Siege de Venise III - NOV 1802 (Tour 35)

Le maréchal Von Himmel était heureux que son pli soit arrivé dans les temps; il pouvait désormais constater le succès de l'opération quand ses éclaireurs vinrent lui annoncer l'arrivée de la seconde armée commandée par le général Ebehart Von Karajan.
Les deux armées firent jonction au Nord de la cité des Doges.

La missive de l'empereur avait été claire et sans discussion possible: concentrer les forces et reprendre Venise coûte que coûte, pendant que les alliés de la couronne espagnole concentraient leurs efforts sur Milan.

L'empereur n'attendait rien d'autre qu'une victoire.
Là aussi, le message était clair.

Après cette victoire, les napolitains seraient sans doute enclins à négocier. Une victoire espagnole rendrait cette éventualité indiscutable. Et le vieux maréchal avait détaché des éclaireurs à Milan afin d'être tenu au courant de l'issue de la bataille.

En attendant, une estafette se présenta aux portes Nord de Venise avec le Pli suivant:

Citation :

Aux généraux commandant l'armée du Pô,
Nous avons ordre de reprendre Venise au nom de sa majesté Franz 1er d'Autriche. Vous êtes des hommes d'honneur, et vous avez prouvé votre valeur au combat.
Nous ne doutons pas que vous vous prépariez à la défense.Vous êtes cependant dans une situation défavorable.
Sachez que nous avons reçu des instructions afin de reprendre cette ville par tous les moyens possibles.
Toute résistance sera écrasée sans retenue. Une défense héroïque ne servirait aucun but si ce n'est celui de sacrifier vos hommes inutilement.
Nous sommes prêt négocier votre retrait de la zone.
Tout refus ou absence de réponse de votre part d'ici ce soir entrainera un assaut dès le lendemain à l'aube.

Maréchal Karl-Heinz Von Himmel.

Le général Spiado Campionne, Commandant du Deuxième Corps de l'armée du Pô était dubitatif.
Il n'avait jamais combattu à Venise, les deux précédentes batailles, héroïquement gagnées, étaient des victoires de Federico Fiore et du Premier Corps.
Campionne, pour sa part, n'avait accompli que de faciles victoires contre des contingents autrichiens toujours en sous effectifs ou sous-équipés.
Bien que ses hommes l'acclament de gloire car il avait pris Milan, Breccia et Vérone, il savait en son fort intérieur que c'est Venise - comme toujours Venise - qui serait sa véritable épreuve du feu...

Or, les deux armées autrichiennes qui s'avançait vers la cité étaient puissantes, nombreuses et formidablement équipées. Et il n'avait à leur opposer que le Deuxième Corps, épuisé et en partie décimé par ses précédents combats. Comment ses hommes, habitués aux victoires faciles, allaient-ils se comporter dan,s une situation critique ? Spiado n'aurait-su le dire. Et aucun secours du Premier Corps n'était envisageable car celui-ci - pourtant initialement reparti à l'arrière pour se reposer - faisait route vers Milan afin d'y livrer une nouvelle bataille.
Federico ne lui serait d'aucun secours.

Spiado soupira longuement, puis il prit sa plume et rédigea une réponse à destination du Marechal von Himmel.

Citation :

Au Marechal commandant les armées autrichiennes,

La détermination de la République Napolitaine est inébranlable. La plaine du Pô appartient au peuple italien. Combien de soldats autrichiens devront y laisser la vie pour que votre empereur admette cet état de fait ? Il ne tient qu'à lui de signer une paix honorable et d'établir les nouvelles frontières.

Aujourd'hui, vous revenez encore à Venise, où vous fûtes pourtant défaits par deux fois. S'il faut se battre une troisième fois, nous le ferons, et même si cette bataille se révèle plus difficile, nous en ressortirons une fois encore vainqueurs.

Car la détermination des Napolitains est inébranlables.

