'honneur de faire connaître à Votre Excellence qu'en présence de ces faits, le très Saint-Empire Romain Germanique se considère en état de guerre avec la Russie du fait de cette dernière puissance. J'ai en même temps l'honneur de porter à la connaissance de Votre Excellence que les autorités Autrichiennes retiendront les marchands russes dans les villes Autrichienne, mais qu'elles les relâcheront si, dans les quarante-huit heures, la réciprocité complète est assurée. Ma mission diplomatique ayant ainsi pris fin, il ne me reste plus qu'à prier Votre Excellence de vouloir bien me munir de mes passeports et de prendre les mesures qu'elle jugerait utile pour assurer mon retour en Autriche avec le personnel de l'ambassade ainsi qu'avec le personnel de la légation de Bavière et du consulat général d'Autriche. Veuillez agréer, monsieur le président, l'expression de ma très haute considération. Lothar von Metternich, ambassadeur par intérim. Avril 1801 : La France a envoyé un ultimatum intimant à l'Autriche, la Prusse et l'Italie de cesser toute action béliqueuse contre la Russie. Après insistance de l'ambassadeur à Paris, l'Autriche accepte sans conditions les exigences de la France. Juin 1801 : Malgré l'acceptation Autrichienne, les français vienne de déclarer la guerre à l'Autriche. - Spoiler:
Juin 1801 Considérant l'agression caractérisée et sans fondement que l'Autriche-Hongrie, la Prusse et l'Italie ont perpétrée vis-à-vis de la Russie.Considérant qu'en ce mois de Juin 1801, malgré la demande de la France, les troupes des trois pays susnommés n'ont point évacué les villes de Russie capturées à leur légitime propriétaire et ne lui en ont rendu aucunement les clefs.Considérant le déséquilibre géo-stratégique très grave provoquée par cette agression sans fondement, mettant en cause la stabilité même de l'Europe tout entière.Nous, Napoléon Bonaparte, Premier Consul de la République Française, Jean-Jacques-Régis de Cambacérès, Deuxième Consul de la République Française et Charles-François Lebrun, Troisième Consul de la République Française, déclarons au nom de la France que l'Autriche, la Prusse et l'Italie se sont elles-même mis au ban des nations civilisées.Par conséquent, n'ayant pas d'autre choix, la France se voit contraint de déclarer la guerre aux trois pays sus-nommés.Napoléon Bonaparte Jean-Jacques-Régis de Cambacérès Charles-François Lebrun Consuls de la Répubique Française Juillet 1801 : L'ambassadeur Klemens Wenzel von Metternich aurait été accueillis en ces termes par son excellence von Kléb : - Citation :
- Alors les français n'ont pas cru à nos mensonges. A croire que ce petit Corse aurait plus de jugeote que supposé !
Qu'a cela ne tienne, nous sommes prêt maintenant ! Août 1801 : - Devenu sans objet suite à la resiliation unilatérale de la France, le pacte de non agression conclu entre la France, la Prusse et l'Autriche est versé aux archives. - Spoiler:
- Citation :
Texte du Pacte germano-français de non-agression
Metternich-Tallayrand
23 mars 1800
« Le gouvernement de Prusse et le gouvernement du Saint-Empire-Romain-Germanique réunis en une même alliance des peuples germaniques d'un part et le gouvernement de la Républiques française d'autre part, ci dessous dénommés les partie contractantes, animés du désir de renforcer la cause de la paix entre l'alliance germanique et la France sont parvenus à l'accord suivant: Art. premier Les parties contractantes s'engagent toutes deux à s'abstenir de tout acte de violence, action agressive ou toute autre attaque réciproque, tant isolément que conjointement avec d'autres puissances. Art. 2 Dans le cas où l'une des deux parties contractantes deviendrait l'objet d'un acte de la part d'une tierce puissance, l'autre partie contractante ne devra en aucune manière donner son appui à cette tierce puissance. Art. 3 Les gouvernements des deux parties contractantes devront maintenir, à l'avenir, des contacts réciproques et suivis en vue de se consulter pour échanger des informations sur les problèmes relatifs à leurs intérêts communs. Art. 4 Aucune des deux parties contractantes ne devra participer à aucune coalition de puissances dirigée en quelque manière, directement ou indirectement, contre l'autre partie. Art. 5 En cas de litiges ou de conflits entre les parties contractantes, sur des problèmes de quelque nature que ce soit, les deux parties devront régler ces litiges ou conflits uniquement par des échanges de vue à l'amiable ou, si nécessaire, par l'institution d'une commission arbitrale. Art. 6 Le présent traité est conclu pour une période de dix ans, étant entendu que s'il n'est pas dénoncé par l'une des parties contractantes un an avant l'échéance de cette période, sa validité sera automatiquement reconduite pour une durée de cinq ans. Art. 7 L'accord entrera en vigueur dès sa signature. Fait en deux exemplaires, en langue allemande et en langue française. Paris, le 23 mars 1800. Le plénipotentiaire du gouvernement français : le Premier Consul Napoléon Bonaparte L'ambassadeur du gouvernement autrichien : l'ambassadeur et prince Klemens Wenzel von Metternich Pour le gouvernement prussien :-----------------
Addendum Art. 8 Le présent traité restera connu des seules parties contractantes et ne sera divulgué à aucune autre puissance.
