Ambassade du Très Saint Empire d'Espagne.

Que le Sultan se tranquilise, nous n'avons aucunement l'intention d'entrer en guere contre la France. La seule chose qui nous préoccupe actuellement est que les rebelles de Hollandes retourne une fois pour toute à la place qui est la leur au sein de la couronne d'Espagne. Je ne pense pas que cela regarde en rien le grand Sultan.

Citation :

HRP : En traduction, tu peux avoir un haut représentant qui intervient dans mon ambassade mais de préférence pas un simple lieutenant.

HRP Nous ne sommes pas a Madrid(pas de haut représentant donc) et le Duché de Portugal n'a plus de haut représentant a part le Grand Duc

-Il m'est agréable de vous voir changer d'avis. Le sultan aurait été mécontent de devoir déplacer ses innombrables armées vers votre terre. Quand à votre guerre contre l'Alliance du Nord, cela n'intéresse effectivement pas le Sultan. Bien que cela l'amuse beaucoup que les européens, si prétentieux, puissent perdrent leurs colonies.

Alors qu'il sortait des bureaux du préfet de Bilbao, l'émissaire Français vit fondre sur lui une estafette venue directement de France avec un message de la plus haute importance - il fit demi tour et demanda à être à nouveau reçu par le prefet

Monsieur le prefet, un message urgent venant de France m'indique que 2 hauts fonctionnaires de notre ambassade traitant des affaires espagnoles ont été arreté et emprisonné hier matin; ils ont en effet dérobé des courriers dans lesquels étaient vos demandes de passage le long de nos côtes.
Le 1er Consul prie sa majesté le roi d'Espagne de lui accorder son pardon pour ce doute mis en évidence par le manque de sérieux de ces 2 hommes qui seront jugés et punis

L'évèque Joachim Strudert, ambassadeur autrichien et homme d'église averti, se présenta à la cour de l'empereur d'Espagne afin de délivrr une missive que lui avait confié l'Archiduc.
Après avoir effectué les génuflexions d'usage et donné sa bénédiction à l'empereur espagnol, il tendit la lettre à ce dernier, attendant en méditant que celui-ci en prenne connaissance.

Au Très Saint Empereur de toute la péninsule Ibérique.

Moi, Raphael Henri, Saint Empereur Germanique, souhaite par la présente vous apporter mon soutien moral dans la croisade que vous entreprenez. Je sais que votre combat est juste car il défend les valeurs de la noblesse et de l'Eglise contre tous ces hérétiques révolutionnaires et républicains.
N'oublions jamais que nos nobles familles sont cousines et que le Roi d'angleterre est un parent éloigné qu'il nous faut aussi défendre.
N'hésitez pas à me faire parvenir régylièremenr des courriers pour m'informer de l'évolution de votre guerre, je suivrai tout celà avec la plus grande attention.

Archiduc et Empereur Raphael-Henri.

Le général selim d'Ahris avait dépêché un courrier à l'ambassadeur Ottoman à Madrid. L'emissaire déclara dans la salle du trône:

-Le général Selim d'Ahris fait savoir à la Couronne d'Espagne que l'Empire Ottoman entre officiellement en guerre contre elle, afin de soutenir la quête de liberté du peuple portugais.

L'émissaire Ottomans fut immédiatement saisi et crucifié sur la puerta del sol.

HRP : Mon dieu, il est déconseillé d'être autre chose que Espagnol à Madrid

Les serviteurs de l'ambassadeur rédigèrent une lettre a l'attention du roi avant de s'enfuir dans les terres portugaises.

Avoir assassiné un diplomate du Sultan vous vaut la colère éternelle des Ottomans. Les soldats d'Allah fondront sur vous a l'infini, ce n'est plus seulement pour aider le peuple portugais mais également la volonté d'anéantissement de l'Espagne qui animera les troupes de Selim d'Ahris.

Aprés avoir convoqué manu militari l'ambassadeur d'Espagne en France, le 1er Consul Bonaparte le reçut dans son salon privé

Monsieur l'ambassadeur, la nouvelle de l assassinat par le gouvernement Espagnol de l'ambassadeur Maure a saisi d'effroi tous mes ministres et l'ensemble du peuple Français - Sachez Monsieur, que j'entretiens personnellement de trés bonnes relations avec le Sultan et que, celui çi, en compagnie des Portuguais n'attendaient que cela pour vous envahir.
Ceci étant la première chose qui m'ait fortement déplu, voici la seconde : j'ai appris votre alliance avec l'Angleterre. Si je n'entretiens pas de relations avec son roi, je ne le porte néanmoins pas dans mon cercle de nations amies et, que l'Espagne s'allie à eux, me chagrine quelque peu.
Voilà Monsieur ce que je vous demande de faire passer au plus vite à vos gouvernants en leur disant bien que dans le conflit qui vous oppose aux Ottomans et au Portugal je resterai pour l'instant neutre ayant d'autres chats à fouetter

Alors quelques petites précisions s'imposent. Premièrement le Maures n'est pas mort. (Je sais c'est facile) L'ambassadeur ottoman à seulement été "suspendu" de ses fonctions. Suspendus à une croix pour être précis. Le saint Inquisiteur de Madrid d'alors avait soutenu que cela allait rapprocher son âme de Dieu. Ce saint homme à par la suite été démis de ses fonctions par le clergé, il aurait parait il commis des actes de tortures sur quelques pécheurs. Enfin bref, le nouvel Inquisiteur à mis fin à ses souffrance en descendant le Maures. Il est actuellement en route avec nos armée pour l'emmener à Lisbonne.