Général Spiado Campionne,
Commandant du Deuxième Corps de l'Armée du Pô

On essaye de jouer ça dans le week end ?

Il faut qu'on trouve des coéquipiers disponibles.

Moi je serai tenté de vous aider. N'importe lequel. Même si l'Autriche a certainement plus besoin des conseillers militaires russes que ces parvenus d'italiens jacobins.

Oui, mais les italiens manquent cruellement de coéquipiers neutres....

Cela ne me dérange pas de jouer dans une équipe ou une autre.

On peut peu-être mettre ma fiabilité en doute su fait que je suis un ennemi des Napolitains, mais cela m'importe peu.

Ben sinon, Caulaincourt, tu joues avec moi contre deux membres de la coallition.

Ca marche ! Deux généraux d'élite ensemble, ça va ch*** !

Par contre pas de nouvelles d'Hephaestion.

Moi j'ai encore de choses urgentes à régler tant que les magasins sont ouverts, (et puis ma femme est à la maison ... )

Donc au pire, is vous êtes dispos, on peut prendre rendez-vous pour demain matin.

Moi je ne pourrais pas entre 15h et 20h. Donc soit le matin, soit le soir.

Faudra que j'importe la bataille ?

On essaye de voir demain matin qui est dispo.

Si on est 4, on peut jouer Venise, si on est que 3 avec Gemsterk, on peut peut être jouer Milan

Je suis là !

voir post Milan

Car je crois qu'Hephaestion n'est pas là ce week end.

Cette bataille-ci devra donc se jouer à partir de Lundi

bonjour, désolé, mais effectivement je n'étais quasiment pas là du week-end, cela s'étant fait à l'improviste je n'ai pas pu avertir.
je suis dispo lundi soir, sinon mardi un peu tt la journée ou soir.

Je ne suis dispo que ... mardi soir exactement.
Sinon c'est mercredi soir.

Ce sera sans doute plus facile mardi dans l'après-midi ?

Pour moi, vu que ma petite famille est rentrée, les soirs c'est un peu chaud. Par contre sur les coups d'1H ~1H30 c'est la sieste (généralement jusqu'à 15H)

va pour ça.

Donc RDV mardi vers 1H pour jouer cette bataille.

Mis il faut que je me trouve un coéquipier d'ici là.

Qui jouera la seconde armée autrichienne ?

Je pourrais la jouer

Je ne ferais pas de quartier

Tu commanderas la 1ère armée et la batterie de 12 pouces. Tu deviens le maréchal Von Himmel. Prends-en soin!
L'occasion t'est donnée de venger l'honneur de tes frères espagnols.

hm, apparemment ni Caulaincourt, ni Zaariel ne seront dispo cet aprèm.

Faut que je trouve quelqu'un d'autre.

Ah... je veins d'apprendre en plus que ma belle mère vient prendre le café pour voir sa petite fille (merci de m'avoir prévenu...)

Donc elle arrive d'ici 20 minutes.

Vu le morceau, je pense qu'il est plus sage de ne pas commencer la bataille, elle est capable de couper le courant pour que je "m'occupe de sa fille un peu!"

Alors si c'est possible en fin d'aprèm pour vous (du genre 17h30 ou 18h) Sinon demain matin.

Maios il me reste la difficile tâche consistant à trouver un allié.

EDIT : à moins que vous ne soyez encore là vers 14h30 ou 15h il y a des chances pour qu'elles soient parties faire les magasins

Gné, c'est possible pour moi.

Bon, je vais trouver de quoi m'occuper cette après-midi...

EDIT : Bon, je sais ce que je vais faire alors

a priori vu comme ça 17h30 18h c bon pour moi. demain matin aussi.
ce soir éventuellement.
j'ai plus de doute pour 15h.

définitivement à partir de 17h30/18h pour moi, j'ai cédé à la pression populaire ( décidément elle me suit partout!) du coup Franz 1er emmène la marmaille à la piscine en début d'après midi.