- L'empereur du Saint Empire Romain germanique en temps qu'héritier de la maison de Habsbourg revendique officiellement les anciennes possessions de sa maison indument détenue par les Français et leurs alliés. A savoir, le duché de Bourgogne, le Comté Franc ainsi que la couronne des pays bas. Septembre 1801 : La paix et l'alliance avec la Russie est officiellement scellé par le traité de Kiev. Un franc succès pour son instigateur, Louis, comte de Cobentzel. Un camouflet pour la famille Metternich, seule dépositaire de la diplomatie Autrichienne jusqu'alors. - Spoiler:
- Citation :
Traité de Paix entre l'alliance centrale et la Russie,
Conclu à Kiev le 9 Aout 1801.
S. M. l’Empereur d'Autriche, roi Hongrie et de Bohême, le Roi Frédéric-Guillaume III de Prusse , le Président Francesco Mulzi D'Ezzlin de Milan et le Tsar Constantin, au nom du peuple russe, ayant également à cœur de faire cesser les malheurs de la guerre, ont résolu de procéder à la conclusion d’un traité définitif de paix et d’amitié.
Sadite Majesté impériale et royale, ne désirant pas moins vivement de faire participer l’Empire germanique aux bienfaits de la paix, et les conjonctures présentes ne laissant pas le temps nécessaire pour que l’Empire soit consulté, et puisse intervenir par ses députés dans la négociation, Sadite Majesté ayant d’ailleurs égard à ce qui a été consenti par la députation de l’Empire au précédent congrès de Rastadt, a résolu, à l’exemple de ce qui a lieu dans des circonstances semblables, de stipuler au nom du Corps germanique.
En conséquence de quoi, les parties contractantes ont nommé pour leurs plénipotentiaires, savoir :
S. M. I. et R., le sieur Louis, comte du Saint-Empire Romain, de Cobentzel, chevalier de la Toison d’Or, grand-croix de l'ordre royal de Saint-Étienne et de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, chambellan, conseiller intime actuel de S. M. I. et R., son ministre des conférences, et vice-chancelier de cour et d’état.
S. M. R. le Roi de Prusse, Maréchal Ludwig Adolph Wilhem von Lutzow, commandant du IIe KORPS ;
Le Président de la République de Milan, Benito Brueniglii ;
Et le Tsar de toutes les Russies, Nicolaï Molotov, premier Conseiller du Tsar Constantin ;
Lesquels, après avoir échangé leurs pleins pouvoirs, ont arrêté les articles suivants :
Art. Ier : Le Tsar Constantin est reconnu par les partie contractante comme Tsar légitime de toutes les Russies.
Art. 2. Il y aura à l’avenir, et pour toujours, paix, amitié et bonne intelligence entre S. M. l’Empereur d'Autriche, roi de Hongrie et de Bohême, stipulant tant en son nom qu’en celui de l’Empire germanique, de la République Milanaise, du Royaume de Prusse et de l'Empire Russe ; s’engageant, Sadite Majesté à faire donner par ledit Empire la ratification en bonne et due forme au présent traité. La plus grande attention sera apportée de part et d’autre au maintien d’une parfaite harmonie, et à prévenir toutes sortes d’hostilités par terre et par mer, pour quelque cause ou sous quelque prétexte que ce puisse être, en s’attachant avec soin à entretenir l’union heureusement rétablie. Il ne sera donné aucun secours ou protection, soit directement ou indirectement, à ceux qui voudraient porter préjudice à l’une ou à l’autre des parties contractantes.