Cette acte n'était toutes fois pas totalement sans fondement puisque au contraire de ce que vous semblez penser il n'a pas été commis antérieure mais bien postérieurement à la déclaration ottomane de nous envahir.

Maintenant concernant nos relations avec l'Angleterre. Elle sont cordiale il est vrai, je les qualifierait même d'entente cordiale (houla je suis en grande forme moi). Mais pour le moment ces relation sont principalement défensives. Vous n'êtes pas sans savoir que l'Angleterre est actuellement envahis par un pays étranger et nous ne faisons que porter secours à un ami dans le besoin. Quoi de plus noble sentiment et de plus Chrétien ?
Je ne doutes pas que vous ferriez de même si d'aventure votre ami le grand sultan venait à être envahis. Et ce serait ma foi tout à votre honneur.

Ne doutez pas cher ami que notre amitié est de la plus importante, mais bien que la France ne nous porte pas dans son cœur il est évident que nous n'avons aucuns intérêts divergeant.
Nous ne verrions pas l'intérêt de l'entrée en guerre de la France compte tenus de ses relations avec les pays-bas et la Suède qui ne se gêne pas pour critiquer le gouvernement en place, chose à laquelle nous n'apportons aucun jugements.

La lettre de Bonaparte ne fut pas longue a être rédigé et pendant que l'Ambassadeur Espagnol faisait le dos rond dans le couloir ou il avait été amené de force les ordres du 1er Consul fusaient dans tous les sens - L'Ibère fut invité à rentrer par un grenadier de la garde

Monsieur, dit Bonaparte, je viens d'apprendre que le préfet de Bayonne en visite officielle à Bilbao, a été sauvagement assassiné ainsi que toute son escorte sur le chemin du retour - Je vous prie donc de faire vos valises et de quitter la France sur le champ afin d'annoncer aux sauvages qui vous gouvernent et qui ont autorisé de tels crimes que je cesse toutes relations amicales avec les votres et que dés que j'en aurai la possibilité, je rentrerai en Espagne avec mes troupes - La première ville visée sera Bilbao que je réduirai en cendres si les coupables ne se livrent pas - Allez Monsieur....

Le grenadier qui était resté prés de l'Ambassadeur tremblant le prit fermement par l'épaule et le raccompagna jusqu'à la sortie

[HRP: Oh la la je suis surpris

L'ambassadeur autrichien fit parvenir une missive à l'empereur d'espagne.

Très Saint Empereur d'Espagne,

L'Archiduc Raphael-Henri a eu vent de votre victoire totale sur les rebelles portugais qui tentaient de se soulever dans votre péninsule, et il vous félicite pour la fermeté avec laquelle vous avez restauré l'ordre.
Il regrette que votre juste combat vous ai plongé dans un conflit plus général. La France a manifestement décidé de vous envahir sous un fallacieux prétexte, l'archiduc vous soutient de tout coeur dans votre combat contre ces hérétiques.
Sachez que vous trouverez toujours en l'autriche une précieuse alliée dans ces heures sombres de guerre.

Un haut dignitaire autrichien, spécialement dépéché par la cours de Vienne, demanda audience auprès de l'empereur espagnol. Une fois introduit dans les saint des saints du Très Saint, il lui tint les propos suivants :

Très Saint Empereur d'Espagne, le Saint Empereur Romain Germanique et Archiduc d'Autriche et de Hongrie, Raphael-Henri, m'envoie auprès de vous afin de témoigner à votre Sainteté toute l'estime en laquelle il la tient.

Depuis maintenant de nombreuses années, l'Espagne et l'Autriche combattent pour des causes communes avec une constance et une pugnacité sans faille. Et les victoires de votre Sainteté sont contées dans les palais viennois.

L'Autriche a, hélas, la malchance de combattre des adversaires plus coriaces et plus puissants et elle rencontre des difficultés à progresser dans sa guerre. C'est pourquoi l'Archiduc vous demande d'accepter une proposition d'alliance militaire afin de lutter contre nos principaux ennemis en méditérannée, les français et les napolitains.

Si votre Grandeur accède à cette requête, l'Archiduc vous propose de convenir d'un rendez vous dans un île secrête de la méditérannée afin de sceller cet accord.

Un dignitaire Napolitain fût dépêché auprès du roi d'Espagne, il apportait avec lui une lettre du roi Murat, en voici le contenu:

Au très saint roi d'Espagne,

Sachez que nous sommes très contrarié par le manque d'éthique de votre état major. Nul doute qu'il a agit avec un peu trop de souplesse et que vous avez été un peu trop conciliants avec les écarts de vos généraux.
Nous serions heureux de voir le roi de la très sainte Espagne tenir ses troupes avec un peu plus de fermeté, et qu'il rappelle ses chiens au sud des Pyrénées. Faute de quoi nous serions contrariés de dépêcher nos armées pour châtier des mouvements qui nous semblent dépassés.

Vous avez un mois pour que vos armées abandonnent toutes les villes au nord de votre frontière naturelle que forment les Pyrénées, après quoi nos canons et nos mousquets viendront par le feu et la poudre accomplir la volonté de dieu.

Le roi de Rome,
Murat.

Je n'ai pas souvenir que le roi Murat n'ai ne serait ce que légèrement protester lorsque c'était les chiens Français qui ravageaient la campagne Espagnol? A présent que les chiens ont gouter aux sang ils en sont assoiffés. Seule une plus grande quantité de sang saurait les rassasier.

C'est pourquoi après avoir déclaré une guerre en nous pensant aux abois et sur un prétexte des plus fallacieux, il faut maintenant songer à en payer le prix. Il ne saurait être plus question d'une paix blanche. Tout molosse se doit d'avoir un os à ronger pour se tenir tranquille.

C'est pourquoi nous acceptons la proposition d'alliance de notre cousin et pèseront de toutes nos forces dans la balance. L'ordalie à commencée et seul Dieu en décidera de l'issue.

Un extrait de la déclaration de paix monseigneur, sachez que l'Angleterre reste fidèle à l'Espagne.




En ce jour, Le royaume d'Angleterre déclare que la guerre nous opposant à l'alliance du nord est terminée. Après de trop grandes éfusions de sang nous n'aspirons plus qu'à la paix. Ainsi nous demandons en gage de bonne fois un retrait totale des forces suédoises d'Angleterre ainsi que la restitution des terres conquises.
En outre nous déclarons rester alliés au très saint empire d'Espagne mais intégrons sans déclaration de guerre aucune l'Alliance du nord.

Vive la paix messieurs.

L'ambassadeur ottoman s'avança, salua du buste le roi d'Espagne et entame son discours :


"Notre Empereur, par désir de cesser d'inutiles effusions de sang et de violence, vous propose la paix.
Il a le désir de saluer le début de son règne par l'arrêt de la guerre qui oppose nos deux si grandes nations et cultures. Un traité de non-agression ne pourrait qu'être bénéfique à nos peuples respectifs."

Sur ce, l'ambassadeur fit avancer les deux serviteurs qui se tenaient en retrait et, sur un signe de sa part, ils posèrent aux pieds du roi d'Espagne un coffre remplit d'or.

"Ceci est un présent que vous fait notre Empereur, en signe de bonne entente et de son désir de réconciliation" poursuivit l'ambassadeur.

Il se courba une seconde fois, et attendit la réponse du souverain qui lui faisait face.

L'empereur D'espagne demada à l'ambassadeur de se relever

Et bien je suis ravi de voir que les sultan se suivent et ne se ressemblent pas.

Dieu à décider du sort que méritaient les Portugais en nous accordant la victoire. La guerre nous opposant à l'empire Ottoman est donc désormais dépourvue de sens. C'est pourquoi nous acceptions avec grand plaisir l'offre de paix du Sultan et son généreux présent.

Mais la paix entre nos deux peuple ne saurait etre durable qu'a trois conditions :

Tout d'abord le désarmement et le retour de toutes les armées ottomanes présentes sur le territoire Espagnol.

Ensuite la signature d'un pacte sacrée de non agression, les deux parties jurant de le respecter sur leur foi respective.

Jurez de respecter scrupuleusement ces conditions et vous pouvez nous considérer comme en paix.

HRP : Pour la bataille qu'on a en cours, tu veux la jouer demain ? Ou tu préfère rapatrier tes troupes intacts? Ou encore les démobiliser sur place. Le choix te reviens.

[HRP] quelles coups dans le dos au français ça ! [HRP]

L'ambassadeur s'en retourna chez lui, et revint quelques mois plus tard.
Il déclara au roi :

"Mon maître était pour la paix, mais en refusant ses conditions vous la dénigrée.
Ce sera donc la guerre, et ce aux cotés de nos alliés."

L'ambassadeur s'en alla sur ces graves paroles, ne laissant pas au roi d'Espagne le temps de prononcer un mot.

Drosselmeyer, peu croyant, ignorait quel parti prendre face à L'Empereur-Pape, comme on le surnommait en Prusse. Il fit ce que son Roi lui avit ordonné :

Très saint Empereur d'Espagne, de Portugal et de Navarre ;

Nous sommes honorés de vos félicitations, et nous vous retournons les compliments, car vos brillantes victoires en France font de vous le fer de lance des royautés en Europe.

Nous sommes, tout comme votre majesté très pieuse, attaché à un retour de la paix en Grande-Bretagne, et avons déjà indiqué aux belligérants notre souhait.

Nous espérons que votre puissance va forcer Bonaparte à se montrer plus courtois, et surtout plus prudent à l'avenir.