Art. 3. La cession des provinces sus nommées au Saint Empire Romain Germanique est exprimé ici de la manière la plus formelle ; en sorte que S. M. I. , pour elle et ses successeurs, tant en son nom qu’au nom de toutes les Russies, renonce à tous les droits et titres aux susdites provinces, lesquelles seront possédées, à perpétuité, en toute souveraineté et propriété, par le Saint Empire Romain Germanique, avec tous les biens territoriaux qui en dépendent.
1° La principauté de Minsk ;
2° La principauté de Kiev ;
3° La principauté de Tourov et Pinsk ;
4° La principauté de Galicie (Lviv) ;
5 ° Le duché de Bocovine ( Czernowitz ) ;
6° La Principauté de Chersonèse (Cherson) ;
Sont pareillement cédés au Royaume de Prusse, par Sa Majesté Impériale, et du consentement formel de toutes les Russies:
1° Le duché de Livonie (Riga) ;
2° La principauté de Vilnius ;
3° Le comté de Memel ;
Sont pareillement cédés à la République de Milan, par Sa Majesté Impériale, et du consentement formel de toutes les Russies:
1° La principauté de Transylvanie (Turda) ;
2° La principauté de Moldavie (Sueceavo) ;
Art. 3. De même, S. M. l’empereur de toutes les Russies possédera, en toute souveraineté et propriété, les pays ci-dessous désignés, savoir :
La crimée (Kaffaet Bkhchisaray), la géorgie, la principauté de Rostov (Stravopol et Azov) , l'Alanie, la principauté de Tchernigov, l'oblast d'Orel, la principauté de Smolensk, la principauté de Koursk, le khanat d'Astrakhan, la principauté de Moscou, la principauté de Polosk, la République de Pskov, la République de Novgorod, le royaume d'Estonie (Dorpat, Rewal et Saint-Pertersbourg).
Art. 4. L'Empire Russe sera intégré à l'alliance des états centraux réunissant l'Autriche, la Prusse et Milan. Un amendement sera réalisé pour modifier le traité de Milan portant alliance entres les pays sus nommés.
Art. 5. Afin de garantir un prompt rétablissement de l'odre du à la guerre en Russie, de soutenir l'autorité du Tsar Constantin et de procédé aux enquêtes nécessaires relatives à l'assasinat de l'ambassadrice Sophia von Metternich ; Il est décidé qu'un détâchement de police sera enovoyé dans chauque ville de Russie, soit par l'Autriche, soit par la Prusse, soit par Milan.
Art. 6. Aussitôt après l’échange des ratifications du présent traité, il sera accordé, dans tous les pays cédés, acquis ou échangés par ledit traité, à tous les habitants ou propriétaires quelconques, mainlevée du séquestre mis sur leurs biens et revenus, à cause de la guerre qui a eu lieu. Les Parties contractantes s’obligent à acquitter tout ce qu’elles peuvent devoir pour fonds à elles prêtés par lesdits particuliers, ainsi que par les établissements publics desdits pays, et à payer ou rembourser toute rente constituée à leur profit sur chacune d’elles.
Art. 7. Tous les prisonniers de guerre faits de part et d’autre, ainsi que les otages enlevés ou donnés pendant la guerre, qui n’auront pas encore été restitués, le seront dans quarante jours, à dater de celui de la signature du présent traité.
Art. 8. Le présent traité sera ratifié par S. M. l’empereur et roi du Saint Empire, par le Roi de Prusse, par le gouvernement de la République Milanaise et par le Tsar de toutes les Russies , dans l’espace de trente jours, ou plus tôt si faire se peut.
Fait et signé à Kiev, le 9 Aout 1801.
Signé Louis, comte de Cobentzel ;
Maréchal Ludwig Adolph Wilhem von Lutzo ;
Benito Brueniglii ;
Nicolaï Molotov ;
Mars 1802 : Un cessez le feu immédiat est ordonné entre la triplice et la France. Le 11 Mars, un traité de paix est signé avec la France. Encore une fois la dynastie Metternich se fait doubler par le Comte de Cobentzel. - Spoiler:
- Citation :
- Traité de Paix entre l'alliance centrale et la France,
Conclu à Reims le 11 mars 1802. Entre Monsieur le Marechal August Leopold von Reuss , plénipotentiaire nommé par le Royaume de Prusse ; Monsieur Louis, comte du Saint-Empire Romain, de Cobentzel, chevalier de la Toison d’Or, grand-croix de l'ordre royal de Saint-Étienne et de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, chambellan, conseiller intime actuel de S. M. I. et R., son ministre des conférences, et vice-chancelier de cour et d’état. , plénipotentiaire nommé par le Saint-Empire Romain Germanique ; Monsieur Guido Deglinatto , plénipotentiaire nommé par la République Cisalpine ; Monsieur Alexander Korsakov. , plénipotentiaire nommé par l'Empire Russe ; d'une part ; Monsieur Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord Ministre des Relations Extérieures , plénipotentiaire nommé par le gouvernement français ; d'autre part ,il a été conclu un armistice aux conditions suivantes :
I) Cessation des hostilités, six heures après la signature de l'armistice.
II) Évacuation immédiate des provinces allemandes envahis par la France, réglée de manière à être réalisée dans un délai de quinze jours, à dater de la signature de l'armistice. Les troupes françaises qui n'auront pas évacué les territoires prévus dans les délais fixés seront faites prisonnières de guerre.
III) La France reconnais l'ensemble des disposition du traité de Kiev, en particulier concernant les modifications territoriale qui en résulte.
IV) La France reconnais la légitimité de l'intervention de la coalition en Russie. Elle rompt immédiatement toute relation avec l'exilé Alexandre et ne reconnais plus que le Tsar Constantin comme seul et unique dépositaire du trône impérial de Russie.
V) Il y aura à l’avenir, et pour toujours, paix, amitié et bonne intelligence entre S. M. l’Empereur d'Autriche, roi de Hongrie et de Bohême, stipulant tant en son nom qu’en celui de l’Empire germanique, de la République Milanaise, du Royaume de Prusse, de l'Empire Russe et de la France ; s’engageant, Sadite Majesté à faire donner par ledit Empire la ratification en bonne et due forme au présent traité. La plus grande attention sera apportée de part et d’autre au maintien d’une parfaite harmonie, et à prévenir toutes sortes d’hostilités par terre et par mer, pour quelque cause ou sous quelque prétexte que ce puisse être, en s’attachant avec soin à entretenir l’union heureusement rétablie. Il ne sera donné aucun secours ou protection, soit directement ou indirectement, à ceux qui voudraient porter préjudice à l’une ou à l’autre des parties contractantes.
VI) La cession des provinces sus nommées au Saint Empire Romain Germanique ; en sorte que France renonce à tous les droits et titres aux susdites provinces à partir d'aujourd'hui et pour toujours, lesquelles seront possédées, à perpétuité, en toute souveraineté et propriété, par le Saint Empire Romain Germanique, avec tous les biens territoriaux qui en dépendent. 1° Le Comté Franc (Besançon) 2° Les cantons occidentaux de Suisse (Bern) 3° Le grand duché de Bourgogne (Dijon, Nevers et Lyon) 4° Les duché d'Auvergne et de Bourbons ( Clermont-Ferrand)
VII) Sont pareillement cédés à la République de Milan, par Sa Majesté Impériale, et du consentement formel de toutes les Russies: 1° Le duché de Turin ; 2° Le duché de Savoie (Nice) ; 3° Le Comté de Provence (Marseille) ; 4° Le Dauphiné (Grenoble) ; 5° L’évêché d'Avignon 6° Le comté du Roussillon (Montpellier, Narbonne)
VIII) De même, la France possédera, en toute souveraineté et propriété, le Comté de Champagne actuellement occupé par les troupes coalisée. Celui-ci sera rendu à la France moyennant le respects des transferts territoriaux sus évoqués.
IX) La France s'engage à reconnaître définitivement sa frontière territoriale avec la Prusse telle qu'elle existait avant la guerre. De même elle s'engage par avance à reconnaître les changements de possession des provinces hollandaises telle qu'elles résulteront de la paix à venir.
X) La France renonce à toute interférence dans le conflit qui oppose actuellement la Prusse à la Hollande. Elle reconnais ce faisant le bien fondé de cette guerre.
XI) Dans tous les territoires évacués par l'ennemi, toute évacuation des habitants sera interdite ; il ne sera apporté aucun dommage ou préjudice à la personne ou à la propriété des habitants. Personne ne sera poursuivi pour délit de participation à des mesures de guerre antérieures à la signature de l'armistice. Il ne sera fait aucune destruction d'aucune sorte. Les installations militaires de toute nature seront livrées intactes ; de même les approvisionnements militaires, vivres, munitions, équipements qui n'auront pas été emportés dans les délais d'évacuation fixés. Les dépôts de vivres de toute nature pour la population civile, bétail, etc., devront être laissés sur place. Il ne sera pris aucune mesure générale ou d'ordre officiel ayant pour conséquence une dépréciation des établissements industriels ou une réduction de leur personnel. Les voies et moyens de communication de toute nature, voies ferrées, voies navigables, routes, ponts, télégraphes, téléphones, ne devront être l'objet d'aucune détérioration. Tout le personnel civil et militaire, actuellement utilisé, y sera maintenu.
XII) Le présent traité sera ratifié par S. M. l’empereur et roi du Saint Empire, par le Roi de Prusse, par le gouvernement de la République Milanaise, par le Tsar de toutes les Russies et par le gouvernement français, dans l’espace de trente jours, ou plus tôt si faire se peut. Fait et signé à Reims, le 11 mars 1802. Signé Louis, comte de Cobentzel ; Marechal August Leopold von Reuss ; Guido Deglinatto ; Alexander Korsakov. ; Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord ; Février 1805 : Situation actuelle des relations diplomatiques du Saint Empire : Nations ennemies : France, Espagne, Russie Nations amies : néant Nations neutres : le Reich allemand, l'Angleterre et la Suède A la différences des nations belliqueuses, l'Empire reste ouvert à toute négociation pour aboutir à la paix. Avril 1805 : La paix est signée avec la Russie ! Deux longues années de guerres ont enfin trouver leur fin ! - Citation :
Traité de Paix entre le Saint-Empire Romain et la Russie,
Conclu à Lviv le 26 avril 1805.
S.M. l’Empereur du Saint-Empire Romain et d'Autriche, roi Hongrie et de Bohême, et le Tsar Constantin, au nom du peuple russe, ont résolu de procéder à la conclusion d’un traité durable de paix et d’amitié afin de faire cesser l'absurdité des combats qui les opposaient.
En conséquence de quoi, les parties contractantes ont nommées pour leurs plénipotentiaires, savoir :
S.M. I. et R., le sieur Louis, comte du Saint-Empire Romain, de Cobentzel, chevalier de la Toison d’Or, grand-croix de l'ordre royal de Saint-Étienne et de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, chambellan, conseiller intime actuel de S. M. I. et R., son ministre des conférences, et vice-chancelier de cour et d’état.
Et
le Tsar de toutes les Russies, Nicolaï Molotov, premier Conseiller du Tsar Constantin ;
Lesquels, après avoir échangé leurs pleins pouvoirs, ont arrêté les articles suivants :
Art. Ier : La Russie est reconnue comme un état pleinement et entièrement souverain, ne relevant sous aucune forme que ce soit de l'administration du Saint-Empire.
Art.2 Les dites parties contractantes s'engagent à respecter la paix de dieu et la liberté du commerce pendant une durée minimale de trois années.
Art.3. La frontière est établie suivant le cours du Prut et du Caucase.
Les villes fixant la frontières sont les suivantes :
1° Villes frontalières du Saint-Empire : Lviv, Kosice, Turda, Mangalia, Kastramoni, Sinope, Trezibonde, Georgia et Harmozica. 2° Villes frontalières de Russie : Kiev, Czernowitz, Cherson, Suecaevo, Kaffa, Bkhchisaray, Stravopol et Alania.
Art.4. L'empire Russe et le Saint-Empire tous deux désireux de maintenir la paix dans une région longtemps dévastée par la guerre ; S'engagent à intervenir militairement et sans délais pour soutenir l'autre partie contractante si celle-ci venait à l'avenir à être attaquée par une puissance tierce. Cette intervention durera jusqu'à ce qu'un règlement commun du conflit soit trouvé.
Art.5. Tous les prisonniers de guerre faits de part et d’autre, ainsi que les otages enlevés ou donnés pendant la guerre, qui n’auront pas encore été restitués, le seront dans quarante jours, à dater de celui de la signature du présent traité.
Art.6. Les parties s'engage sur leur honneur et en leur âme à respecter toutes les clauses du dit traité. Toute infraction sera soumise à la justice de Dieu et punie par la damnation mémoriel à perpétuité. Les contrevenants se verrons pour paiement de leur forfaiture soumis à une excommunication immédiate et conjointe du Pape Pie VII et du Pope de Constantinople.
Art. 7. Le présent traité sera ratifié par S. M. l’empereur et roi du Saint Empire et par le Tsar de toutes les Russies , dans un délai de trente jours, ou plus tôt si faire se peut.
Fait et signé à Lviv sous le regard de Dieu, le 26 avril 1805.
Signé Louis, comte de Cobentzel ;
Nicolaï Molotov ;
Dernière édition par Aetius le Lun 24 Oct - 15:14, édité 15 fois | |
| | | Raphael Administrator Maximus
Nombre de messages : 10564 Age : 48 Localisation : partout et nulle part à la fois Date d'inscription : 24/04/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mar 3 Mai - 7:12 | |
| HRP : j'avais pas vu, mais dans l'article II tu as mis "Allemagne" au lieu de "Prusse" | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mar 3 Mai - 9:57 | |
| | |
| | | Caulaincourt Pontifex Maximus
Nombre de messages : 1848 Age : 36 Localisation : France Date d'inscription : 25/02/2009
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mar 3 Mai - 21:40 | |
| HRP : mais toutes vos clauses sont identiques ? En gros, toutes disent : "les trois nations sont alliés défensivement". | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mer 4 Mai - 6:14 | |
| - Caulaincourt a écrit:
- HRP : mais toutes vos clauses sont identiques ? En gros, toutes disent : "les trois nations sont alliés défensivement".
Article IV Dans le cas où une Grande Puissance non signataire du présent Traité menacerait la sécurité des Etats de l'une des Hautes Parties contractantes, et la Partie menacée se verrait, par là, forcée de lui faire la guerre, les deux autres seront alors tenu de lui prêter assistance. Pas tout à fait quand même. | |
| | | Joarius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 3715 Age : 56 Localisation : BrocMagad Date d'inscription : 11/10/2009
| | | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Mer 4 Mai - 20:11 | |
| - Joarius a écrit:
- [HRP]
J'aime bien cette façon d'écrire les traités : ça fait vraiment pro.
[/HRP] HRP : Très honnêtement, j'y suis pour peu de chose. J'ai juste eu l'idée de le faire et l'idée de quoi chercher. La base est quasiment mot à mot le traité d'alliance de la triplice pour la 1ère Guerre Mondiale. J'ai juste le mérite de l'avoir cherché et trouvé, puis adapté selon les besoins. | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Dim 8 Mai - 17:01 | |
| | |
| | | Turambar Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2239 Age : 29 Localisation : Alsace Date d'inscription : 15/12/2010
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Dim 8 Mai - 18:05 | |
| | |
| | | Raphael Administrator Maximus
Nombre de messages : 10564 Age : 48 Localisation : partout et nulle part à la fois Date d'inscription : 24/04/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Dim 8 Mai - 19:43 | |
| HRP : si tu veux Aetius, je peux aussi supprimer tous les messages qui polluent ton post (comme le mine par exemple) | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Dim 8 Mai - 20:06 | |
| Oui ça me va aussi, mais bon comme j'ai adopté un système de mise à jour des 3 topic fondamentaux a la limite je peux m'en sortir. Pensez juste à regarder si y'a pas une nouvelle date comme là. | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Lun 9 Mai - 21:16 | |
| Mise à jour de la section histoire avec du croustillant ! Prochainement la suite... | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Dim 22 Mai - 18:35 | |
| Mise à jour des 3 sections. Normalement je suis à jour maintenant... | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Sam 15 Oct - 10:39 | |
| Mise à jour des sections, bon y'a un trou magnifique mais c'est reparti Sinon pour les puristes, Joarius tu peux aller voir toutes mes unités ont un joli nom maintenant. Après un petit cours d'apprentissage de Calc ce qui me prenait des plombes je l'ai fait en moins d'une heure (remise à jour de toute mon armée). Merci la fonctions concatener et l'import direct de la liste des unités dans un tableau (en séparant les info par colonne). | |
| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Lun 17 Oct - 17:01 | |
| Et une et deux excommunication qui marchent. Qui n'en veux ? | |
| | | Joarius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 3715 Age : 56 Localisation : BrocMagad Date d'inscription : 11/10/2009
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Lun 17 Oct - 20:26 | |
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| | | Aetius Pontifex Maximus
Nombre de messages : 2876 Age : 38 Localisation : Montbéliard Date d'inscription : 22/10/2005
| Sujet: Re: Histoire du Saint-Empire-Romain-Germanique Lun 24 Oct - 16:28 | |
| Mise à jour des nouvelles du front et de la diplomatie.
XXX Exclusif, L'Unteroffizier Johanes Rhambö témoigne !!! XXX | |
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